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 Irrelevant || Zero & Colin

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Colin Fawley
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MessageSujet: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyDim 17 Mar - 12:47


T'as le coeur qui frappe.
Les oreilles qui bourdonnent.
La nausée qui t'écrase la gorge.
Depuis des jours t'es pas capable de réfléchir, de faire le moindre mouvement sans qu'il pèse une tonne. Tu sais plus comment réagir, comment avancer, comment exister. T'es là, épris dans les émotions qui t'étreignent pour te faire tourner la tête et tu te sens prisonnier. Tu voudrais t'enfermer dans le noir sans plus jamais voir la lumière du jour, resté allongé sans que rien ne te force à sortir de chez toi, tu voudrais manger, dormir, lire - puis ton cerveau s'efforce d'exiger rien de plus que l'immobilité. Tu voudrais pleurer, mais t'es pas capable.
Tu ignores les lettres de ton grand-père, les exigences de ta famille, tu veux plus du sang qui coule dans tes veines.

Mina s'inquiète pour toi, mais sait mieux qu'à juste t'engueuler ou frapper à ta porte quand elle voit qu'elle reste obstinément fermée. Heureusement vous vivez ensemble, pas loin de la Place Divine qui est son lieu de travail. Au moins elle reste pas longtemps absente - et parce que tu l'aimes, au moins, t'es capable de sortir pour boire un verre avec elle quand la lumière du jour se lève et qu'elle revient de son service.
Ca dure un moment mais t'es pas capable de savoir combien, avant qu'elle se mette à poser des magasines et des articles de presse sous ta porte. Tu mets un moment à comprendre pourquoi jusqu'à ce que tu le vois lui chaque fois.
Lui.
Zero. L'inconnu du Zoomagic.

Tu restes con, parce que c'est comme ça que tu te sens. Con. Tu découvres dans les articles qui il est. Tout ce qu'il fait. Ce qu'il donne à l'existence pour la rendre meilleure. Tu découvres ses textes, ses chansons, ses vêtements. Tu découvres les soirées mondains, les réputations, les rumeurs, l'amour des fans. Tu découvres à travers les articles tout ce que le monde sorcier savait déjà mais à côté de quoi t'es passé.
Sauf que Zero pour toi c'est le type qui s'inquiétait de savoir si un hippogriffe aurait justice. Si un occamy pouvait vivre heureux derrière un grillage. S'il pouvait aider à sauver plus de vies.

Ca te parait étrange et fascinant à la fois. Finalement, ca te donne une raison de te laver, de t'habiller - ça te parait atroce de lire ces articles dans un état lamentable. Quelque part, tu peux pas le supporter. La nouvelle année approche, il y a un bal qui sera donné à Poudlard, et avant cela des soirées un peu partout en ville. Zero joue au Nemesis, déclare un jour Mina, l'air de rien.
Une raison pour sortir, lâcher tes livres et tes recherches qui sont ta seule occupation ces derniers temps. Lâcher tout ça et lâcher prise. Elle viendra te rejoindre après, comme le Drunk Broom aura pas besoin d'elle bien tard.
Alors tu la laisses t'aider à préparer tes affaires, promettant de pas faire le moindre commentaires à ce qu'elle va te faire choisir. Ni sur le pantalon noir serré qui te fait un cul d'enfer , ni sur le débardeur noir qui épouse ton corps, ou la veste en jean déchirée qui l'accompagne. Tu mets du khôl, parce qu'elle te dit de le faire, et que tu veux pas te battre contre elle.

C'est comme ça que tu te retrouve au Némésis, dans la foule qui s'amasse pour voir monter sur scène Zero Hiroaki. Tu restes dans le fond, à une table sur laquelle tu collectionne les verres de cocktails que tu entames sans les finir - pour les goûter tous. Et quand il chante, le temps s'arrête - ça gueule et ça danse, ça te fait tourner la tête - et après un verre de plus, tu rejoins la foule qui est devant la scène, pour tortiller du cul en rythme comme les autres. C'est pas souvent que tu bois, moins encore que tu sors, jamais seul non plus.
Mais t'as besoin de lâcher prise. T'as besoin de plus penser à ta vie qui s'étiole. Et sur la musique de Zero tu t'oublies, tu souris, tu danses. Tu reprends vie.

