[HOT] passion || Bartune

TW : description graphique de relations sexuelles
T'as le coeur qui frappe dure. Les cuisses qui se serrent. Et ta lèvre qui se fend d'une fissure d'où coule l'hémoglobine quand la jouissance t'étreint le ventre. Tu lâches un gémissement éteint, exigüe dans ta gorge serrée - souhaitant pas te faire entendre des voisins de paliers qui pourraient bien t'entendre. Puis tu redescends, ta main se glisse de ta cuisse à ton ventre et tu reprends ton souffle. Sourire béat sur la gueule, tu lâches un rire avant de te tourner sur le ventre pour observer la pluie qui tombe durement dehors.
Ton excitation est toujours là, il l'est depuis des semaines, sans pouvoir trouver le moindre calme. C'est pire encore en voyant les heures qui défilent et t'amènent bientôt son amant à la porte de l'hôtel dont tu lui as envoyé l'adresse la veille.

Il l'a promis - de venir si tu voulais le voir - et t'es prête à tester la théorie aussi souvent que possible. Quelques jours depuis le vernissage et à présent que tu jouis d'un moment de calme dans l'entrainement, tu espères pouvoir le lui offrir indécemment. Tu souris, sachant qu'il ne va pas tarder. Te levant tes draps déjà froissés, tu remets une chemise que tu laisse ouverte sur ton corps dénudé, devinant qu'il peut arriver à n'importe quel moment. Tu as fait monter de l'eau - n'ayant pas le droit de boire de l'alcool sur la période d'entrainement et de matchs.
Tu n'as pas même donné d'excuse à Castiel - après tout, tu as toujours ton propre appartement, ta propre vie, et ton colocataire auquel tu vas devoir raconter en détails tout ce que ta vie de maitresse d'un homme puissant t'apporte.
Beaucoup.
Beaucoup.
Beaucoup.
De satisfaction. De plaisir. De jouissance. Après tout, voila bien tout ce qu'il t'a promis et tu espères qu'il tiendra parole.

Finalement il frappe à la porte - souriant, tu t'approches de celle-ci, pieds nus, pour aller ouvrir la porte et te dévoiler - nue, sous une chemise ouverte sur ta poitrine encore tendue de la jouissance que tu viens de t'offrir. Tu doute pas que ta propre odeur flotte partout dans la chambre et tu rougis pas de l'impudeur que tu lui offres. Tu en as mis du temps. Ronronnes-tu en attrapant le haut de son col pour l'attirer vers toi et dans un rire poser ta bouche gourmande sur la sienne.

 

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Une lettre simple, reçu la vieille avec une adresse et une heure pour la rejoindre dans un hôtel discret mais assez luxueux. Tu as attendu ce moment avec impatience, parce que depuis que tu as croisé June tu ne parviens pas à te la sortir de la tête. Moins encore après avoir promis de répondre à sa demande dès qu'elle formulerait celle-ci et tu es satisfait de voir qu'elle ne s'est pas défilée, qu'elle n'a pas hésité. La semaine dernière vous vous êtes retrouvé l'un en face de l'autre au vernissage et voilà qu'aujourd'hui tu transplanes jusqu'à un hôtel calme dont les fenêtres sont éclairées. Alors que tu arrives en baissant la tête pour contrer la neige qui tombe en cascade sur toi, tu croises un couple qui discute sans te voir, dans une langue que tu ne comprends pas. Tu espères que le lieu ne sera pas fréquenté par quelqu'un que tu connais alors tu salues l'homme à l'accueil puis sans attendre tu prends l'escalier pour monter jusqu'au deuxième étage, là où se trouve la chambre désignée par June dans sa lettre.

