Le soir est arrivé. Adriel a vu son père il y a deux jours, et cela fait bien des années qu'il ne l'a pas vu si souvent et si rapproché. Il s'habille en conséquence avec la tenue que lui a fait livrer sa mère ce matin même. Helen Mulciber pense toujours à tout et fera toujours le maximum. Et si ce diner a été organisé avec toute la famille présente, Adriel s'imagine qu'il doit y avoir une grande raison, une grande occasion. Adriel se regarde une dernière fois dans le miroir. Une chemise blanc crème sous un veston bleu marine filé de fils d'or. Un pantalon bleu marine également et une veste, qui vient parfaire la tenue. Adriel relit le mot qui accompagnait la tenue avec un sourire. Le bleu a toujours été ta couleur, et non le vert. Sa mère pourrait bien avoir raison, il trouve que le bleu lui va à merveille. Il enfile sa veste habillée noire, prend le bouquet pour sa mère et la bouteille de vin blanc pour son père. Quand il prêt à partir, il sort de sa maison pour marcher en direction du manoir de ses parents, à quelques pâtes de maison de là.

Il est le premier à arriver, évidemment, et l'elfe de maison l'accueil chaleureusement. Il l'a vu grandir, après tout. Son manteau est posé soigneusement et il s'avance dans la maison qu'il connait par coeur à la recherche de ses parents. Il les trouve en pleine discussion au salon, alors que la table dans la salle à manger est déjà mise, et prête.

"J'interromps quelque chose ?" Dit-il en s'avançant d'abord vers sa mère. Bonsoir, Mère. Tu es ravissante, voici pour toi." Il lui tend le bouquet avant de se tourner vers son père et de lui tendre la main. "Bonsoir, Père. Pour toi. Je vois que le bleu est la couleur du soir."

Il rit doucement en remarquant la couleur du costume de son père. Il lui tend la bouteille de vin blanc français et se dirige ensuite vers la cheminée pour se réchauffer.

"Alors, ce soir est pour qu..." Il est interrompu par des coups à la porte. Il sourit davantage. "Ah, voilà la partie la plus intéressante de la soirée qui arrive. Avec sa fiancée en plus. L'avez-vous déjà rencontrée, hm ?"

C'est des hurlements qui fusent dans la maison Mulciber pourtant si calme habituellement. Ca part depuis des jours, depuis le petit-déjeuner où June a été présentée et où évidemment, Helen a surpris ton regard sur elle. Et depuis c'est la guerre, ta femme te fait comprendre à quel point elle est en colère contre toi et toi, tu ne supportes plus ses piques régulières. Notamment parce que tu as beau le répéter mais tu en savais rien de l'identité de June quand tu l'as rejoint sous la douche pour une partie certes très agréable, mais fugace et aussi éphémère qu'une envolée de papillons. Sauf que depuis c'est comme si Helen pensait que tu étais au courant de son identité et que tu as foncé quand même alors que non, tu répètes encore et encore que dans l'histoire certes tu as été idiot, mais tu n'aurais pas fait une telle chose à Castiel si tu l'avais su. Jamais à lui ni à Adriel, tu as encore assez de retenue et de respect pour eux pour ne pas t'envoyer leur fiancée. Si tu avais rencontré June avant et si Castiel avait été moins secret alors les choses auraient été différentes. Sauf qu'aujourd'hui le repas de famille promet d'être salé étant donné qu'elle sera là, même si tu as insisté auprès de Castiel sur le fait que c'est un repas pour la famille. Mais ton neveu est aussi têtu que tu ne l'étais quand il le veut, c'est bien un Mulciber.

« J'ai essayé de faire comprendre à Castiel de ne pas venir avec elle mais il ne m'écoute pas ! Tu as mieux, comme solution ?! » La réponse claque dans l'air alors que tu te lèves pour aller enfiler ta veste de costume afin de terminer ta tenue d'un bleu magnifique, parfaitement choisi pour l'occasion. De toute façon qu'importe ce que tu peux dire, Helen ne t'écoutera pas. C'est à ce moment là que votre fils fait son entrée, tu lui fais un sourire malgré l'ambiance glaciale qui est tombée dans la maison. « Bonsoir mon fils. Merci, comment vas-tu ? » Que tu demandes avant de l'attirer à toi pour l'embrasser sur la joue comme tu le faisais quand il était enfant. Depuis votre repas avec du pur-feu et des sushis tu t'assures que les choses se calment entre vous. Puis alors que tu arranges ton costume une dernière fois, on frappe à la porte et malgré la remarque de ta femme au quelle tu réponds d'un regard noir et en serrant les dents, tu essayes de faire bonne figure en affichant un sourire que tu voudrais le moins crispé possible. « Brièvement au petit déjeuner. D'ailleurs ton grand-père a râlé suite à ton absence, il faut que tu trouves une excuse en béton ou alors... Offre lui une bouteille de pur-feu de notre cave, ça devrait le calmer. » Dis-tu à ton héritier, non sans te positionner dans l'entrée. Et quand Castiel et June rentrent, c'est sur elle que ton regard se pose alors que tu déglutis. La soirée va être très, très longue.

