i thought we were friends Ft Lestrange

Titre du rp
@Cilian B Londubat dans le rôle de Godric Gryffondor
@Rodolphus Lestrange dans le rôle de Salazar Serpentard

i thought we were friends Salazar x Godric Il soupira, longuement, cela avait trop duré, il avait espérait que la situation se calmerait, mais apparemment, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Il regarda la porte se fermer dans le dos de Rowena et de Helga. L’une lui avait prédit que Salazar n’apporterait que le malheur à cette école et que son nom serait rattaché à de la douleur et à la mort. L’autre, Helga la douce lui avait conseillé de faire les choses avec son cœur sans jamais oublier que Salazar restait avant tout son ami et qu’il ne pouvait pas être si mauvais que ça. Mais malheureusement, les choses avaient étés trop loin. Il lança un regard circulaire à son bureau avant de passer son bras d’un geste rageur sur le meuble en bois pour se passer les nerfs. Il devait faire ce qui était le mieux pour l’école et les étudiants. Cette chose qu’il avait sentit venir mais dont il n’avait pas eut envie de s’occuper malgré les mises en garde de Rowena. Il passa une main dans ses cheveux roux et bouclé avant de regarder le feu qui ronflait dans la cheminé. Il ferma les yeux quelques secondes, le temps de se calmer, de mettre de l’ordre dans son esprit. Une fois calme, du moins plus qu’il ne l’était il y a quelques secondes il prit sa cape rouge et ceignit son épée autour de sa taille avant de sortir de son bureau et de prendre la direction des cachots. Royaume de Salazar.

En chemin, il croisa des étudiants, qu’il salua d’une petit signe de la tête. Le château maintenant grouillait de vie pour son plus grand plaisir. Au début c’était le rêve de quatre sorciers qui voulaient offrir un asile à tous les enfants sorciers du pays. Un lieu où ils pourraient grandir, s’épanouir, apprendre à user de leur pouvoir sans peur et sans risquer de faire du mal aux moldus ou inversement. Et ce rêve avait prit vie, Poudlard avait grandis, évoluer et chaque de ces fondateurs y avaient laisser sa marque. Marques qui ne s’effaceraient plus jamais.Ils venaient de laisser une trace indélébile dans l’histoire de la magie d’Angleterre et même du monde. Godric en éprouvait une certaine fierté, de voir ces enfants grandir sans avoir peur du monde. Cette nouvelle génération de sorciers et sorcières qui étaient en train de prendre forme sous ses yeux. Mais comme tout rêve il y avait dedans un part de cauchemars. Salazar avait toujours eut une idée de qui devait user de magie et de qui ne le devait pas. Mais là les choses avaient été trop loin. Il frappa à la porte du bureau de son ami et collègue avant d’entrer sans attendre d’autorisation.

« Salazar, nous devons discuter. Je ne pensais pas que tu pouvais aller si loin. Refuser ton enseignement à un enfant de moldus, j’étais déjà contre mais je t’ai laisser choisir à qui tu voulais enseigner et comment tu comptais le faire, mais monter tes étudiants contre les autres. Leur remplir le crâne de ta haine et tes idées dangereuses et sombres. De plus je t’ai interdit de pratiquer la magie noire, du moins devant les étudiants. » Godric était du genre franc et fonceur et contrairement à beaucoup au château il n’avait pas peur de Salazar. Au contraire, même les deux hommes étaient proches… De moins en moins au vu du comportement de plus en plus sombre du serpentard. :copyright:️ DABEILLE

i thought we were friends Salazar x Godric

Poudlard, un rêve de quatre grand sorcier devenu réalité après des années, mais aujourd’hui une source de conflit entre deux amis. Salazar aurait aimé partagé la vision de Godric faire en sorte de ne jamais aller contre lui, mais il ne peut pas. Il n’y arrive pas. Il ne voit pas comment supporter les engeances moldus quand tant de leur parent et amis moldus chassent les siens à travers le monde. Il ne voit pas comment accepter leur présence dangereuse dans leur école et plus particulièrement dans sa maison, quand il ignore leur vraie attention. Rien ne lui dit qu’ils ne vont pas détruire leur monde par leur présence nauséabonde, maléfique. Il ne peut pas tolérer ça.

