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 Drôle de reflet ♦ Orphium

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Elysium Holloway
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MessageSujet: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyMar 25 Avr - 2:38



Drôle de reflet

- @Orpheus Yaxley@Elysium Holloway -
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Boys will be boys, go and play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you act like a man. Boys will be boys, play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you come back a man.

Le goût métallique dans ta bouche n'a rien de nouveau, pourtant il est toujours aussi désagréable. C'est pas la première fois que tu goûtes à ton propre sang suite à un coup – et t'es malheureusement convaincue que ce n'est pas la dernière fois non plus –, mais à chaque fois tu ne peux pas t'empêcher de penser que le goût est affreux. Pas que Victor en ait eu quelque chose à faire lorsqu'il a écrasé son poing dans ta mâchoire. Tu sais pas s'il a vraiment pensé à grand chose, ce nigaud, hormis l'idée de te cogner et de te faire payer le simple fait d'exister. Il y a effectivement pas d'autre raison pour qu'il te tape dessus alors que ton plus grand crime a été de marcher dans le même couloir que lui. À moins que ce soit celui de l'avoir regardé – c'est même pas lui qui t'intéressait, tu cherchais simplement Cassandre, mais tes yeux ont eu le malheur de croiser les siens. Ça a suffi, apparemment. Peut-être qu'il a pris ça pour de la provocation, tu ne sais pas. Tu n'as pas non plus en vraiment le temps de lui poser la question comme il t'a projetée par terre avant que t'aies pu prononcer le moindre mot. T'as arrêté de compter les coups de pieds à trois – tu veux pas savoir combien de bleus maculeront tes jambes demain. Ta chance a été qu'il n'ait pas l'intelligence de viser les côtes – ce qui fait bien plus mal – ou une articulation qu'il aurait pu amocher plus facilement que tes cuisses et tibias. Tu aurais dû te contenter de ça, d'ailleurs, et t'avouer vaincue en restant au sol. Sauf que t'as eu la bonne idée de te relever, et que ça non plus ça ne lui a pas plu. « T'en as pas eu assez l'intello ? » Si si, t'as mal aux jambes à cause de ses coups de pied et au dos à cause de la chute, t'en as eu assez. Mais là encore, tu n'as pas eu le temps de dire quoi que ce soit : ses phalanges ont violemment rencontré ta joue et t'es retournée dire bonjour au sol, avec en prime un goût d'hémoglobine dans la bouche.

Tu craches le sang que tu peux par terre et te redresses de sorte à ne pas être dos à ton ennemi – tu préfères qu'il te frappe en face, pour pas avoir l'impression d'être totalement à sa merci. Il se baisse et te pousse violemment vers le sol, alors que tu t'évertues à protéger ta tête d'un choc trop fort contre le sol en pierre du château. Un cri de douleur t'échappe lorsque tu sens son pied s'abattre sur ton ventre, et tu n'as pas le temps de dire ouf qu'il t'attrape par le col de ton uniforme. Tu vois son poing se serrer et tu te doutes qu'il va finir dans ta face, alors tu tentes de dresser tes avant-bras comme protection entre sa main et ton visage. T'en reviens pas qu'il s'acharne à ce point sans aucune foutue raison. Tu te demandes si c'est parce que tu l'as battu au dernier contrôle d'Histoire de la Magie – t'as battu presque tout le monde, faut dire – ou si c'est carrément Alecto qui est derrière l'attaque du sang-mêlé aujourd'hui. Ça t'étonnerait pas, pour tout dire – mais dans ce cas t'espères que son ordre n'ait pas été de te casser le nez, car tu sais combien le remettre en place est aussi douloureux que le sentir se briser.
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Orpheus Yaxley
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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyVen 12 Mai - 11:30




Drôle de reflet

- @Orpheus Yaxley@Elysium Holloway -
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Boys will be boys, go and play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you act like a man. Boys will be boys, play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you come back a man.