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I. Zero Hiroaki
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyMar 2 Avr - 0:17



Tu sors de ta loge après t'être assuré que ton maquillage était parfait, autant que ta tenue. Aussitôt une de tes assistantes arrive en courant vers toi et t'accroche un micro ensorcelé qui te servira lors de ton concert puis, elle te donne une dernière fois les recommandations. Ce soir vous jouez à guichet fermé et des fans en délire attendent encore dehors pour rentrer, il n'y aura pas assez d'espace pour tout le monde alors si à tout instant on te demande de quitter la scène parce que ça devient invivable alors tu devras obéir. Pas que ça t'enchante mais c'est déjà arrivé, que les fans rentrent de force dans un lieu où tu te produisais. Parce qu'ils voulaient te voir, t'entendre, te parler. Vous avez failli finir en drame ce soir là car une fille s'est faites piétiner et toi tu as bien cru qu'on t'arracherait toute ta tenue dans l'espoir d'avoir un morceau. Ainsi tu hoches la tête avant de sortir de ta poche un papier contenant ton dernier morceau, que tu feras au milieu du show. Tu parviens à écrire, ce n'est pas au rythme de ta jeunesse mais quand même tu as réussi à sortir quelque chose de nouveau, plus que dix ou douze et tu auras un album complet à proposer à tes fans. Jamais ça n'a été si dur pour toi de sortir quelques mots et pourtant... Ca revient, tu réalises aussi la période noire que tu as traversé ces dernières semaines.

Mais tu n'en es pas encore sorti alors même si le concert s'annonce être une explosion de joie et de succès, tu dois encore rester prudent concernant la page blanche que tu te traînes. Mais pour ne pas penser à cela tu avales une gorgée de jus de citrouille avec du miel pour ta voix, tu ajustes ta veste et soudainement tu es sur scène pour la meilleure partie de ta soirée. Aussitôt ça hurle, ça se déchaîne et le public danse déjà quand les premières notes de ton morceau d'ouverture se font entendre. Déjà tu ne penses qu'à cela, à cette soirée et ce show que tu dois assurer. Ni aux angoisses, aux peurs, à ton nom ou à la page blanche. Juste ton public et toi pour deux heures de spectacle.

Tu es en sueur, le concert est bientôt à la fin et soudainement le silence se fait quand tu débutes une de tes musiques calmes. Assis sur un tabouret tu es là, seul avec toi même et ce micro qui te permet de chanter alors qu'avec ta magie de l'air, tu traces des merveilles sous les yeux de ton public. Des scènes de vie qui accompagnent tes paroles en japonais, une langue que personne ne comprend ici ou si peu mais qui te permet de chanter ce que tu ne peux pas dire en anglais. La mélodie douce permet d'apporter un peu de calme à cette soirée qui fut délirante, le public se calme et s'illumine de quelques points fait de baguette éclairée de lumos contrôlés. Toi tu joues avec les formes, tu ne penses plus à rien alors que tes yeux passent de visage en visage. Jusqu'à s'arrête sur celui du beau gars du zoomagic, perdu là dans cette foule. Tu clignes des yeux une fois, deux fois avant de réaliser qu'il est bien là. Et tu sens ta bouche se tordre d'un sourire sincère quand tu le reconnais. Puis la musique cesse et une dernière se fait entendre pour clôturer le show. Tu as le temps de dire à ton assistant entre deux notes, de faire venir le beau blond du premier rang dans les coulisses une fois que le spectacle sera fini.

Tu quittes la scène en sueur mais heureux, le sourire aux lèvres et fier d'avoir réussi à tenir un show malgré ta page blanche depuis des semaines. Ta nouvelle musique, en un japonais que tu n'as jamais su explorer avant cela, a été plusieurs fois applaudies et malgré le rappel du public que tu as honoré deux fois, il te faut à présent rentrer dans ta loge pour prendre une douche. Ton assistante elle, part chercher Colin car il était là ce soir et tu comptes bien lui parler, surtout qu'il sort difficilement de ton esprit depuis votre rencontre. Toi tu te jettes sous le jet d'eau brûlant avant d'en sortir pour t'habiller plus simplement que ta tenue de scène, quand on frappe deux fois à la porte pour le laisser entrer. Et ce qui te frappe, c'est sa tenue sobre mais parfaite sur son corps sculpté. Tu as déjà le sourire aux lèvres quand tu croises son regard cerné de khôl noir. Pendant un instant tu ne sais pas quoi lui dire alors tu sers deux verres de jus et tu lui en tends un, quand vous vous retrouvez tous les deux. « Ca t'a plu ? Je ne pensais pas te voir ici ! » Ca semble être une belle entrée en matière.