Malheureusement, parmi leur groupe d’ami, il est le seul à les voir comme une menace. Helga est trop naïve, trop douce. Rowena trop imbus de sa personne, sa fameuse sagesse pour voir le danger. Quant à Godric, il est trop gentil et peut-être un brin trop téméraire. Ils sont juste incapables d’admettre que danger il y a et voilà comment une simple histoire de logique et de protection prend bien trop d’ampleur. Conflit après conflit, les liens entre les quatre fondateurs n’ont de cesses de s’effriter. Salazar a beau déplorer cet état de fait, il ne compte pas se plier même devant son plus cher ami.

Il pense souvent au bon vieux temps, aux rires complices partagés avec chacun d’entre eux ou encore à cette relation étrange avec Godric, mais si plaisante. Seulement, les souvenirs heureux ne doivent pas le faire changer d’avis. Les moldus sont dangereux, la présence de leur enfant dans ce château l’est aussi. Il compte bien partagé ses idées à qui veut bien l’entendre, les enfants doivent être préparé aux dangers que ça implique. Il ne fermera pas les yeux là-dessus, pas plus qu’il ne leur cachera la vérité.

Dans ses pensées, il est surpris quand on frappe, moins de voir la personne entrer sans attendre son consentement. Godric ne changera jamais là-dessus. Le Serpentard le regard, il semble furieux. Il lève les yeux aux ciels, alors qu’il parle. Il se lève en demandant à son serpent de partir. Il regarde son ami, enfin plus ex qu’autre chose. Son visage reste froid, alors qu’il le laisse terminer de parler, défendre ces satanés moldu.

« Je ne vois pas de quoi tu parles. Je n’ai rien fait de plus que d’apprendre la vérité à mes étudiants. Mes idées n’ont rien de dangereuse, les moldus eux le sont. Il faut qu’ils sachent et qu’ils se préparent à affronter ces monstres ! »

Salazar regarde son ami, ses yeux brillant de colère. Il ne supporte définitivement pas de voir Godric défendre ces vauriens. Il a vu ce que font les moldus aux sorciers ou même à de pauvre femme parfois juste trop proche de la nature. Il a vu l’horreur de la chasse aux sorcières, la haine de ces choses et Godric s’attend à le voir les accepter aussi facilement que lui. Il fronce les sourcils.

« Je ne vois pas comment tu peux les défendre vu ce qu’ils sont capables de faire ? » :copyright:️ DABEILLE[/quote]

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@Cilian B Londubat dans le rôle de Godric Gryffondor
@Rodolphus Lestrange dans le rôle de Salazar Serpentard

i thought we were friends Salazar x Godric Godric avec beaucoup de qualités, mais tout autant de défauts et la patience et la mesure n’en faisait pas partie, alors quand il entendit les mots de son amis il explosa. Posant ses deux mains sur le bureau de l’autre professeur faisant tomber des parchemins et des plumes. “La vérité ? Quelle vérité y a t il dans tes mots pleins de venin? Je connais la teneur de tes propos ! Ce n’est pas de la vérité, c’est de l’incitation à la haine ! Et je t’interdis de tenir ce genre de propos dans cette école ! Comment peux tu faire subir aux enfants de moldus une telle infamie ? Une telle honte ? Ne te rend tu pas compte que certains de tes étudiants croient en la véracité de tes mots ?” Le regard d’habitude chaleureux de Godric se posa sur le serpentard. Comment tout cela pouvait il finir ainsi. Quand son ami avait il prit une route si différente de la sienne ? “Les monstres ? Tu en est à ce point de haine aveugle ? Ces enfants ici, qu’ils soit de famille sorcière ou non, vivent tous avec la même peur au ventre, avec la même hantise. Tu fabrique de toute pièces des dissensions qui ne devraient pas avoir lieu ! Sur quoi tu base les fondements de ta haine ?! Sur rien ! Tu tisses de beaux mensonge et tu en bourre le crâne de jeune gens effrayés qui iront le raconter à leur parents tout aussi effrayés !”