Un an. Ça faisait un an que mon père et ses fichus comparses avaient été arrêtés par des aurors. Un an que les procès avaient débutés et fait la une des journaux des jours durant. Un an qu’on avait une fois de plus traîné mon nom dans la boue. Un Yaxley au service de Voldemort ?  Ça n'avait rien de surprenant, tous des vermines et prêts à saisir la moindre occasion pour gagner en puissance.
Si seulement…

Et en cette date anniversaire, ce fait qui avait fini par s’effacer peu à peu des esprits refaisait brutalement surface. Bien entendu, moi j’étais loin de l’avoir oublié : il s’agissait de mon père, de son arrestation, de sa disparition du cercle familial et tout ce que ça entraînait. Une mère éplorée et incapable de gérer quoique ce soit, une tourmente financière particulièrement marquée -heureusement que Selena était là, et un passage de flambeau quelque peu subi du rôle de chef de famille que je n’assumais pas du tout. Cette charge, à aucun moment on ne m’y avait préparé. Ou tout au plus, vaguement durant les quelques semaines de vacances s’étant écoulées entre la déchéance de mon frère aîné et l’arrestation de mon père, là où Persée avait eu des années. Mais comme tout ce qui caractérisait notre famille, tout s’était encore une fois déroulé de façon brutale.
Et cette semaine, grâce au splendide travail de quelques journaux célèbres en désespoir d’annonces croustillantes, tout me revenait une fois de plus en pleine gueule. Les regards, les remarques, les insultes. Merci les cancans et leurs “Un an après des procès de mars-avril 1979, on vous dit tout”. Quelle connerie.

Evidemment, ça m’avait mis d’une humeur de chien. Je n’étais pas du genre passif, tout au contraire, et quand on me cherchait des noises j’avais du répondant, qu’il soit verbal ou physique. Trois jours plus tôt, après le match opposant Serpentard à Gryffondor, c’était Taylor qui en avait fait les frais en me faisant totalement sortir de mes gonds. L’un comme l’autre, on en était sortis salement amochés, et ce serait sans doute allé loin si le garde chasse n’était pas intervenu. Si j’en portais encore largement les stigmates physiques entre ecchymoses et cicatrices barrant mon nez et mon arcade, elles n’en étaient pas moins présentes psychologiquement. Je me sentais particulièrement à cran, sur les nerfs, et je partais au quart de tour à la moindre contrariété. Ce qui n’était pas vraiment pour arranger mes affaires et nourrissait les ragots du “tel père tel fils”. Quelle connerie.

Sac sur l’épaule, je traversais le couloir du 2ème étage pour redescendre vers la salle commune. C’est un cri qui me tira des sombres pensées que je ruminais et me fit tourner la tête en direction du corridor adjacent, pour voir un élève qui s’acharnait sur un autre. Ou plutôt une autre, dont le liseré de la tenue arborait le vert propre aux Serpentard. Qu’on se le dise, je n’étais pas particulièrement du genre chevalier à défendre la veuve et l’orphelin, pourtant j’avais bifurqué en direction de l’altercation et m’en approchait d’un pas décidé. J’sentais cette foutue colère qui gonflait, m'enivrait, et pour dire vrai je crois que je voyais surtout là une occasion comme une autre de me défouler. Parce qu’il n’y avait pas mieux pour passer la rage que de cogner. Une attitude que j’avais sans nul doute hérité de Persée.

« Fous-lui la paix, Vic’. » lâchai-je en direction de l’agresseur qui tenait à présent sa victime par le col.

D’un coup d’oeil, je reconnus Elysium, la sang-de-bourbe Serpentard de ma promo. Deux étiquettes qui n’allaient absolument pas ensembles si vous voulez mon avis. Mais en plus de partager ma maison, contrairement à Victor, elle était un parfait prétexte. Et faute de réaction de la part du susnommé, je l’attrapais par l’arrière de son col pour le tirer en arrière avec brutalité, de quoi le faire lâcher de surprise.

« C’est quoi ton problème, Yaxley ?! » pesta l’élève en se retournant et en roulant des épaules.

Et un sourire mauvais se dessina à mes lèvres, parce que ça crevait les yeux qu’il était frustré que j’ai interrompu son jeu pour lui proposer un adversaire autrement à sa mesure. C’est que j’avais une réputation, celle de cogner fort, et de bien encaisser. Que dans la catégorie molosse ou gros bras, si c’était moi qu’on envoyait, la victime avait intérêt à courir vite.

« C’est qu’t’es sourd, mon porlock !  T’avais un message à faire passer aux Serpentards p’tet ?  Vas-y, j’t’écoute. »

Et sur l’instant, je n’avais qu’une envie : qu’il déraille. Qu’il fasse l’erreur de sortir de ses gonds pour lui en coller une. En réalité, je n’étais pas certain de vouloir attendre cette seule opportunité.