Tu viens embrasser Castiel chaleureusement après Helen, avant de faire un geste de la tête à June. Moins sec que celui de ta femme cependant, même si la dernière fois que tu as vu la jeune fille tu es parti sans un regard en arrière tant la conversation t'avait agacé. Sans un mot tu fais signe à tout le monde de te suivre et c'est dans le petit salon proche de l'entrée que vous pouvez vous installer pour un apéritif. Quand Helen te parle tu hoches la tête tout en te dirigeant vers le meuble qui te sert de bar puis, tu sors une bouteille de vodka surprise, du pur feu et évidemment un peu de tequila aux épices que vous avez ramené d'un voyage dans les îles, l'année précédente. « J'ai évidemment du sans alcool si vous le souhaitez. Pur feu pour Adriel et Castiel et vous, mesdames ? » Dis-tu en te tournant vers ton épouse puis ensuite celle qui sera bientôt la femme de ton neveu. Et même si tu essayes d'être le plus neutre possible, tu ne peux t'empêcher de sentir le regard brûlant de Helen qui pourrait te sauter à la gorge à tout instant. C'est à ce moment là que Floki brise l'instant en apportant sur la table basse des petits fours afin de se mettre en appétit. Là sans un mot, tu commences à servir les verres de tout le monde, car au moins cela occupe ton esprit et tes mains au lieu de laisser ton regard vagabonder dans la pièce comme si quelqu'un pouvait lire en toi comme dans un livre ouvert.  

Quand Adriel arrive dans la pièce, il sent que l'énergie est chaotique, et l'atmosphère est pesante à souhait. Il aimerait ricaner quand il voit qu'il interrompt quelque chose entre ses parents, mais il fait preuve de maturité et se contente d'offrir les présents apportés pour l'occasion. Il salue sa mère, puis son père. "Merci mon chéri, elles sont magnifiques." Helen ordonne ensuite à l'elfe familial de les mettre dans un vase. « Bonsoir mon fils. Merci, comment vas-tu ? » Il sourit à son père et opine.

"Je vais bien, merci. Et toi ?"

Il a l'impression de la hache de guerre est enterrée, ou il n'y a plus autant d'animosité, du moins. Adriel tente d'alléger les humeurs en demandant la raison de ce repas, avant d'être interrompu par des coups à la porte. "Je ne la connais pas aussi bien que ton père." Il ouvre une moue choquée et se tourne vers son père, retenant un sourire. « Brièvement au petit déjeuner. D'ailleurs ton grand-père a râlé suite à ton absence, il faut que tu trouves une excuse en béton ou alors... Offre lui une bouteille de pur-feu de notre cave, ça devrait le calmer. » Il ricane, il n'en croit pas un mot. Mais décide de ne rien dire de plus.

"Ah non, tu ne peux pas m'obliger à le voir. Il va encore m'ébouriffer les cheveux et me pincer les joues."

Dit-il en grommelant. Il a l'impression que son grand-père près un peu la carte des fois, et qu'il le voit toujours comme un gosse. Floki l'elfe revient avec June et Castiel, qui entre dans le salon. Adriel regarde chaque personne autour de lui, et il se délecte déjà de cette soirée. "Ne serait-ce pas Adriel Mulciber ? Ton cousin a menti : tu es bien plus beau qu'il ne le dit. "

"Et toi, bien plus jolie que ce qu'il mérite."

Il répond à son clin d’œil, avant de lancer un salut froid à son cousin, qui répond avec la même froideur. Adriel se retient de lever les yeux au ciel. Castiel est salué par Helen et Barth, et il se retient encore plus de pester. Il doit se montrer correct. Poli. Serviable. Il s'avance pour rejoindre sa mère, qui passe une main autour de sa taille. " Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu mes deux garçons à manger. J'ai demandé à Floki de prévoir un rôti de porc, comme lorsque vous étiez enfants. J'espère que cela vous conviendra."

"C'est parfait maman, comme toujours."

Il sourit chaleureusement à sa mère, la femme de sa vie, l'amour de sa vie. "Mais avant cela prenons un petit apéritif : Barth, peut être pourrais-tu sortir une de tes bouteilles de Purfeu ?" Barth se dirige vers le bar, et en sort plusieurs bouteilles. « J'ai évidemment du sans alcool si vous le souhaitez. Pur feu pour Adriel et Castiel et vous, mesdames ? » Adriel acquiesce, et se dirige vers son fauteuil pour s'y avachir, avant que Castiel ait la bonne idée de l'énerver en prenant sa place. Il s'y installe et d'ici, il peut observer tout le monde interagir. C'est parfait. Floki apporte des petits fours, et les apéritifs sont servis l'instant d'après.