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Colin Fawley
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyMer 3 Avr - 22:12


T'as le coeur qui frappe, hurlant les paroles de chansons que tu ne connais pas. L'alcool coule dans tes veines, te fait perdre tes limites, te fait tomber tes retenues. T'as plus envie de réfléchir, t'as juste envie d'exister, de vivre. Et bam, et bam, et bam. Tu frappes du pied au rythme des paroles chantées par Zero - et tu comprends pourquoi les autres gueulent avec toi. Il y a de l'électricité dans l'air, mais quand tu poses un regard sur lui t'as l'impression de le voir. De le voir lui. T'as pas capable de voir la star, intouchable et lointaine. Tu vois le type qui a passé des heures avec toi à prendre soin des animaux du zoomagic et à discuter de tout et de rien.
Tu le vois lui. Et t'es heureux de le voir le sourire sur la gueule et l'énergie qui traverse son être. Jusqu'à ce qu'il s'arrête un moment. Puis là, c'est pire encore. Là c'est tout qui tourne autour de toi, le reste qui s'efface et juste lui. Lui et sa voix, lui et ses paroles, lui et cette chanson. Elle te rappelle une comptine que ta mère te chantait. Elle te rappelle tout ce qui fait que tu es toi. Elle te rappelle Piper. Et tu sens tes larmes qui montent sur tes joues. Tu tournes dans l'obscurité, retourne près du bar, et demande un verre d'un geste de la main. Un shoot, que tu avales pour te brûler le gosier. Quand il termine de chanter, t'es à peine capable de respirer. Il te touche en plein coeur, et ton coeur est douloureux.

Le show se clôture mais t'es déjà ailleurs. T'as le coeur qui se sert et l'envie simple de te retrouver ailleurs. Sauf que t'es pas capable de bouger. T'es là, à fixer ton verre vide et t'es perdu. Quand il y a une jeune femme qui vient vers toi avec un sourire aimable et qui se penche en posant une main amicale sur ton épaule. Si vous voulez bien me suivre, Monsieur ? Tu opines, l'entendant à peine mais tu te lèves et tu la suis. Elle ouvre une porte que t'as pas remarqué pour te faire traverser un couloir jusqu'à ouvrir une porte et te laisses y rentrer; Tu réalises alors que tu es dans une loge.
Tu sais pas si c'est les larmes que tu effaces sur tes joues ou l'alcool mais t'es pas sûr d'être en parfait contrôle de ton corps et de tes réactions. Quand il sort finalement de ce qui doit être une salle de bain, tu es frappé par la simplicité de sa tenue. Tu restes un moment la bouche ouverte en attendant de trouver quelques choses d'intelligent à dire. Sans doute pas. Tu essais de dire quelque chose mais la seule chose qui sort c'est une sorte de grognement. Ca t'a plu ? Je ne pensais pas te voir ici ! Moi non. Répondis-tu en toute honnêteté. Tu sentis tes joues devenir chaudes, et avec tellement d'émotions dans le corps t'es pas certain de pouvoir tenir debout encore longtemps. Tu étais incroyable, sur scène. Dis-tu à ton tour, parce qu'apparemment tu as encore assez d'alcool dans le corps pour parler avant de réfléchir. Je comprends que tu sois aussi connu. Moins pourquoi je te connaissais pas. Mais j'écoute pas beaucoup de musique - je prends pas le temps pour ça. Pas plus que pour sortir. Mais là j'en avais besoin. Et je suis content de... de t'avoir vu sur scène. Dis-tu finalement, avant de réaliser que tu as oublié de respirer pendant que tu parles.

T'es essouflé et avisant les bouteilles de jus et d'eau autour de vous, tu te dis que rester là encore un peu peut pas être une mauvaise idée. Tu vas... faire quoi ? Maintenant ? On peut... rester un peu là ? Discuter ?

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I. Zero Hiroaki
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyVen 5 Avr - 15:48



Tu attends qu'on veuille bien te ramener Colin comme tu l'as demandé, espérant qu'il ne soit pas déjà envolé dans cette boite où il y a énormément de monde. Tu es patient, préférant retrouver forme humaine en abandonnant ton maquillage et ton costume de scène pour une tenue plus simple, sobre et tranquille. Comme après chaque concert tu sens une fatigue violente tomber sur tes épaules, tu aurais envie de rentrer chez toi pour t'allonger dans ton lit et te reposer mais l'idée de voir Colin te fait battre le cœur plus vite, une sorte de poison coule dans tes veines et te donne assez d'énergie pour tenir encore une bonne heure voir deux, si il le souhaite. Tu finis par te demander si ton assistante va le trouver quand justement la porte s'ouvre et qu'il est là, mignon comme tout mais le regard brouillé de celui qui a un peu trop bu. Pas assez pour se traîner au sol heureusement, sinon tu n'es pas certain de pouvoir le suivre dans la conversation, tu es trop sobre pour ça. « Merci ! » Dis-tu en sentant que ton cœur se réchauffe à ses mots, pourtant ce n'est pas la première fois qu'on te le dit mais c'est la première fois que ça te fait si plaisir. Ca et quand Cal passe te voir pour te dire que le show était merveilleux, tu sais que ta meilleure amie est toujours sincère, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.

