Ton regard frole les limites de l'indécence - June&Bart Hot

« Je dois être un invité très important alors. » Dis-tu en accrochant la serviette sur la porte à côté avant d'approcher davantage pour finir collé à elle, dans la douche. « Ce match était impressionnant, vous devez avoir mal partout. Laissez moi vous aider. » Et tes mains se posent sur ses hanches alors que l'invites à se retourner. Là, ses fesses parfaitement collées à ton bassin finissent de faire sauter le peu de raison qui pouvait te rester. Alors que ton corps s'enflamme et que tu sens que ton cœur s'emballe dans ton torse. Tes mains elles, viennent se poser sur son dos et surtout ses épaules que tu commences à masser, non sans découvrir la saveur de sa peau quand tu déposes des baisers sur sa nuque. « Vous vous sentez mieux ? Ca vous détend ? » Dis-tu dans un petit rire joueur alors que tes mains finissent par quitter ses épaules pour glisser jusqu'à son ventre tonique, parfaitement plat et musclé. La belle est à se damner, elle s'entretient et sait sans aucun doute qu'elle plaît à n'importe quel homme. Toi plus encore. Là tu viens l'inciter à se coller totalement contre toi, son dos contre ton torse et ton érection se frayant un chemin contre le rond de son postérieur dur comme du bois. Tu grognes en sentant comme vous vous emboîtez parfaitement, t'as envie de plus et tu le fais savoir en l'embrassant dans le cou tout en venant saisir ses seins et surtout leur pointe dressée que tu te met à titiller du bout des doigts. Tu la veux, ici et maintenant, avec tellement de force que tu te retiens de la mordre pour marquer sa peau d'une vilaine trace violette qui ne ferait que t'approprier cette femme qui n'est pourtant pas à toi. Ce n'est pas faute d'avoir envie de le faire, cependant. Pourtant pour le moment vous êtes parfaitement déséquilibré, elle est nue et trempe et toi, parfaitement habillé et sec. Comme pour te rassurer, si elle te repousse alors tu pourras encore partir sans être allé trop loin.

T'as pas la moindre pudeur - c'est pas de ton genre et depuis longtemps déjà t'es convaincue que ton corps est un avantage dans un monde qui est dicté par le désir des hommes. Si tu peux avoir ce que tu souhaite parce que t'as le corps qui le permet, pourquoi t'en empêcher. Aucun homme s'en empêcherait, face à toi, tu joues avec les armes qui sont les tiennes, et t'as à coeur de t'assurer d'avoir un physique musculeux et tonique. Tu sais que ça plait - dans les délires de perfection féminines dictées par les hommes, tu es plutôt bien placée.
Tu dirais pas que chacune de tes relations est manipulée par ce biais là - mais la majorité malgré tout, l'ont été. Tu t'es placée dans la société malgré ton nom - tu peux pas dire que celui-ci brille assez pour te permettre de gagner le gros lot. Alors il te reste cela. Et tu vas pas rougir - tu vas pas jouer les prudes, comme t'as pas grandi dans une éducation qui te fait dire que ton corps est un temple à garder secret et mystérieux. Ton corps est un arme à user pour te faire une place dans le monde où tu veux arriver au sommet. Je dois être un invité très important alors. Tu souris, ronronnant presque quand il s'approche. Ta serviette est accrochée mais ton regard quitte pas le siens. Il est bientôt dans la cabine, collé à toi dans ses vêtements qui te semblent rêches. T'en fais pas le moindre commentaire - pour le moment, tu regardes ses lèvres roses et pulpeuses avec l'envie de t'y accrocher. Ce match était impressionnant, vous devez avoir mal partout. Laissez moi vous aider. Tu opines - il te retourne et tu manque de tomber dans ses bras - tu glisses sur le sol mais il te rattrape pour te coller à lui.

Tu manques pas de sentir son érection qui grossit contre tes fesses. Bougeant celles-ci, juste assez, pour qu'il sente la friction. Pas assez pour donner l'impression que c'est fait exprès. Tu gémis, cependant, quand ses mains se trouvent une place sur tes épaules et commencent à les malaxer. Tu sens comme toute la tension du match disparait - et son corps si proche du tiens ça te fait tourner la tête. Tu aurais envie de l'agripper pour qu'il s'échappe pas et de le sentir en toi maintenant. Maintenant. Mais pour l'heure il mène la danse, tu le laisse faire bien que tu vibres d'envie de plus. Vous vous sentez mieux ? Ca vous détend ? Pas assez encore. Plus fort. Tu grognes, te collant complètement à son dos, ta main chercher l'enflement de son pantalon sur lequel tu appuis comme tu peux au vue de la position.