Godric se redressa, il ne pouvait plus soutenir son ami, il ne pouvait plus faire semblant de ne rien voir, de ne rien entendre. Il avait essayait, tellement, de faire revenir Salazar sur le sentier de la raison, mais il le voyait dans ses yeux, c’était impossible. Salazar c’était enfoncer dans sa haine, dans sa noirceur et il savait qu’il ne pourrait plus le sauver, qu’il ne pourrait plus le faire revenir à la lumière, doucement il passa sa main dans ses boucles rousses et prit une grande inspiration. “Tu n’es plus le bienvenue ici Salazar, je ne peux te laisser créer haine et clivage au sein de notre établissement. Promet moi que tu ne dira plus rien de la sorte, jure moi que tu gardera pour toi ses folies et je parlerais à Helga et Rowena…” Godric s’avança vers son ami pour poser ces deux mains sur ces épaules. “Oublis cette haine, oublis cette folie. Je te le demande, s’il te plait ! Ne laisse pas ces préjugés idiots détruire ce que nous avons construit !”
Il le forca à le regarder dans les yeux, il fallait que Salazar se calme, il ne pouvait imaginer cette école sans lui. Ce rêves, ils l’avaient fait à quatre. Ils l’avaient créent ensemble.. C’était tous ensemble qu’il lui avait donné vie. Il ne pouvait imaginer que l’un d’entre eux ne soit pas là. Non c’était tout simplement impossible. Et puis, entre lui et Salazar il y avait un lien plus fort. Il ne pouvait juste pas être brisé comme cela. Ils y survivraient tous les deux.

“Je t’en supplie, Salazar. Dit moi que ce n’est que la colère et la peur qui parlent à travers ta bouche. Que ces mots pleins de fiel que tu dis ne sont pas ce que tu pense réellement. S’il te plait… Je t’en supplie.” Il cherchait dans son regard, une preuve, un indice qui lui ferait dire que Salazar n’était pas cet homme haineux et sombre que lui peignait Helga et Rowena. Elles lui disaient qu’il était naïf de lui faire confiance, que Salazar avait toujours était comme cela, froid, distant, mauvais. Mais elles disaient cela car elle ne le connaissait pas comme lui. “S’il te plait. Regarde moi dans les yeux et dit moi que tu va arrêter, si vraiment tu ne veux plus enseigner aux enfants de moldus je les prendrais dans mes classes, mais je t’en supplie ne monte pas les autres élèves contre eux.”:copyright:️ DABEILLE

i thought we were friends Salazar x Godric
Salazar observe ses parchemins et plumes qui roulent sur le sol après avoir été éjecté de son bureau par un mouvement trop brusque de Godric. L’une des plumes semble ne pas avoir apprécier la chute du bureau. Il lance un autre regard noir pour le Gryffondor n’appréciant définitivement ni son intrusion dans son bureau, ni ses manières et encore moins ses paroles. Néanmoins, il le laisse parler, l’écoute même, seul chose qu’il est encore capable de faire pour son ami à défaut d’adhérer à ses inepties sur les moldus. Il soupire et croise ses bras sur son torse.

« Alors il faut ignorer ce qui se passe dehors ? Il faut ignorer que les moldus chassent, brulent tant de sorciers ? Il faut ignorer que les enfants de certain de ces monstres foules de leur pieds les couloirs de cette école et que rien ne nous dis qu’ils ne vont pas nous dénoncer ? »

Le venin de la haine se répand dans chacune de ses paroles, alors qu’il serre les dents et les poings furieux. Dans sa tête bien trop d’image de massacre se font. Les cris d’une enfants sorcières raisonnant encore dans son esprits échos d’un cauchemar éveillé qu’il a vécu quelques années auparavant. Son cœur bat dans ses oreilles, alors qu’il est furieux face à son ex ami.

« Il n’y a aucun mensonge dans ce que je leur raconte, tu n’étais pas là Godric ! »

Salazar regarde son ami qui se rapproche de lui et le prend par les épaules et malgré leur passé si heureux ensemble, le Serpentard se tend de tous ses muscles et le toise. Il l’écoute et les paroles de Godric sont comme un coup poignard en plein cœur. Le plus le bienvenu effaçant tout le reste des paroles du Gryffondor. Il le repousse avec violence et le toise.