« Ce n'est pas grave au moins notre rencontre a été authentique... Tu vois ? » Et parce qu'il a l'air perdu, tu finis par lui faire signe de s'installer dans le canapé, chose que tu fais aussi. Tu te laisses tomber au milieu des coussins, non sans lâcher un râle de bien-être quand tu sens ton dos malmené qui se colle délicieusement aux coussins moelleux. « On peut oui... Mais je peux te demander de me faire une promesse ? Je voudrais que ma célébrité ne soit pas un frein à notre... Bonne entente. Tu m'as rencontré sans savoir qui j'étais et c'était agréable de ne pas être regardé comme une star alors je voudrais que tu restes naturel, si tu le peux, d'accord ? » Autant dire que tu n'as pas beaucoup d'amis car la plupart sont avec toi pour l'argent ou pour récolter un peu de la célébrité que tu as avec toi. Ce qui n'a rien d'agréable, tu apprécies les relations authentiques et c'est pour cela que lorsque tu as des amis, tu les gardes longtemps, le plus longtemps possible car au moins ils te connaissent réellement. 

« Comment tu vas depuis la dernière fois ? Et comment vont tes petits protégés ? » Que tu finis par demander non sans un sourire tendre qui vient fleurir sur tes lèvres. « Les dons ont finis par remonter ? » Tu as, en tout cas, fait passer le mot dans la presse qu'un tel lieu existait et qu'il serait bien pour les sorciers de le préserver en se montrant généreux. Tu ne saurais dire si l'appel a été entendu mais si il faut le refaire alors tu le referas sans soucis. « Tu veux une potion contre l'ivresse ? » Parce qu'il ne l'est pas totalement mais assez pour t'inquiéter un minimum.

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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyMar 16 Avr - 11:45



Tu es dans la loge d'une célébrité à sa demande.

Tu es dans la loge d'une célébrité. Parce qu'il a demandé à te voir. A t'avoir là. Dans sa loge. Tu essaies de réaliser ce qu'il se passe, à qui tu pourrais le raconter pour faire sensation et avoir droit à des rires hystériques et des malaises d'extase. Sans doute à Mina - bien qu'elle répondrait plutôt en levant les yeux au ciel avant de te tapoter la joue comme si tu étais un enfant. Mais tu le raconteras à Mina, lui montrant que t'es pas si mauvais. Que finalement, la vie se fait joueuse avec toi : d'un côté elle fout ta mère dans le coma, de l'autre elle t'amène dans la loge d'une célébrité.

T'as la tête qui tourne - et pas tant à cause de l'alcool que parce que le type en face de toi est magnifique et tu t'as trop bu pour ne pas le penser. Ou pour pas le dire. Tu réalises aussi qu'il est aussi hypnotique sur scène, qu'il est adorable sans son maquillage et son habit de lumière. Il porte un déguisement avec une telle facilité que t'en viens à te demander s'il est pas lui-même chaque fois. Sur scène, comme maintenant. Mais maintenant il te rappelle le type que t'as rencontré au zoomagic, et qui a pas quitté tes pensés depuis. Ce n'est pas grave au moins notre rencontre a été authentique... Tu vois ? T'opines, parce que tu imagines qu'il a raison. Tu peux pas vraiment le penser - faut dire que t'as pas sa vie après tout, et tout ce qui s'emporte avec la célébrité. Mais tu supposes que vivre des vraies relations doit pas être évident. Alors tu te laisses aller à découvrir son coin de repos - à t'emporter dans un fauteuil comme il se laisse tomber dans le canapé et à passer un moment agréable avec lui.  On peut oui... Mais je peux te demander de me faire une promesse ? Je voudrais que ma célébrité ne soit pas un frein à notre... Bonne entente. Tu m'as rencontré sans savoir qui j'étais et c'était agréable de ne pas être regardé comme une star alors je voudrais que tu restes naturel, si tu le peux, d'accord ? Tu opines là encore, à croire que t'es pas capable de mieux - avant de te forcer à répondre quand même parce que tu sens bien qu'il a besoin d'être rassuré : Je suis venu parce que j'étais curieux de te voir sur scène. J'ai vu que tu jouais là - ma meilleure amie était scandalisée que je sache pas qui tu étais. Enfin, que je sache pas cette partie là de toi, plutôt. Mais ça change rien - j'suis pas une groupie. Sauf avec les Croups. Mais un Croup est capable d'apprendre plus de 3000 mots d'ordre différent. Lances-tu, te giflant mentalement pour pas être capable d'avoir une conversation normale.