T'as pas le temps de prendre le temps, t'as envie de lui maintenant. Alors qu'il joue un temps avec toi, tu finis par te tourner et entourer tes bras autour de son cou. Tu l'embrasses, trouvant ses lèvres avec toute ta gourmandise mal refoulée - tu le dévore littéralement, lui faisant sentir comme tu brûles d'impatience de vouloir l'avoir plus pour toi. Tes mains chercher les boutons de sa chemise - tu fais tout voler en éclats, avant de t'en prendre au pantalon qui retient son sexe dur. Tu veux plus - tu veux tout, trop vite, brûlant comme un strangulot de papillon devant une bougie. Tu vas prendre feu.
Il va t'enflammer et t'as pas mot à dire contre l'idée. Quand tu trouves finalement le pantalon, tu l'ouvres, libérant l'érection devant laquelle tu te penches. Agenouillée, tu la saisis dans ta main, en goute le bout, le regard sur celui de Barth - jusqu'à l'englober parfaitement pour la gouter plus profondément.

Là, collé parfaitement à elle, tu te rends compte que vos corps ne font qu'un et il n'y a rien de plus séduisant que cela. Vous vous emboîtez à la perfection, tu es certain que ça ne sera que plus vraie d'ici quelques minutes mais ça ne t'empêche pas de prendre le temps de toucher sa peau, de masser ses muscles endoloris par l'effort et de toucher son corps sensible qui s'éveille par quelques frissons qui t’arrachent un petit sourire. Tu lui fais autant d'effet qu'elle t'en fait, c'est flatteur mais surtout rassurant, au moins tu ne te fais pas de fausses idées avec ce petit jeux qui s'est installé entre vous et auquel vous vous adonnez à chaque fois que vous vous rencontrez. Tu abandonnes bien vite l'idée de boire un verre ou de parler du match, ayant simplement à cœur d'enflammer son cœur comme elle fait naître un brasier dans ton bassin et dès qu'elle se met à bouger lentement des hanches, tu ne réponds plus de rien. Sans pouvoir te retenir, un petit râle t'échappe alors tu fermes les yeux mais c'est pire encore, car là c'est son parfum qui t'englobe délicieusement. Finalement qu'importe ce que tu fais alors elle aura ta peau et t'es trop heureux qu'il en soit ainsi. Tu t'exécutes quand elle te demande d'y aller plus fort, non sans presque sursauter quand tu sens sa main se poser sur toi, à travers le pantalon de travail que tu portes et qui se trouve être dangereusement déformé par l'excitation que tu ne peux plus cacher. Tu as envie d'elle et ça va te tuer.

Mais apparemment tes massages ne suffisent plus au bout d'un moment et elle se retourne pour se coller à toi, pressant ses seins nues contre ton torse alors que tu penches la tête pour un baiser brûlant et envoûtant. Tes mains se placent sur ses hanches et bien vite ce n'est pas assez, encore une fois tu as besoin de la sentir davantage mais elle prend les devant et fait exploser les boutons de ta chemise, ce qui t'arrache un petit rire amusé. « Impatiente, Miss Pettigrow ? » Dis-tu dans un souffle alors qu'elle s'en prend à ton pantalon et que tu ne peux rien faire d'autre, si ce n'est glisser tes mains dans sa chevelure courte et trempe à mesure qu'elle s'agenouille devant toi. Ta chemise termine par terre et tu as à peine le temps d'ouvrir davantage ton bas, que sa poigne sur ton érection t'envoie une vague de plaisir dans le bas-ventre. Tu te mordilles la lèvre inférieure à l'idée de ce qui va suivre, l'impatience fait trembler tes mains et tout ton corps mais ce n'est rien à côté du frisson qui te traverse, du râle qui t'échappe quand enfin ton membre disparaît dans sa bouche brûlante. C'est rare que tu te sentes comme cela, aussi impatient par quelque chose mais tu dois avouer que cette fois-ci tu ne pas tenir pendant de longues minutes tant tu brûles d'envie de la serrer contre toi, de te perdre dans la chaleur de son sexe que tu devines sans mal trempe. Les yeux clos, le souffle court, tu l'accompagnes par des petits mouvements de hanches mais bientôt tu la fais s'arrêter et remonter jusqu'à toi pour l'embrasser, pour reprendre un minimum d'emprise sur ton esprit. Et sentir la saveur de ses lèvres, un mélange d'excitation qui t'appartient mais aussi le goût propre de sa langue sur la tienne, ça te fait ôter les dernières barrières de raison qui restaient dans ton esprit.