« Plus le bienvenu hein ? Cette école, j’en suis autant le fondateur que vous trois ! »

Le sang du Serpentard bouillonne dans ses veines. Il est furieux d’entendre ce que Godric lui dit. Même s’il le savait que Helga et Rowena voulaient le voir dehors, l’entendre de la bouche de la personne qui fut tant pour lui est douloureux. Et c’est d’autant plus douloureux que c’est lié à de foutu moldu. Il foudroie Godric du regard.

« Réveil toi Godric, le monde a changé et pas pour le meilleur. Alors, oui je pense ce que je dis. On ne devrait pas ouvrir cet angle d’attaque au moldu ! »

Salazar se détourne de son ami pour regarder la fenêtre empêchant ainsi ce dernier de voir la peine qui traversa son regard aux souvenirs d’un passé plus calme et d’un drame qui a tout changé. Il respire profondément et ferme les yeux se reprenant. Il écarte les souvenirs des flammes, du sang et reprend peu à peu son calme avant de se retourner vers Godric.

« Je n’arrêterai pas. Nos enfants doivent savoir ce qu’ils risquent que ça vous plaise ou non. »

Une détermination froide sur son visage, alors qu’il fixe le rouge et or attendant il ne sait trop quoi. Le combat ? Les hurlements ? Il ne sait pas, mais il attend quelques choses dans un silence glaciale et pesant qui s’instaure entre eux.
:copyright:️ DABEILLE

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“Je ne te demande pas d’ignorer la situation. Je te demande de regarder tout cela en dehors du spectre de ta haine ! Ces sorciers d’origine moldus sont tous en danger. Autant que n’importe quel autre sorcier ! Ne me dis pas que tu es aveugles à ce point ! Que tu est d’assez mauvaise fois pour ignorer cet état de fait !” Godric ne comprenait pas. Il ne pouvait pas accepté que son ami soit devenu si mauvais. Il le connaissait, il n’était pas comme ça… Où alors il avait été aveugle ? Peut-être bien. Il le voit qui s’éloigne de lui, physiquement, mais il le sent également loin mentalement. Entre eux un fossé s’est creusé. Un, fossé qui ne pourra plus jamais être franchie. “Et personne n'oubliera jamais que tu es fondateur de cette école. Nous feront vivre ton souvenirs et tes exploits. Nous ne cacherons rien de l’histoire de ce lieu. Mais nous ne pouvons pas te laisser allumé les flammes de la haine.”

Le sorcier avait les poings serrés, il savait que son ami ne se laisserait pas faire. Mais Godric n’était pas le meilleur duelliste de son temps pour rien. Il ferma les yeux, se disputer avec Salazar lui brisait le coeur. Il rouvrit doucement les yeux, observant le dos de celui qui avait été si proche de lui. “Un angle d’attaque ?! Tu t’entends ? Quand on a construit cette école nous étions d’accord. Un havre de paix, pour tous les sorciers ! Sans distinctions de rangs social ou de sang ! Quelle folie c’est imprégné dans ton esprit ?!” D’entendre son ami dire qu’il continuerait le fit soupirer de dépit. Il avait obtenu des deux autres qu’il irait lui même parler à Salazar et qu’il le ramènerait à la raison. Mais il semblerait que ce soit impossible. Salazar était perdu dans sa haine, aveugler par la peur.

“Si tu refuse, alors je suis désolé. Mais tu à jusqu’au lever du soleil pour t’en aller. Si tu ne le fais pas de ton plein grès… Je me verrais dans l’obligation de te faire partir. Je suis horrifié que l’on en arrive là. Mais tu ne me laisses pas le choix. Je dois protéger les étudiants. Tous les étudiants et tu mets en péril tout ce que nous avons construit durant toutes ses années.” Il porta sa main à sa baguette, s’il était doué en duel, Salazar ne se laisserait pas faire non plus et il avait peur que le brun ne l’attaque par surprise. “Je te laisse jusqu’à l’aube… Si tu n’es pas partie, je te mettrais dehors. Je ne peux pas te laisser empoisonner l’esprit des plus jeunes. Je ne peux pas te laisser détruire l’œuvre de nos vies. Pars… Et ne reviens jamais Salazar.”