"Alors, June, tu fais quoi dans la vie . Pettigrow, t'es de famille avec ce Peter j'imagine ? Les gênes diffèrent d'une personne à une autre, il faut croire." Il ricane, avant de lever son verre : "A la famille !"

Lance-t-il avec une pointe de sarcasme dans la voix. Adriel boit une première gorgée de ce purfeu tout à fait exquis. Il ignore le regard de son cousin, et se penche pour prendre un petit four.

"Excellente cette bouteille, papa. Tu l'as eu où ?"

Tu acquiesces pour toute réponse à ton fils, tu vas bien ou plus ou moins bien en somme, disons que ce serait mieux si tu n'étais pas soumis à un tel niveau de stress à cet instant. Il est impossible que cette soirée se termine bien, sans que Helen hurle et que toi tu essayes de fuir parce que les conflits en réalité, tu n'as jamais été très fan. Pourtant vous êtes dedans maintenant et la soirée doit se poursuivre, surtout quand on frappe à la porte et que tout le monde arrive. Sourire de façade et air relativement confiant, tu installes tout le monde dans le salon avant de servir un verre d'alcool à ton fils, ton neveu et ta femme. Après le rappel d'un repas végétarien pour June, chose qui te surprend car les sportifs ont tendance à manger beaucoup de viande lors des entraînements, voilà qu'elle demande autre chose que de l'alcool. Et si tu hoches la tête sans un mot, tu te demandes si à un moment donné ton épouse ne va pas simplement la noyer dans la piscine en lui demandant si cela est assez sans alcool pour elle.

Tu trouves une bouteille d'eau gazeuse dans la cuisine, ayant eu besoin de t'éclipser pendant une minute afin de reprendre ton air. Quand tu reviens, tu poses devant June un verre contenant l'eau piquante alors que tu finis par ouvrir une bouteille de vin blanc pour toi. Tu as besoin de garder les idées claires et tu sais que si tu commences avec le pur-feu, tu vas finir par trop en boire notamment pour oublier. Et tu n'es pas certain que cela soit convenable pour le reste de la soirée. Heureusement Adriel sait parfaitement faire la conversation et c'est un regard plein de gratitude que tu tournes vers ton fils, avant de t'asseoir dans un canapé tout seul. Tranquille. Loin d'elle mais soumis aux regards de ton épouse et surtout directement face à Castiel et June. D'ailleurs tu évites soigneusement cette dernière, préférant trinquer avec un sourire. « Dans la cave de ton grand-père. » Dis-tu à ton fils quand il te demande d'où vient cet alcool et pourtant pas de mensonge là, ton beau-père ne te refuse jamais une bouteille quand tu lui demandes.

Tu avales une gorgée de vin avant de reposer le verre pour te mordre la langue, tant tu as envie de répondre à Helen mais surtout d'une remarque terrible qui ne ferait que l'enflammer encore. Tu préfères garder le silence, autant apaiser les tensions déjà présentes. Sauf que Helen est froide comme la glace et pendant une fraction de seconde, tu deconnectes ton cerveau pour reprendre la parole. « C'est pourtant toi qui place à la tête des équipes les entraîneurs qui doivent permettre aux joueurs de se démarquer, non ? » Dis-tu en regardant ta femme, avec un sourire en coin et l'envie violente de l'agacer plus qu'elle ne l'est encore. « Qui entraîne les flèches, d'ailleurs ? » Tu n'as pas le temps de t'occuper du Quidditch, il n'empêche que ça ne te dérange pas d'en parler. Tu apprends au passage que Castiel a peut-être une opportunité au ministère et tu préfères t'adosser dans ton siège pour le regarder lui. « Tu pourrais, nous avons encore de la famille à Paris. » Tu te penches pour prendre une pique contenant deux tomates cerises ainsi qu'un carré de fromage, avant que ton regard ne croise celui de June. Et qu'un délicieux frisson remonte le long de ton échine. « Peut-être après le mariage, si le ministère accepte de me transférer. » Tout en disant cela, ton neveu attrape la main de celle qu'il va épouser et le geste ne t'échappe pas avant que tu finisses par détourner le regard vers Adriel. « Et toi mon fils, as-tu réfléchis à ma proposition d'année sabbatique ? » Tu lances Adriel au milieu des flammes mais soudainement tu as besoin de parler d'autre, voir Castiel sourire comme cela à June après ce que vous avez partagé, te donne le sentiment de le poignarder directement entre les reins. « Tu pourrais venir travailler comme Tireur avec ton père. » Clin d’œil à ton fils, sachant qu'il n'est pas forcément un combattant, mais qu'il ferait un excellent héritier à ton poste car un jour toi aussi tu finiras par prendre ta retraite. 