Il ne te faut qu'une seconde pour faire un choix et quand c'est fait, tu la fais se tourner et se pencher un peu en avant pour t'offrir une vue parfaite sur ses fesses et son sexe trempe. Afin de prendre un minimum de temps, ta main droite se glisse entre ses cuisses et tu viens la caresser lentement, non sans laisser échapper un soupir d'envie en sentant toute son humidité tremper tes doigts. Il n'y a aucun doute sur son envie de toi, à présent. Mais quand tu comprends que ce n'est pas assez, tu viens attraper ton membre et tu te positionnes devant elle puis, lentement mais fermement, tu viens glisser dans son corps avant de lui laisser le temps de s'habituer. Tes mains sur ses hanches, quand tu es certain que c'est bon pour elle, tu viens commencer à bouger à un rythme tortueux comme pour la mener au bord du précipice sans jamais la laisser tomber. C'est trop soudainement, trop d'envie, trop de plaisir, trop d'excitation en toi et pour reprendre un minimum de contenance, tu te mords violemment la lèvre jusqu'au sang afin de te faire violence pour ne pas la prendre comme un beau diable. Pas que tu manques d'envie, cette femme te rend fou.

Sur ta langue, le goût salé du désir de Barth te fait tourner la tête. Tu inspires profondément, tente de garder ta gorge détendue pour être certaine de recevoir au plus profond ce que tu prends de son érection. C'est pas ta première - t'aime le sexe comme tu aimes l'existence, la vivant sans penser au lendemain, sauf si c'est à recommencer à la vivre avec autant d'excitation. Tu te laisses aller à tes envies, à tes désirs, à tes folies - la fidélité est une idée qui t'échappe, tu la laisses passer sans faire cas des conséquences. A ce moment précis, tu vis exactement ce que t'aimes, sans penser à ce que tu devras éventuellement justifier; ça t'appartient, ça fait de toi celle que tu es. Et ca te convient parfaitement. Tu lèves les yeux pour voir ton amant s'abandonner aux délices de ta bouche et tu le prends plus violemment encore - ouvrant la gorge pour le prendre plus vite, l'amener dans la chaleur de ta bouche et le lécher goulument.
Quand il te fait revenir vers lui, tu as le goût de sa pré-semence sur la langue. Tu sens que ton sexe pulse, que tu veux plus, que tu veux sentir ce sexe magnifique jusqu'au plus profond et toi. T'as du mal à penser à autre chose - tu penses même plus, tu ressens simplement et ton palpitant frappe fortement dans ta poitrine. Il t'embrasse, et tu y réponds avec chaos - tu veux plus, tu veux qu'il le sache, et qu'il se retienne pas.

Tournée dos à lui, penchée en avant, tu espères qu'il aime la vue de ton corps offert. Son doigt qui vient jouer contre les plis de ton sexe trempé te fait voir les étoiles. Tu vas vers lui, espérant qu'il s'enfonce dans tes entrailles pour te baiser durement - mais il n'en fait rien, et tu gémis de frustration quand il te quitte jusqu'à sentir son sexe qui s'appuie contre tes lèvres. Tu souris - sentant que son érection s'enfonce en toi, t'écartant délicieusement pour t'envahir. Sa dureté, sa grosseur effaçant le reste de ta frustration - et t'espère qu'il va te prendre jusqu'à ce que tu puisses plus marche. Tu veux tellement, tellement et sans attendre. Mais il s'arrête, doucement, allant et venant en te refusant de te faire voir les étoiles comme il le devrait. Tu grognes, essayant d'aller contre lui mais le voyant qui saisit tes hanches et fait ce qu'il décide. Bordel, baise moi plus fort. Tu exiges finalement, tournant le regard pour espérer le voir et le faire changer d'avis - qu'il cesse de jouer avec toi comme avec une poupée, mais te prenne avec autant de violence qu'il a envie de te donner. Tu en doutes - il le veut comme toi, tu peux pas penser le contraire.

Alors tu essais encore, de venir contre lui, d'aller à sa rencontre - et pour essayer de le faire craquer, tu le regarde en venant prendre ton doigt en bouche, le suçant bruyamment - avant de glisser ta main sur ton sexe, trouvant ton bouton de plaisir pour te caresser et te faire gémir - espérant qu'il prenne le pas de pas te laisser jouir pour si peu.