Tu as brûlée la lettre en question pour que Helen ne tombe pas dessus et concernant ce soir, après une brève annonce concernant ton absence pour ce soir, tu as fini par filer. Helen n'a rien relevée, comme si elle s'en moquait justement. N'est-ce pas le deal ? Et puis tu as encore le droit de faire ce que tu veux même si ça va contre tout sens moral... Tu cours dans les escaliers pour arriver plus vite avant de taper trois fois à une porte et d'attendre. Pas longtemps, trop peu pour t'impatienter et quand la porte s'ouvre, tu sens un sourire naître sur ta bouche. Charmeur et surtout charmé au spectacle qu'elle t'offre, tu n'as pas le temps de t'engouffrer dans la chambre que déjà elle t'attrape par le col pour te tirer à elle. La porte claque derrière toi mais qu'importe, tu poses tes mains sur ses hanches pour l'embrasser avec une faim dévorante, non sans sentir la violence de ton envie t'attraper les hanches et te tordre chacun de tes nerfs.

« Impatiente, tu as commencé sans moi ! » Dis-tu en sentant l'odeur de sexe, certes discret mais bien là, qui flotte dans la chambre. Aussitôt tu attrapes ton manteau que tu fais glisser de tes bras pour l'envoyer au sol, tu fais de même avec ta chemise dont l'un des boutons saute dans la précipitation. « C'était bien ? » Pas autant que ça le sera avec toi, tu ne dis rien de plus car tu préfères la saisir par les hanches pour la porter jusqu'à toi avant de reprendre possession de sa bouche pour un baiser vorace, tout en marchant vers le lit où tu la déposes avant de te glisser au dessus d'elle. Tu parviens à ouvrir les deux boutons de ton pantalon pour libérer ton membre déjà dur afin de calmer un peu la douleur de tes hanches, que ta bouche trace déjà un chemin de ses lèvres jusqu'à ses seins que tu viens dévorer. Elle te rend fou et tu n'as plus le désir ni le courage de lutter contre ça, alors il ne te reste qu'à vivre cette passion et voir jusqu'où ça va vous mener.

 

Pas le temps de prendre le temps, dès qu'il rentre dans la pièce tu te jettes à son cou pour l'embrasser. Enfin tu respires, tu inspires son parfum et tu te laisses emporter - voila que ton palpitant s'éveille, que ton corps le réclame, que ton désir coule sur ta jambe. Tu la sens qui se fait un chemin dans chaque veine de ton corps et exige qu'il soit en toi rapidement.
Si ce n'est maintenant. Impatiente, tu as commencé sans moi ! Tu lâches un rire, reviens contre lui pour sauter littéralement sur ses hanches. Tes jambes s'enroulent autour de lui, tu te frottes autant que tu peux pour le sentir plus proche - et ses vêtements brûlent presque ta peau de l'impatience de sentir plus. Fallait pas me faire attendre. Grognes-tu de mauvaise grâce, parce qu'en réalité c'est toi qui est arrivé plus tôt.

C'était bien ? Oui. Répondis-tu en mordant sa lèvre, grognant contre lui en ondulant des hanches autant que tu le peux. Tu te retrouves soudainement sur le lit, mais ça t'empêche pas de garder tes bras autour de lui. S'il se redresse pour pouvoir ôter sa chemise et libérer son sexe déjà tendu, tu le touches autant que tu peux - cherchant à trouver son épiderme. Et rapidement, c'est son pénis dur que tu trouves. Tes doigts s'enroulent autour du gland délicat - pour éviter de lui faire le moindre mal, tu glisses tes doigts sur ta propre intimité offerte pour en récupérer le fluide de plaisir qui s'en écoule. Une fois bien humide, tes doigts glissent mieux sur son sexe - et t'es assurée de lui faire du bien.
Alors tu le caresses, doucement, tendrement - énergiquement pour l'attirer jusqu'à toi. Tu m'as promis des jouissances hm ? Dis-tu entre ses lèvres, l'attirant contre toi - puis, totalement impatiente, tu tiens plus. Tu le pousses pour qu'il s'effondre sur le lit, encore à moitié habillé alors que tu es complètement nue. Mais assise sur lui, tu as tout ce qu'il te faut. Tu places son sexe devant ton intimité avant de t'assoir sur la hampe délicieuse. Là, tu te laisses aller, le prenant en toi. Assise sur ses hanches, son sexe en toi tu gémis de plaisir avant d'aller et venir à rythme tortueux pour le faire venir aussi surement que tu es venue en pensant à lui il y a quelques minutes.

 

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