Godric se tenait droit, dans sa cape de fourrure. Il ne laisserait personne créer clivage et haine dans son école. Personne, pas même Salazar. Il le toisait de son regard sombre, regard remplis de douleur, de tristesse mais également légèrement plus dur. Il faisait ce qu’il fallait pour sauver l’école, pour sauver le monde sorcier. “Nous devons nous montrer unis, nous devons faire en sorte de survivre… Et créer des dissensions ne réglera rien au contraire. J’espère que tu comprendras ma décision. Notre décision.”
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Là où Godric ne voit que des pauvres âmes en détresse, Salazar y voit des chiens galeux cherchant une faille dans leur ligne pour les attaquer. Il n’arrive pas juste à le voir comme des enfants, pas quand tant de cris hantent ses nuits. Des cris de plus en plus nombreux aux fils des années, parce que la barrière est menacée, fissurée à cause de comportement comme ceux des trois autres fondateurs. Quelles idées de faire confiance à l’engeance des moldus, comme si leur loyauté irait aux sorciers. Il sert les poings et toise son ami –ancien ami, amant- avec dégoût.

“Vous ne cacherez rien. Vous direz tout...blablabla... Je ne compte pas partir, alors cesse de parler ainsi de moi !”

Salazar a tant donné pour cette école, appris tant à de jeune sorcier prometteur, construit ses murs et certaines salles. Il ne peut pas se résoudre à juste partir comme ça, non à se faire chasser comme ça. Il ne peut pas l’accepter de Godric, pas après ce qu’ils ont vécu ensemble. Il fait un pas vers lui son regard de plus en plus glacial, alors que son ami continue de défendre ces satanés vermines. Il fronce les sourcils.

“Non vous avez décidé qu’ils seraient protégés et acceptés ici. Je n’ai JAMAIS été d’accord avec ça. Tu veux les voir comme de gentils petits choses, moi je les vois comme ils sont : des armes entre les mains de Moldu.”

La menace du Gryffondor le rend furieux. Il tremble de rage et passe une main sur son visage, en profitant pour murmurer quelques choses en fouchelang au serpent derrière le Gryffondor. Puis il laisse son bras retomber, alors que le serpent vient frôler le Gryffondor dans un sifflement menaçant avant de venir se lover dans le cou du Serpentard. Salazar se rapproche de son ami et vient poser sa main sur son torse empoignant sa chemise.

“Tu me menaces après tout ce que j’ai fait pour toi ? Et tu oses me demander de partir !”

Le serpent est furieux, son maître aussi. La pièce s’emplie du son de sonnette agacé du serpent et Salazar ne fait rien pour qu’il arrête trop concentrer sur Godric qu’il tient toujours. Le Gryffondor est peut-être meilleur duelliste que lui, mais Salazar n’a pas peur. Il est juste empli d’une colère froide de ce voir trahi par celui qu’il a protégé si souvent.

“Tu devras me virer par la force, mais je te jure qu’une malédiction s’abattra sur cette école à la minute même où tu me trahiras Godric.”

Salazar c’était rapproché de son oreille pour susurrer ces pâroles pleines de venin. Il recule en poussant Godric et le foudroie du regard. Il lui en voulait d’avoir oublié ce que les moldus avait fait à un membre de sa famille. Il lui en voulait de protéger ces démons, quand ils avaient fait couler tant de sang.

“ Si demain, je pars de cette école, alors je promets qu’un jour un de mes héritiers réveillera la bête qui dors dans les tréfonds et tuera cette engeance moldu jusqu’au derniers !”

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i thought we were friends Salazar x Godric La conversation avait prit le tour qu’il avait imaginé. Il avait espéré que cela se passe bien, mais il n’était pas idiot, il savait que Salazar ne changerait pas et qu’il n’aimerait pas s’entendre dire qu’il était prié de prendre la porte. Godric passa une main lasse sur son visage, il avait entendu les serpents, mais le traits de courageux au delà de la stupidité concernant les gryffondor n’était pas volée. Le rouquin n’en avait rien à faire. Et au fond il espérait encore qu’ils n’en viendraient pas aux mains. Enfin aux baguettes. Mais son ami l'inquiétait, vraiment. “Non, mais est ce que tu t’entend ! Et tu peux garder tes menaces pour moi, tu ne me fais pas peur Salazar et nous fouillerons cette école et tu le sais. Peut-importe ce que tu as caché dans les murs de cette école, je le trouverais.” Le roux avait compris que son ami était perdu, pour toujours, dans sa colère, sa haine, sa noirceur. Il en était peiné, terriblement, mais Godric était un homme qui savait faire passer les autres avant lui. Alors d’accord, il avait aimé Salazar plus qu’il ne l’aurait dû peut-être. Mais aujourd’hui, leur chemin ensemble ne pouvait plus continuer.