Ou peut être que tu pourrais, parfois. Ou essayer.  Comment tu vas depuis la dernière fois ? Et comment vont tes petits protégés ? Tu ouvres la bouche mais tu trouves pas comment bien répondre à cette question. Depuis la dernière fois ma vie est devenue un tel chaos que je ne sais pas comment j'ai réussi à pas pleurer comme un enfant depuis les deux dernières heures. Certainement pas le truc à dire, alors tu ignores la question plutôt et réponds à la première : Ils vont bien. L'hippogriffe que tu as vu récupère plus de motricité qu'on pensait. Alors on garde espoir qu'il reprenne confiance en lui. Dis-tu, pensant que les nouvelles de la créature lui ferait plaisir. Faut dire que depuis que vous vous êtes rencontrés, le Zoomagic s'en est très bien sorti. Les dons, les aides et les venues ont augmenté et tu commences à penser qu'il n'y est pas pour rien là-dedans.  Les dons ont finis par remonter ? Au-delà de nos espérances. Ce qui me fait penser que je dois te remercier pour cela. Alors je t'invite à dîner, un jour ? Demandes-tu, rougissant furieusement en écoutant tes propres paroles - prononcées avec tellement de nonchalance, comme si c'était la chose la plus normale à dire ou à faire. Mais t'es lancé, pas moyen de faire marche arrière. Genre demain. Puis si tu veux pas risquer d'être vu en public - j'peux te faire à manger chez moi ? Avec Mina au milieu qui manquera pas de glousser et rire de ton infortune. Ou qui viendra avec sa petite amie pour jouer de la trompette dans la chambre d'à côté sans égard pour vous. Ou chez ma mère plutôt. On y sera plus tranquille. Ma colocataire est du genre... à adore m'embarrasser. Tu réalises que t'as à peine pris ton souffle entre deux paroles.

Tu veux une potion contre l'ivresse ? Il te le propose avec douceur et inquiétude, et un moment tu réfléchis. Mais à dire vrai, t'as pas été si bien depuis des jours, et l'ivresse y est sans doute pour quelque chose dans ta capacité à ne pas penser à tout ce qui tourne à l'envers dans ta vie. Alors tu secoues la tête. Je te remercie non je... L'alcool me rend plus joyeux, et j'voudrais pas que tu me vois dans l'état de loque humaine où je me traine depuis des jours. Un moment tu te demandes si tu as vraiment dis ça ? Oui. Tu crois bien que tu l'as dit. Vite, changement de sujet : Outre être un sorcier charismatique et un chanteur incroyable, tu as d'autres talents que tu offres au monde ?



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I. Zero Hiroaki
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyJeu 18 Avr - 23:12



Un croup, il termine toujours par te parler de ses créatures et la chose t'arrache un petit rire amusé mais aussi tendre. Tu le trouves mignon, ne serais-ce que parce qu'il trouve ces créatures merveilleuses et qu'en effet tu découvres toi aussi qu'elles sont fantastiques. Magiques certes mais plus encore, elles cachent des beautés que tu n'aurais pas pu imaginer même dans tes rêves les plus fous, sans doute parce que tu n'as pas été frappé et émerveillé par tes cours lorsque tu étais à Poudlard. Tu les trouvais belles oui et intéressantes mais pas comme Colin, pas au point d'en parler avec des étoiles dans les yeux et ce sourire sur le visage qui te laisse penser qu'en effet il a trouvé sa voie, ce qui l'intéresse mais aussi la raison de se lever tous les matins. Et toi tu trouves ça charmant, parce qu'il n'y a rien de plus plaisant que de voir quelqu'un être sûr de ce qu'il veut. « Et ça détruit tout, du pneu en passant par les meubles en bois brut ? » Tu te souviens de cela au moins, ce qui te permet de tenir une conversation sur les créatures sans que ça soit un miracle malgré tout. Colin en sait bien plus que toi évidemment mais surtout, il semble se régaler des petits détails que le commun des mortels doit trouver ennuyant.

Tu apprends que l'hippogriffe reprend des forces et une certaine autonomie et tu ne saurais dire pourquoi mais cela te met en joie. Sans doute parce que les créatures sont innocentes et il y a bien une chose que tu ne supportes pas, c'est de voir des pauvres choses sans défense être malmenées par des sorciers. Et l'hippogriffe, vu son état, est l'exemple même de ce que tu ne supportes pas. Tu es surpris par sa proposition mais tu n'as pas le temps de répondre qu'il renchérit en te proposant de venir chez lui. « J'en serais enchanté. Chez toi ou au restaurant, tout me convient. » Dis-tu aussitôt, parce que tu ne veux pas qu'il pense une seconde que tu puisses ne pas le vouloir. Au contraire l'idée de manger avec lui est très agréable soudainement et tu as hâte d'être à demain. « « D'accord, va pour chez ta mère si cela te rassure ! Qu'est ce que j'apporte ? » Parce qu'il est inconcevable pour toi d'arriver les mains vides, tu as été bien trop éduqué avec des règles strictes pour te présenter sans rien sous le bras.