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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyLun 12 Juin - 0:44



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T'as suffisamment été victime de ce genre d'attaque gratuite pour t'être fait une raison quant au fait de te défendre. T'aimerais bien, parfois, parce que ta fierté en prend un coup à chaque fois que tu te laisses faire sans rien dire, à chaque fois que tu retiens des larmes de douleur en essuyant ton visage ensanglanté devant le miroir des toilettes, à chaque fois que tu te retrouves à dire à Mrs Pomfrey que tu es tombée dans les escaliers pour justifier le nombre de bleus sur tes jambes. T'aimerais ne pas être simplement une victime de ces coups qui pleuvent sur ton corps, mais t'as compris avec le temps que répliquer n'était pas une solution adaptée. Surtout face à des types comme Victor, parce que ça les énerve et ça les pousse à frapper encore plus fort pour te prouver qu'ils te sont supérieurs. Alors t'as trouvé une autre façon de ne plus être une parfaite victime : tu t'es rendue utile à ta maison, t'es fait un nom au sein de l'équipe de Quidditch et t'es assurée de rapporter suffisamment de points à Serpentard grâce à tes connaissances pour qu'ils te voient comme un atout plutôt qu'un boulet. Ça a plutôt bien fonctionné, d'ailleurs : on t'emmerde vachement moins depuis que tu as développé ces petits stratagèmes pour ne plus être la sang-de-bourbe – ou en tout cas plus uniquement. Mais aujourd'hui, tous ces efforts ne t'empêchent pas de te faire rouer de coup par Victor.

Il n'est même pas de ta maison, Victor, mais ça ne l'empêche pas de se défouler sur toi aujourd'hui. Tu saurais même pas dire pourquoi il fait ça, mais tu ne lui as pas demandé non plus : t'es bien trop occupée à minimiser les dégâts que font ses coups et à protéger ta tête lorsqu'il te projette sur le sol. T'es même pas sûre que le Gryffondor aurait une explication à te donner si tu lui posais la question : pourquoi t'essaies de me péter un tibia à coup de pieds, Victor ? Tu comptes pas la lui poser, de toute façon : t'as déjà fait l'erreur de te relever, ce qui t'a valu un coup de poing dans la mâchoire et un goût de sang dans la bouche, tu ne commettras pas une seconde erreur aussi stupide qu'une question qu'il percevra forcément comme de la provocation.

T'es encore au sol, une douleur fulgurante dans le bide parce qu'il vient d'y écraser son pied, lorsqu'il se saisit de ton col pour te redresser. Du coin de l'œil, tu vois son poing libre se serrer et tu sais déjà qu'il va atterrir dans ta figure. « Fous-lui la paix, Vic’. » Tu connais cette voix mais ne parvient pas à mettre un nom dessus. De son côté, ton bourreau se fout de l'ordre qui lui a été donné : y a qu'à voir son visage à la fois furieux et satisfait lorsqu'il serre encore un peu plus ton uniforme pour comprendre qu'il n'en a pas fini avec toi. À défaut de te débattre, tu couvres ton visage de tes avant-bras, certaine que tu ne vas pas pouvoir échapper à ce prochain coup. Mais le coup ne vient pas : la pression au niveau de ton col disparaît et tu retournes par terre, morflant heureusement moins que s'il t'y avait balancée. C'est là que tu reconnais Orpheus, un de tes coéquipiers de Quidditch, qui a tiré Victor vers lui pour qu'il te lâche. Ce dernier semble furieux, bien sûr, et pour être honnête t'as un peu peur que ça se retourne contre toi si Yaxley décide que finalement il n'en a rien à foutre de ton petit sort. Pour sûr, tu risques de payer deux fois plus pour l'égo abîmé du sang-mêlé. « C’est quoi ton problème, Yaxley ?! » Toi aussi tu te demandes quelle mouche a piqué le batteur, parce que c'est bien la première fois qu'il te défend lorsque tu te fais passer à tabac. « C’est qu’t’es sourd, mon porlock ! T’avais un message à faire passer aux Serpentards p’tet ? Vas-y, j’t’écoute. » Les yeux arrondis, t'as du mal à détourner les yeux de ce spectacle même si ton instinct te crie d'en profiter pour t'enfuir. Pour être honnête, tes jambes te font tellement mal à cause des coups que Victor t'a donnés que t'es pas sûre de tenir bien longtemps si tu te mets à courir pour te planquer dans les toilettes de cette étage. Sans parler du fait que tu risques d'avoir du mal à descendre à toute vitesse les escaliers qui te séparent de ta salle commune. « Ça te suffit pas de te taper la moitié du château, faut que tu te rabattes sur des intellos comme elle maintenant ? » peste le Gryffondor avec un dédain évident dans la voix, te désigne d'un geste méprisant. « Dégage, retourne faire mumuse avec ta batte pour te vanter de victoires que vous avez volés, » crache-t-il en poussant violemment Orpheus en arrière. Nouvelle hypothèse pour l'acharnement auquel tu as eu le droit : il l'a mauvaise depuis la raclée que vous lui avez mise il y a trois jours.
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Dernière édition par Elysium Holloway le Ven 27 Oct - 10:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyMer 30 Aoû - 16:42