“Demain, avant que la cloche du petit déjeuner ne sonne, tu sera partie, de grès ou de force. Je le jure sur ce château Salazar. Je te laisse quelques heures pour faire tes adieux à Rowena et Helga, je te laisse le temps de récupérer tes affaires et de revoir une dernière fois tes étudiants si tu le souhaites. Mais demain matin, alors que l’auror naîtra à l’horizon, je t'escorterais de l’autre côté du lac et tu partira pour ne plus jamais revenir dans cette école.” Godric c’était redresser de toute sa hauteur, son regard d’habitude rieur était devenu aussi froid que les eaux d’un lac gelé. Il était prêt à se battre s’il le fallait. Il était souvent rieur, gentils, aimable, affable même, mais c’était un coeur de lion et personne ne venait mettre en péril son territoire et sa meute. Personne. “Fais taire tes animaux de mauvaise augure car je jure sinon de me charger de leur silence. Fais tes valises, emporte avec toi ta haine et ta lâcheté et ne reviens plus jamais. Si je te vois, je jure que je me chargerais de te faire comprendre le sens du mot jamais.”

Il quitta la pièce laissant à son ancien ami le temps de rassembler ces affaires, il retrouva pour sa part Rowena et Helga pour leur parler de leur discussion mais aussi de cette histoire de monstre. Il faudra qu’il enquête la dessus. Au matin, après une nuit blanche Godric attendait dans le hall, que Salazar arrive. L’heure du petit déjeuner sonnerait bientôt et toujours pas de trace du sorcier. En haut des escaliers il vit Rowena qui attendait, sans un mot, son regard sombre et pénétrant rivé sur les ténébres qui s’enfonçaient dans les cachots. A côté d’elle, Helga, Helga la douce qui tordait entre ces doigts un mouchoir blanc anxieuse que ces deux amis se déchirent. Godric les observa longuement leur offrant un signe de tête avant de revenir à son attente. Les étudiants sortiraient bientôt de leur dortoirs, il était presque certain que Salazar le faisait exprès, qu’il voulait se donner en spectacle. Mais soit, il le mettrait dehors sous les yeux des étudiants s’il le fallait et il leur donnerait une grande leçon. Celle de ne pas se croire supérieur, à personne pour une simple question de sang.

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La stupidité de son ex-ami l’énerve au plus haut point. Il lui parle encore de tolérance, du voile de haine qui lui couvrirai les yeux et du danger que courait les sangs de bourbe. Il le toise avec mépris. Il refuse de voir ces êtres si dangereux comme de pauvre victime potentiel. Ils sont dangereux, il ne mérite pas de vivre dans leur monde et il n’en démordrait pas. Même s’il n’est pas d’un naturel buté, il y a des limites sur ce qu’il peut accepter et sur quoi il pourrait prendre du recul. Le sujet du jour n’en fait clairement pas partie.

« Oh vous ne trouverez rien crois moi. »