Tu proposes une potion et sa réponse te fait froncer les sourcils, sentant soudainement l'inquiétude monter en toi alors que tu préfères avaler une gorgée de ton jus de fruits plutôt que de lui demander dans la seconde ce qui ne va pas. « Tu veux en parler ? » De son état de loque humaine ou du fait qu'il a besoin de boire pour aller sensiblement mieux, ce qui ne te rassure pas en réalité car cela traduit un profond mal être. Tu as vu trop souvent des gens tomber dans des excès simplement parce qu'ils allaient mal et quelque chose te fait dire que si cela lui arrive aussi, ça va te faire de la peine. Peut-être parce que Colin a l'air d'un gentil garçon passionné et passionnant quand il parle des sujets qui lui plaisent et tu trouverais ça dramatique, qu'il ne soit plus capable de simplement s'illuminer parce qu'il parle de veaudelunes ou de croups comme il l'a fait en arrivant. Certes les conversations sont spéciales mais c'est hautement appréciable de pouvoir parler de tout avec quelqu'un. Surtout d'un sujet qu'on ne comprend pas et qui est de fait, très intéressant.

« Mh... La mode ? » Dis-tu avec un sourire qui laisse penser que tu plaisantes et pourtant. « Je suis aussi créateur de tenues pour les sorciers. Robes, costumes, capes... En bref, tout ce qui me vient. Et j'enseigne à Poudlard comme co-professeur de magies élémentaires avec le professeur Winchester. » Une chose nouvelle pour toi qui a toujours besoin de toucher à tout mais surtout, qui retrouve lentement l'inspiration. C'est timide mais tu as déjà réussie à coucher sur le papier une de tes idées pour un costume, une première depuis des mois. Voilà de longues semaines que ton cerveau ne produit rien de correct, un drame pour quelqu'un comme toi qui vit grâce à son art. « J'ai seulement eu la chance de me faire remarquer... Ca n'a rien d'exceptionnel. D'autres sont meilleurs que moi. » Dis-tu avec modestie, toujours gêné quand on te fait de tel compliments. « Et toi, comment avance ta thèse ? »

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Colin Fawley
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptyDim 21 Avr - 12:03


Et ça détruit tout, du pneu en passant par les meubles en bois brut ? Tu lâches un rire, toujours surpris qu'il soit capable de s'intéresser au sujet des animaux fantastiques. Tu crains le jour où tu le saouleras avec ça, parce que tu sais que t'es capable de vraiment saouler les autres. Mina est sans doute la seule à avoir assez de patience avec toi pour te laisser en parler durant des heures - mais tu sais aussi qu'elle est capable d'arrêter de t'écouter et de faire mine de suivre quand même. Mais Zero c'est différent - il a toujours des questions et des remarques pertinentes qui manquent pas de te faire constater qu'il t'écoute vraiment. Et tu trouves cela plus séduisant que tout le reste. Parce que souvent les sorciers les enferment comme des animaux de compagnie, alors que ce sont des créatures fantastiques qui ont besoin de liberté. Alors les Croupts sont pas fait pour vivre en famille, ou pour surveiller des garages ou ce genre de trucs.
Si tu pouvais, tu éduquerais l'ensemble du monde sorcier à la cause des créatures fantastiques pour leur rappeler les choses de bases : ils sont sauvages, ils ont besoin de liberté, ils ont besoin d'espace. Et surtout pas qu'on les chasse, qu'on les exploite, ou qu'on les contraigne. C'est pour ça que tu étudies leurs émotions, pour tenter de faire bouger les choses.

Etrangement, toi, en ce qui concerne tes émotions t'es plutôt nul - mais tu oses lui demander de venir diner avec toi, et l'alcool est sans doute là pour expliquer ton soudain courage. J'en serais enchanté. Chez toi ou au restaurant, tout me convient. Tu souris, mais tu réalises que le restaurant est pas l'idéal pour une célébrité - puis tu supposes qu'il voudrait pas forcément être vu avec toi. Et chez toi, il y a Mina, qui pourrait bien glousser et s'amuser à t'embêter. Et tu veux être tranquille - étrangement. Forcément, il ne reste qu'un seul endroit. D'accord, va pour chez ta mère si cela te rassure ! Qu'est ce que j'apporte ? Ce que tu aimes boire ? Je peux cuisiner sans problème mais je suis mauvais pour choisir les boissons. Et je ne sais pas ce que tu aimes. Proposes-tu en toute honnêteté. Parce que Piper t'a appris à cuisiner - et qu'enfant cela aidait à gérer tes crises d'angoisses. Alors tu veux faire ça pour lui, et lui montrer ce que t'es capable de faire.