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Peut-être qu’au fond, une part de moi n’était pas si différente de ce qu’étaient mon père et mon frère. Que j’étais un criminel en sursis, que tôt ou tard je ferai le faux pas de trop et que ce dernier me coûterait tout ce que j’avais. J’étais sans doute bien parti pour, compte tenu de la pente sur laquelle je m’engageai régulièrement et plus encore à ces dates anniversaires. Après tout… les chiens ne font pas des chats, c’est pas ça qu’on dit ?

Nonobstant cette vérité qui me pendait au nez et mon attitude frondeuse envers Victor, je me refusais d’y croire. Je n’étais pas un criminel, ou du moins pas un tueur comme pouvait l’être mon père. Mais j’avais cette violence au fond de moi, et j’étais incapable de dire si je l’avais toujours eu, ou si y’avait eu un déclencheur. Nul doute en tout cas que plusieurs événements l’avaient empirée, même si je ne m’en rendais pas spécialement compte. Et la colère, c’était quelque chose qui me bouffait et qui ne faisait qu’alimenter cette soif de violence qui me tenait le corps.

En parlant de corps, j’avais vu du coin de l’oeil que celui d’Elysium n’était pas en bon état. J’pouvais pas dire que ça m’importait plus que ça, pour le coup elle n’était qu’un prétexte comme un autre pour déclencher une bagarre bien sentie. Et je ne doutais pas que Vic déraille au quart de tour compte tenu de l’énervement que je lui voyais. Alors j’le provoquais un peu plus, pour le pousser au point de non retour.

« J’me taperai bien ta p’tite soeur et ta mère temps que j’y suis. » lâchais-je avec un sourire provoquant.

D’un geste, je roulais des épaules, trahissant nettement mon envie d’en découdre. La hargne était visible dans les iris du Gryffondor, qui s’énerva un peu plus avant de me repousser en arrière. Mon sourire, lui, ne fit que s’élargir alors que j’étais contraint de reculer de quelques pas. Ca y’est, il craquait.

« Plains-toi à Taylor ! Gryffondor a les pires batteurs de l’école, vous n’aviez aucune foutue chance. »

Bam, dans les dents de Taylor en passant. Mais mon poing, c’est dans la gueule de Victor qu’il s’écrasa, sans préavis même si les signes avant-coureur étaient pour le moins évidents. Le brute rouge et or tituba un instant sous le coup, se tenant le nez en retenant une plainte où se mêlaient rage et douleur. Mais je ne lui laissais pas le temps de reprendre contenance, et le repoussait en arrière avant de lui envoyer un nouveau crochet dans la pommette. De quoi le sonner un peu alors que je m’approchais de son oreille.

« Vous êtes que des loosers… pas des lions, juste de misérables p’tits chatons. Maintenant dégage avant que j’te fracasse une rotule. »

Un excès d’arrogance, peut-être, parce que je ne pus anticiper le fait qu’il m’attrape par le col pour m’asséner un coup de tête qui m’explosa mon arcade tout juste cicatrisée de ma précédente bataille avec Taylor. Je ne retins pas un juron alors que je sentis le sang rouler le long de ma tempe et partiellement brouiller ma vue. Tout ce que je savais, c’est que ce scrout à pétard allait morfler à un tel point qu’il n’allait plus pouvoir se regarder dans un miroir avant longtemps. Je me jetai dessus comme un forcené, l’envoyant au sol et le martelait de coups de pieds comme il avait pu le faire avec la Serpentard quelques minutes plus tôt. Sauf que moi, je frappais les côtes, les flancs, l’abdomen jusqu’à ce qu’il en vomisse ses tripes. Et je ne semblais pas particulièrement décidé à m’arrêter.