Un autre sourire mauvais se dessine sur ses lèvres. Il sait parfaitement que sa chambre des secrets serait cachée tant que le temps ne sera pas venu pour ses héritiers de l’ouvrir. Godric pourra être têtue, Rowana maligne, ils ne risquent pas de trouver quoi que ce soit sans son aide. Et vu qu’ils avaient l’audace de le chasser de son château, il ne compte pas leur laisser le moindre indice sur l’emplacement de l’entrée de cette salle. Sa malédiction viendra marquer ce château dans les années ou siècles à venir.
Salazar observe son ancien ami, amant qui quitte la pièce. Il fronce les sourcils et envoie valser rageusement ses affaires dans la pièce quand il le sait assez loin. Il passe une main sur son visage et met plusieurs minutes avant de se reprendre. Il range ses affaires dans un bagage d’un coup de baguette pour se débarrasser de cette tache rapidement. La nuit lui servirait à peaufiner sa malédiction sur le château, il voulait qu’elle soit mémorable et il avait exactement l’espèce qui lui fallait pour ça. Il attend juste que le château soit le plus calme possible avant de bouger de son bureau.
Puis il traverse le château tenant dans une poche agrandie par magie de sa cape, une version bébé de la créature qui ferait un jour trembler ce château et les sangs de bourbes qui s’y trouveront. Il ouvre cette salle qu’il avait fait installer discrètement à la création du château, à cause d’une voyante qui avait prévu que ce jour là viendrait. Comme il aurait aimer que la voyante ce soit trompé, que ce soit un charlatan. Malheureusement, elle avait eu raison et Godric l’avait trahi de manière magistrale. Il soupire et dépose le bébé basilic et lui parle rapidement, avant de terminer de peaufiner sa malédiction avec un sort.
Le lendemain matin, il ne se présente pas à la grande porte choisissant de partir par la porte arrière. Néanmoins, un cadeau attendrait les élèves et les trois autres fondateurs. Une sorte de beuglante qui viendrait à eux qu’à une certaine heure pour énoncer la malédiction qui pèse désormais sur Poudlard. Dommage, qu’il ne soit pas là pour voir leur tête, mais il sait que cette dernière missive de sa part restera dans les mémoires pour les siècles à venir. Sourire mauvais aux lèvres, il disparait dans le lointain jurant de ne jamais revenir sur ces terres.

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Tout était fini et un gouffre sans fond s’ouvrir en Godric. Il avait perdu Salazar pour toujours un goût de cendre dans la bouche. Il l’avait attendu, longuement, mais n’avait pas vu le sorcier venir. Sur insistance de Rowena il c’était rendu dans les appartements de Salazar, vide et froid. Tout avait disparu, aucunes traces de celui qui fût son ami et bien plus. Il resta un moment dans la pièce. Bras ballant. Il finit par remonter et prendre sa place sur la longues tables des professeurs. Faire bonne figures, toujours. Il prit un verre de jus de citrouilles quand une beuglante explosa dans la salle devant lui. Slazar. Il serra la poings écoutant avec attention sans rien laisser paraître sur son visage. Parmis les étudiants c’était la paniques. Pas pour tous, ceux le plus proches de Salazar semblaient ravis et peu surpris. Le roux se redressa de sa chaise.

“SILENCE !” Aider d’un sort pour rendre sa voix plus forte, la salle tomba dans un silence profond les étudiants l’observant. Il fit signe à Helga et Rowena de se lever avec lui. Il était temps de parler. “Le départ du Fondateur Salazar Slytherine à était décidé à la majorité. Nous ne pouvions le laisser empoisonner vos esprits et les nôtres avec ces idées de sang pur. Poudlard n’a pas vocation de créer des conflits, au contraire. Notre projet à toujours était de vous rapprocher. De vous éduquer et de vous élever. Votre sang, le nom de vos parents, votre sexe. Cela ne veut rien dire. Vous êtes tous des sorciers et des sorcières. Et vous devez donc tous vous entraider. Oui, le monde extérieur est sombres et pleins de danger. Mais en sortant d’ici, vous aurez certes appris à vous défendre. Mais aussi, vous aurez gagner une famille, des amis, qui seront là pour vous aider dans les heures plus difficiles de votre vie. Ne laissez pas les mots de votre ancien professeurs vous plonger dans le doute et le chaos. Maintenant terminez votre petit déjeuner et allez tous en cours. Pour le moment le professeur Salazar n’étant pas remplacer nous nous chargeons d’assurer ces matières.”

Oui, les temps futures seraient sûrement plus difficile. Et pour Godric encore plus, car il lui faudrait faire le deuil de son ami. Mais ils y arriveraient. Tous ensemble. Car c’était là le rêve qu’ils avaient tous fait. Il se rassit et se tourna vers ces deux amies. “Ce soir, nous fouillerons l’école. Faites venir les autres professeurs et que les étudiants les plus âgés et le plus doués nous rejoignent aussi. Ne le laissons pas détruire Poudlard.”

THE END

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Sujet: Re: i thought we were friends Ft Lestrange

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