La maison de ta mère est parfaite, d'autant qu'elle est vide maintenant. Ce qui te met une boule dans la gorge et te fait serrer le dents. Tu veux rester dans l'état second offert par l'alcool et ne pas penser à ce qui t'attend une fois chez toi. Cette réalité que tu refuses de reconnaitre. Tu veux en parler ? Tu sais que tu pourrais parler en toute honnêteté à Zero. Tu sens que tu peux lui faire confiance, mais tu n'as aucune envie de te replonger là-dedans. Pas pour le moment. Pour le moment tu veux savourer l'effet de sa musique sur toi et l'euphorie qu'il te fait ressortir par ses notes et sa voix d'ange. Inutile, j'aime mieux me laisser bercer par ce que t'as musique m'a fait ressentir ce soir. Dis-tu avec un sourire, espérant le rassurer - puis tu lui en parleras sans doute le lendemain. Tu seras pas capable de ne pas en parler - c'est trop encré en toi et trop douloureux pour que tu fasses fie de ce qu'il se passe dans ta vie. Mais pas ce soir.
Ce soir tu veux vivre dans ta bulle de plaisir.

Mh... La mode ? T'arques un sourcil - la mode c'est vraiment un milieu que tu ne connais pas du tout, mais que tu pourrais vite trouver fascinant. Je suis aussi créateur de tenues pour les sorciers. Robes, costumes, capes... En bref, tout ce qui me vient. Et j'enseigne à Poudlard comme co-professeur de magies élémentaires avec le professeur Winchester. Et tu dors de temps en temps ? Tu lâches sans pouvoir t'empêcher, un rire dans la voix en secouant la tête. Tu veux tout savoir de lui, tu t'en rends compte - tu peux pas te lasser de sa personne. Il est flamboyant et passionné, doué et charismatique. Tu trouves pas le moindre défaut à cet homme et t'adore passer du temps avec lui. Alors tu t'y abandonnes sans le moindre souci. J'aimerai voir ce que tu fais. Je suis sûre que je vais adorer cela autant que j'ai adoré ton concert. Et tu enseignes quoi ? Je connais seulement Col... enfin le Professeur Abbot à Poudlard. Il a accepté de m'aider pour ma thèses. Et tu passes en silence le fait qu'il soit ton p- t'as vraiment du mal ce soir.

J'ai seulement eu la chance de me faire remarquer... Ca n'a rien d'exceptionnel. D'autres sont meilleurs que moi. J'ai du mal à croire cela. Tu sembles comprendre et exprimer les émotions humaines avec une telle facilité que c'est... enfin tout le monde dans la salle était touchée par ta musique, c'est pas pour rien. Dis-tu sans réfléchir à deux fois parce que apparemment t'es pas capable de ne pas être trop honnête avec l'alcool dans les veines. Et toi, comment avance ta thèse ? Je dois m'y remettre mais j'ai la tête ailleurs en ce moment. Problèmes familiales. Je dois la finir pour la fin de l'été, ce qui me laisse peu de temps et en même temps j'ai déjà beaucoup à dire. Parce que les émotions chez les animaux fantastiques c'est passionnant. Dis-tu en parlant peut être trop. Trop mais bien. C'est toi qui fait tes tenues de scène alors ? Parce qu'elles sont canons.


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I. Zero Hiroaki
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MessageSujet: Re: Irrelevant || Zero & Colin    Irrelevant || Zero & Colin  EmptySam 27 Avr - 8:13



« Si tu essayes de me convaincre que les sorciers sont des idiots, je te rassure... J'en suis déjà convaincu. » Que tu rajoutes non sans sourire en coin, parce qu'à ses côtés tu as réalisé comme les créatures avaient souffert dû à la bêtise des sorciers et à leur appât du gain, ce qui te permet de penser et de dire sans rougir que beaucoup sont des idiots. Pas tous certes, il y a des magiciens qui veulent protéger les créatures tel que Colin mais en général, la plupart ne penses qu'à leur bourse et au fait de se faire toujours plus de gallions sur la pureté de ces bêtes qui ne demandent qu'à vivre en paix. Tu trouves ça ignoble et en même temps tu es heureux de voir que des sanctuaires tel que le zoomagic existent, c'est une nécessité publique. Et tu es encore plus fier d'apprendre que les dons ont fonctionné, après tout c'est grâce à la reconnaissance de ta communauté que ça marche, il faut bien en tirer du positif n'est-ce pas ? Et pas que du monde à tes concerts mais aussi de quoi faire changer les choses surtout en bien.