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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyVen 27 Oct - 10:40




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L'échange entre Victor et Orpheus ne manque pas d'être insultant pour ta petite personne mais tu ne te donnes pas la peine d'intervenir pour te défendre, sachant pertinemment que ça ne pourrait que se retourner contre toi. Si le Yaxley veut provoquer l'impulsif Gryffondor, grand bien lui fasse, toi tu ne t'y tenteras pas. Ce que tu devrais faire, c'est prendre tes jambes à ton cou, mais tes dites jambes te font encore mal et tu doutes de pouvoir semer Victor s'il décide de délaisser son adversaire actuel pour te faire payer ta lâcheté. « J’me taperai bien ta p’tite soeur et ta mère temps que j’y suis. » Comme si son attitude ne montrait pas suffisamment qu'il avait envie d'en venir aux mains, Orpheus y ajoute des provocations qui font sans mal fulminer son adversaire. « Sale bouse de dragon ! » Le Gryffondor sort de ses gongs, le poussant en arrière et l'envoyant paître, non sans le traiter de tricheur – référence à votre récente victoire sur le terrain de Quidditch. « Plains-toi à Taylor ! Gryffondor a les pires batteurs de l’école, vous n’aviez aucune foutue chance. » Victor n'a pas le temps d'en placer une qu'il reçoit un violent coup de poing et titube en arrière sous ton regard effaré. Tu devrais prendre cela pour un signal et te tirer, pourtant tu n'arrives pas à détourner ton regard de ce spectacle qui a quelque chose de fascinant – à moins que ton intérêt trahisse seulement ta volonté de voir ton bourreau recevoir ce qu'il mérite. Orpheus lui assène un nouveau coup puis s'approche de lui alors qu'il semble sonné.

Tu n'entends pas ce qu'il lui dit mais tu te doutes que ce n'est pas une proposition de trêve puisque Victor lui assène alors un coup de tête dont la violence te glace le sang. C'est d'ailleurs bien du sang qui s'écoule sur le visage du Yaxley, lui donnant un air presque effrayant... qui ne s'arrange pas lorsqu'il bondit sur son adversaire avec une rage bouillonnante. Le Gryffondor se retrouve projeté par terre et roué de coups de pieds comme tu l'as été précédemment, si bien que tu ne le prends pas en pitié tout de suite. Une part de toi se dit sans doute que c'est mérité, jusqu'à ce que tu réalises qu'Orpheus continue encore et encore de le frapper et qu'il n'a pas l'air de vouloir s'arrêter, ce qui te fait soudainement peur. « Orpheus ! » Tu ne sais pas si c'est ta voix trop frêle ou sa propre fureur qui l'empêche de t'entendre, mais le brun ne réagit absolument pas à son prénom. « Orpheus arrête ! » Toujours rien, alors tu te relèves malgré la douleur de tes jambes et te rapproches de ton camarade de maison. Tu poses ta main sur son épaule, espérant qu'un contact physique le fera réagir plus efficacement que ta voix. « Orpheus arrête ! » répètes-tu. Pendant une seconde tu hésites à le pousser pour qu'il ne puisse plus frapper Victor mais tu te ravises vite, craignant d'être celle qui prendra le prochain coup. Alors au lieu de ça, tu te contentes de serrer un peu plus fort son épaule et de le raisonner de façon plus pacifiste. « Ça sert à rien, arrête. » Victor est déjà par terre et se tord de douleur, alors continuer de le frapper n'a plus aucun intérêt si ce n'est un plaisir malsain qui t'inquiète un peu de la part du Serpentard. « S'il te plaît... » La vérité c'est que tu fais ça un peu égoïstement aussi, persuadée que ce qu'il est en train de faire risque de te retomber dessus d'une façon ou d'une autre.
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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyMer 22 Nov - 16:36





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Frapper, c’était devenu mon exutoire. Une porte de sortie à toute cette fureur qui m’animait et qui faisait brûler mon coeur depuis trop longtemps. Depuis tant de temps qu’elle avait perdu son sens, si tant est qu’elle en ait eu un un jour. Il ne restait plus que ces éléments abruptes, cinglants, qui faisait office de catalyseurs pour mieux la raviver. Et y’avait des jours où je ne savais plus vraiment si je vivais avec, ou pour cette colère qui me brûlait les tripes.