"Oh, je pensais que Castiel vous aurait prévenu. En temps d'entrainement, je ne mange pas de viande." Adriel se retient de rire, il doit avouer que June fait déjà une entrée remarquable dans la famille, et peut déjà sentir poindre l'agacement de sa mère. "Floki fera en sorte que votre assiette ne contienne aucune viande dans ce cas." Maligne, elle ne montre rien, mais son fils la connait par coeur. Il se délecte de ces tensions, sans pour autant comprendre à quoi elles sont dues. Mais il aime ça, le drame. Castiel se tient là comme un abruti, et Adriel se contente de l'ignorer royalement, comme d'habitude. Des boissons sont proposés, et Adriel accepte évidemment la proposition de purfeu de son père, comme son cousin d'ailleurs. "Auriez-vous de l'eau gazeuse peut être ?" La voix de June, et son regard envers son père, Adriel fronce les sourcils, mais ne s'en soucie pas. Certainement une astuce de charme pour sa belle-famille. "Je prendrais aussi du purfeu, chéri, je te remercie."

"Ah ! Ca, c'est ma mère. Une vraie femme. C'est à elle que je tiens mon penchant pour la bouteille."

Lance-t-il à June, un sourire taquin sur les lèvres. Puis, il tâche de lui faire la conversation, afin de tenter de la mettre à l'aise. Il lui parle de sa famille, ayant été dans la promo de Peter Pettigrow. "Les gênes n'ont rien à voir avec l'éducation." Il hausse les épaules à la remarque de sa mère. Certainement, oui. "Peter qui ? Il me plait à ignorer que nous avons un lien de parenté. Cousins - cela étant nous n'avons jamais partagé plus qu'un nom."

"Il faut avouer qu'il n'est pas très intéressant, je ne peux que te comprendre."

Il lui demande ensuite ce qu'elle fait dans la vie, réellement curieux d'en savoir plus sur elle. "Tu n'es pas un grand fan de Quidditch n'est-ce pas ? Je suis batteuse dans l'équipe des Flêches d'Appleby." Il grimace et secoue la tête. En effet, il est étonnamment pas fan de Quidditch. " Une équipe plutôt prometteuse mais qui manque d'un véritable leadership." Une pique saillante, de la part de sa mère, et même se sent soudainement un peu mal à l'aise.

"Je me réfère à l'avis de ma mère sur ce coup, elle est experte en la matière. Mais je regarderais peut-être un de tes matchs, pour voir ce que ton équipe vaut."

Adriel lance le toast, avant de féliciter son père sur le choix de la bouteille. « Dans la cave de ton grand-père. » Evidemment, les meilleures bouteilles viennent de là, il le sait. « C'est pourtant toi qui place à la tête des équipes les entraîneurs qui doivent permettre aux joueurs de se démarquer, non ? » Adriel sourit grandement de ce jeu de joute verbale, regardant son père et sa mère à tour de rôle. « Qui entraîne les flèches, d'ailleurs ? »

"Au pire, on ne parle plus de Quidditch, c'est bien aussi. Non ?"

Il n'est tellement pas passionné par ce sport, qu'il n'en comprend pas l'engouement. " Et toi, Castiel, est-ce que tout va bien au travail ? J'ai cru comprendre qu'ils recherchaient un diplomate pour rejoindre la France, n'es-tu pas pressenti pour le poste ?" Aussitôt, Adriel se redresse, se trouvant soudainement plus qu'heureux d'imaginer son cousin loin de lui, de Londres, de sa vie. Loin, loin, loin. Castiel confirme, en disant qu'après le mariage ça serait possible.

"Et il est prévu quand, ce mariage ? Il faut que je pense à mon costume. Vous avez un thème couleur ?"

Il prend un ton moqueur, et ne s'en cache absolument pas. « Et toi mon fils, as-tu réfléchis à ma proposition d'année sabbatique ? » Adriel écarquille les yeux, pensant que cette conversation d'année sabbatique devait rester entre eux. Il tourne aussitôt la tête vers sa mère.

"C'est pas ce que tu crois." Puis il retourne la tête vers son père : "Je t'ai dit que je ne voulais pas d'une année sans rien faire. Je veux juste essayer d'autres trucs."

Adriel avale une grosse gorgée de son purfeu, grimaçant à l'alcool qui descend dans sa gorge. « Tu pourrais venir travailler comme Tireur avec ton père. » Il s'esclaffe.

"Travailler avec toi ? Oh non tu serais toujours sur mon dos."

Il ricane et Castiel se permet une réflexion. "Ton père serait parfait en tant que tuteur, tu ne devrais pas en douter. Adriel roule des yeux, et soupire, sans prendre la peine de lui répondre, et reprend une brochette de tomates cerises.