« Bien, je prendrais du vin et un cocktail sans alcool que je fais moi même, si tu es d'accord. » Parce que tu n'es pas certain que Colin boive tant que ça, surtout en dehors d'une soirée comme celle-ci. Ainsi tu ne veux pas le voir six pieds sous terre à se traîner simplement parce que tu n'auras rien pris d'autre que de quoi vous mettre la tête à l'envers. Et puis tu dois apporter quelque chose, il en va de ton éducation et du respect qu'on t'a enseigné. Il serait impossible pour toi d'arriver les mains vides, qu'importe ce qu'on te dit. Tu lui proposes d'en parler mais il refuse, ce qui te fait hocher la tête sans un bruit. Tu respectes son besoin de silence et son envie de flotter encore un peu grâce à la soirée et puis vous ne vous connaissez pas encore assez sans doute, pour qu'il te parle si simplement de sa vie. Ainsi tu reprends ton verre pour le terminer d'un mouvement, parce que chanter te donne toujours soif et que Colin, dans sa tenue séduisante, aurait tendance à te coller des palpitations si seulement tu n'avais pas le réflexe de regarder ailleurs de temps en temps.

Sa question te fait éclater de rire avant que tu ne fasses une mine désolée. « Pas souvent ? Je ne dors jamais plus de cinq ou six heures par nuit. » Ce qui est une habitude mais aussi la preuve que tu n'as pas besoin de beaucoup de repos pour te sentir d'attaque, c'est ainsi. Tu veux vivre et faire autant que possible pendant que tu as la santé, la jeunesse et l'inspiration, plus tard tu pourras te reposer et te satisfaire de tout ce qui a été accomplis. « Ha oui je l'ai croisé... Brièvement. Il est souvent avec ses créatures, comme toi ! » Dis-tu avec un petit sourire. « J'enseigne les magies élémentaires, notamment parce que je maîtrise la magie de l'air. Rien de très prenant, moins de six heures par semaine. » Et tu préfères rester modeste, après tout tu ne te considères pas comme un professeur mais plutôt une sorte de consultant dans une classe pour transmettre un peu de ton expérience. Tu es touché par ce qu'il te dit, ce qui te fait baisser les yeux d'abord parce que tu es gêné mais aussi parce que tu as du mal avec les compliments, tu ne sais jamais comment les prendre mais également parce que tu ne te sens pas méritant. Pour toi ce que tu fais, certes tout le monde ne le pourrait pas, mais d'autres sont aussi doués voire davantage... Et il t'est toujours difficile de réaliser que ceux qui hurlent ton nom dans la salle, sont là pour toi et pas pour quelqu'un d'autre.

« Oui c'est moi ! Viens je vais t'en montrer d'autres... Un jour tu viendras chez moi, tu pourras voir mon atelier ! » Et tu te lèves pour le guider jusqu'au placard où tes tenues sont entreposées car tu ne sais jamais quoi porter avant de rentrer sur scène, c'est en fonction de tes humeurs et de tes envies. Ce soir c'était plutôt pailletés d'ailleurs. « Tiens tu essayeras ça, c'est ma nouvelle collection. Tu m'en feras la pub au zoomagic ! » Et tu lui tends un pantalon de ta conception en cuir avec des arabesques argentées qui semblent bouger à mesure qu'on fait des mouvements. Heureusement, si tu peines à écrire des notes et des paroles, dessiner des tenues n'est pas un problème pour toi. Pour le moment du moins, une angoisse sourde monte en toi que tu fais taire en lui faisant un sourire. « Souvent après les concerts je vais boire un verre ou manger un morceau... On peut s'éclipser qu'en dis-tu ? Je connais un coin sympa au bord de la Tamise, dans le Londres moldu. » Et soudainement tu as envie de te retrouver tout seul avec lui, sans crainte de voir débarquer ton équipe ou quelques fans.

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DU 1er NOVEMBRE 1980 AU 31 DECEMBRE 1980
L'équilibre de la magie est en péril. Lors de la Fête de Samain, le 31 Octobre 1980, des évènements étranges sont survenus un peu partout dans le monde magique : des sortilèges ont détruit la Place Divine, le sortilège protégeant le Chemin de Traverse a disparu, laissant les moldus entrer dans le monde magique et un dragon a attaqué Pré-au-Lard.

Pour essayer de comprendre ces évènements, le Ministère de la magie offre la Bourse Greengrass aux sorciers scientifiques désireux de trouver une réponse à ces évènements.

A Poudlard, les élèves ont eut à faire face au premier examen de mi-trimestre : une attaque de créatures, dans le coeur du village de Waterford.

Les élèves méritants ont été récompensés et les redoublants doivent à présent travailler deux fois plus pour rattraper leurs retards.