La violence, elle était devenue une vile compagne dont je m’accommodais bien. S’il lui arrivait de me remettre salement à ma place, je la cherchais aussi bien souvent pour tout ce qu’elle pouvait déclencher. De l’adrénaline, mais aussi ce sentiment de satisfaction lorsque je sentais mon poing s’écraser dans la gueule d’un autre. Et cette sensation… elle appelait souvent à être renouvelée, jusqu’à ce que je sois épuisé, ou que je constate que l’autre capitulait. Et ça donnait un p*tain de sentiment de puissance…

Sauf que là, les signes de capitulation du Gryffondor, j’en avais rien à secouer. Je les avais carrément occultés. Y’avait un mur qui s’était dressé dans mon esprit, et j’le voyais même plus ce scroutt à pétard qui s’était cru malin en s’attaquant à Elysium. Y’avait d’autres voix, d’autres visages, ces insultes que j’encaissais à longueur de temps à propos de ma famille, de mon père, et j’n’entendais plus que ça. Un brouhaha incessant qui me rendait dingue et c’type là, au sol, j’étais bien décidé à le réduire en bouillie.

Le contact sur mon épaule fut comme une décharge, qui ébranla la tempête au sein de ma tête. Je n’étais pas certain de m’en rendre vraiment compte, peut-être un peu, parce que cette fois j’entendis la supplique d’une voix féminine se glisser dans le vacarme, jusqu’à peu à peu les faire taire. Le souffle court, le regard incendiaire porté sur le crétin que j’avais roué de coups, je suspendis enfin mon geste, jusqu’à reculer d’un pas incertain. D’un geste, j’essuyais -ou étalais- un peu de tout ce rouge qui me brouillait la vue. Si la douleur n’était pas encore là, nul doute qu’elle allait se réveiller dans les minutes qui suivraient parce que cet troll cramoisi ne m’avait pas loupé. Et étrangement, j’avais un sentiment amer, désagréable, et très loin de celui recherché lorsque j’étais venu chercher querelle auprès de l’épave rouge et or. Je l’avais pas raté celui-là… ça craignait même.

« Bordel… » grognai-je.

D’un geste, je réajustais ma chemise puis ma cravate, toutes deux tâchées de gouttelettes vermeilles, puis je déviais un coup d’oeil vers ma comparse de maison. Celle-là même qui avait sans doute évité que j’aille trop loin. Confus, je l’étais, mais je tâchais de ne pas trop le montrer alors que je lui glissai une simple question :

« Ca va toi ? »

Parce que Victor non plus, avant que je ne débarque, ne l’avait pas loupée. Et si ça n’avait été qu’un prétexte pour moi, elle n’en restait pas moins une Serpentard et membre de l’équipe de Quidditch.
Ecoutant d’une oreille distraite sa réponse, mon attention s’était néanmoins reportée sur le Gryffondor. Cette fois, mon esprit était lucide, et je savais que je risquais gros si je ne me montrai pas convainquant. Et de mon point de vue, la meilleure des diplomaties dans ce genre de cas, c’était la menace. Je m’approchais alors de ma victime qui crachait encore ses poumons, et me penchai sur lui pour le saisir par le col. D’un geste un peu brusque, je le secouai pour m’assurer d’avoir son attention.

« Parle, et je ruine ta réputation et plus de ta sale face, Vic. » commençais-je avant de me pencher un peu plus pour murmurer à son oreille. « Et si tu t’attaques encore une fois à un membre de l’équipe, j’viendrais terminer le boulot. »

Suite à quoi j’esquissai un sourire qui avait un petit quelque chose de menaçant. Lui collant une tape sur la joue, je daignais le relâcher avant de me redresser et le toiser.

« Penses-y, de nous deux c’est toi qui a le plus à perdre. »

Suite à quoi je tournai les talons pour revenir vers ma camarade. Au moins, cette enflure ne devrait plus l’emmerder. D’un signe de tête, je l’invitais à décoller et mettre de la distance avec le Gryffondor, allant même jusqu’à lui proposer de l’aide pour marcher.

« On se casse de là. Ça va l’faire pour marcher ? »

Malgré mon assurance manifeste, je la sentais cette tension sur mes épaules. Parce que j’avais déraillé sans trop comprendre pourquoi, et que ça avait un côté déroutant, effrayant. Et je ne voulais surtout pas réfléchir, me retrouver seul et penser à cet enfer dans lequel je m’enfonçais bon gré mal gré.



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MessageSujet: Re: Drôle de reflet ♦ Orphium   Drôle de reflet ♦ Orphium EmptyJeu 11 Jan - 0:06


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Boys will be boys, go and play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you act like a man. Boys will be boys, play with your toys. Go and play with your toys. Stay in the sand 'til you come back a man.

Tu ne sais pas comment tout a pu dégénérer si vite, et surtout si violemment. Tu sais qu'Orpheus est du genre brusque lorsqu'il est perché sur son balai, mais après tout c'est son rôle : il est batteur, nullement sur le terrain pour compter fleurette aux adversaires. Tu n'étais pas vraiment surprise qu'il provoque Victor, et pour être honnête ça ne te gênait pas tellement lorsque ça détournait l'agressivité et la colère de ce dernier contre lui. C'est égoïste, sans doute, mais tu préfères ne pas être celle qui reçoit des coups. Et puis le Yaxley ne faisait rien pour calmer les choses, de toute façon, ne se privant d'aucune insulte qui lui passe par l'esprit. À croire qu'il la voulait, cette bagarre... Et il l'obtient à l'instant même où le Gryffondor lui assène un coup de tête d'une violence inouïe et qu'il réplique en lui bondissant dessus comme un animal sauvage.

Il te faut un peu de temps pour réagir, alors que sous tes yeux se déroulent un spectacle aussi brutal qu'effrayant. Orpheus n'y va pas de main morte, mais peut-être qu'au début tu t'es dit bien fait. Peut-être que tu t'es dit que Victor le méritait pour t'avoir rouée de coups sans raison, pour te détester alors que tu ne lui as même pas jeté un regard, pour faire partie de tous ces élèves qui te prennent pour un punching ball bien trop souvent. Alors tu as laissé ton camarade de maison faire, comme si cette vengeance indirecte pouvait te satisfaire. C'est idiot, sans doute. Qui te dit que le Gryffondor ne va pas t'en tenir responsable et venir te casser la gueule dès la semaine prochaine ? Qui te dit que tu ne le regretteras pas au centuple, d'avoir espéré qu'il goûte ne serait-ce qu'un peu à toute cette violence qu'il déchargeait sur toi à peine quelques minutes plus tôt ? Tu ne saurais pas l'expliquer autrement que par cette volonté presque cruelle qu'il paie pour ce qu'il t'a fait, mais que tu n'aurais jamais eu l'audace de mettre en œuvre toi-même. Orpheus le fait à ta place, comment pourrais-tu le blâmer ?

C'est ce que tu te dis au début, oui. Tu ne ressens pas de pitié mais presque une satisfaction malsaine de voir Victor souffrir comme tu as souffert. Jusqu'à ce que tu réalises que les secondes s'égrènent sans que les coups ne s'espacent : le Serpentard n'a pas l'air prêt à lâcher sa cible, et soudainement ça te fait peur. Tu n'as aucun attachement pour Victor mais tu ne veux pas être témoin d'un meurtre, ça c'est hors de question. Tes appels ne font absolument pas réagir Orpheus dont la violence ne s'atténue nullement, si bien que tu finis par te lever pour t'approcher de lui, non sans grimacer lorsque la douleur de tes jambes repart de plus belle. Tu n'oses imaginer combien de bleus vont fleurir sur ta peau demain, tentant de ne pas y penser alors que tu arrives à hauteur de ton camarade de maison et poses ta main sur son épaule. Tu lui demandes d'arrêter, d'une voix que tu espères ferme mais qui doit en réalité plutôt ressembler à une supplication parce que tu as peur. Peur de cette rage qui émane de lui et que tu crains de voir se retourner contre toi si tu l'arrêtes, mais aussi peur qu'il commette l'irréparable – même contre un crétin comme Victor. Heureusement, ton geste et ta voix semblent le faire réagir puisqu'il s'arrête finalement de cogner, le souffle court et l'air un peu incertain. Presque soulagée de ne pas t'être pris un coup de poing par accident, tu le regardes reculer et s'essuyer le visage, n'ajoutant pas un mot lorsqu'il constate le carnage qu'il a créé. « Bordel… » Il remet en place ses vêtements et tu ne peux t'empêcher de te dire que ça ne sert vraiment à rien vu tout le sang qui s'y trouve – sans parler de son visage de travers, d'ailleurs. Mais le Yaxley semble n'en avoir rien à faire, se tournant plutôt vers toi. « Ca va toi ? » Surprise par sa question, tu hoches pourtant la tête. Tu as toujours aussi mal, et honnêtement te remettre debout n'a fait que raviver la douleur, mais tu ne veux pas lui donner la moindre raison de continuer cette boucherie. « S'il te plaît laisse-le tranquille... » Cette fois c'est une requête que tu formules, parce qu'il y a eu assez de coups et de sang versé, même si c'est celui d'un sombre idiot qui a coulé en dernier. Alors lorsque tu vois Orpheus se rapprocher de sa victime, tes yeux s'écarquillent et tu crains le pire. Ne t'a-t-il pas écouté ? Il n'avait pas l'air très attentif, c'est vrai. Mais à quoi bon continuer ? Il veut le tuer ? D'un air un peu effrayé, tu le regardes s'abaisser à sa hauteur. Tu n'es pas assez courageuse pour intervenir. Si Victor doit mourir aujourd'hui, alors il mourra seul, tu refuses de l'accompagner vers ce funeste destin alors que toi tu n'as rien fait. Pourtant ce n'est pas ce qu'il passe : le Serpentard se contente de le saisir par le col et de le secouer, ce qui ne manque pas de faire grogner de douleur sa victime. « Parle, et je ruine ta réputation et plus de ta sale face, Vic. » Le ton qu'il emploie te fait comprendre qu'il est parfaitement sérieux et, pour toi, ça a quelque chose de rassurant – tu doutes que Victor puisse en dire autant. Tu n'entends pas la suite de ce qu'Orpheus lui dit, ce dernier s'étant mis à murmurer à son oreille trop bas pour que les mots parviennent jusqu'aux tiennes. Il finit par se redresser, non sans l'avoir un peu malmené à nouveau d'une tape sur la joue. « Penses-y, de nous deux c’est toi qui a le plus à perdre. » Tu n'es même pas sûre de vraiment comprendre ce qu'il insinue – ces histoires de pureté du sang et de guéguerre entre les familles, ce n'est pas ton univers –, mais tu te contentes d'espérer que cette menace suffise et que Victor se tienne à carreaux. Ça ne serait pas bon pour ta réputation déjà bien fragile, qu'on apprenne que tu as laissé un type se faire massacrer dans un couloir de l'école. Et tout le monde se ficherait qu'il t'ait fait la même chose avant, bien évidemment.

Orpheus se rapproche de toi et te fait signe de venir avec lui à l'opposé du Gryffondor toujours au sol. « On se casse de là. Ça va l’faire pour marcher ? » Tu jettes un regard en direction de Victor. Est-ce que vous ne devriez pas faire quelque chose ? Mais quoi ? Appeler Mme Pomfrey ou n'importe quel professeur du château ferait de vous des suspects et vous assurerait des retenues jusqu'à la fin de l'année, voire même une exclusion du château. C'est hors de question. Alors tu reportes ton regard sur le batteur des Serpentards, décidant que le sort de ton bourreau n'a plus aucune importance. Tu lui as évité de finir six pieds sous terre, tu as fait ta part. « Je veux bien un peu d'aide, s'il te plaît, » admets-tu d'une voix incertaine, pas forcément fière d'avoir à demander ça. Mais tu es bien obligée d'écouter ton corps meurtrie : ça allait pour faire quelques pas et éviter à ton camarade d'achever Victor, mais pour marcher jusqu'à vous trouver un coin tranquille tu es moins sereine. Alors tu saisis volontiers le bras que le Yaxley te propose pour t'aider et le suis dans la direction qu'il souhaite. « Merci d'être venue m'aider. » Tu aurais espéré un peu moins de violence et de sang, mais sans lui tu ne sais pas dans quel état tu aurais fini la journée. « Toi... Ça va ? » oses-tu finalement demander, parce que tu n'arrêtes pas de penser à cette rage que tu as lu dans ses yeux comme ses coups et qui t'a glacé le sang.
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DU 1er NOVEMBRE 1980 AU 31 DECEMBRE 1980
L'équilibre de la magie est en péril. Lors de la Fête de Samain, le 31 Octobre 1980, des évènements étranges sont survenus un peu partout dans le monde magique : des sortilèges ont détruit la Place Divine, le sortilège protégeant le Chemin de Traverse a disparu, laissant les moldus entrer dans le monde magique et un dragon a attaqué Pré-au-Lard.

Pour essayer de comprendre ces évènements, le Ministère de la magie offre la Bourse Greengrass aux sorciers scientifiques désireux de trouver une réponse à ces évènements.

A Poudlard, les élèves ont eut à faire face au premier examen de mi-trimestre : une attaque de créatures, dans le coeur du village de Waterford.

Les élèves méritants ont été récompensés et les redoublants doivent à présent travailler deux fois plus pour rattraper leurs retards.