Les choses se mettaient en place, parfaitement. Depuis cinq mois à présent, Lucius vivait enfermé dans le manoir, travaillant d'arrache-pied avec Severus Rogue pour créer une chose unique. Une chose qui pourrait lui permettre de rejoindre les sommets à nouveau, de rendre à la famille Malefoy la beauté d'un blason pourrie par la défaite du Lord Noir. Il pourrait à nouveau devenir indispensable, trouver une place de choix dans les hauts lieux de la société, et surtout rester hors du regard du Ministère. Il savait que ce dernier manquerait pas de remettre en doute sa déclaration initiale, suite à la défaite de Voldemort. Ils étaient venus, dans le manoir, guidé par la marque sur le bras de Lucius qui devenait à présent plus pâle - mais qui était toujours là, stigmate de ses choix et de ses erreurs. Il avait déclaré avoir été forcé, placé sous Impero pour rejoindre les rangs d'un homme prêt à tout pour atteindre son but. Qu'il gardait de ces mois des souvenirs flous - qu'il ne saurait dire pourquoi, mais les Mangemorts avaient usé de son manoir pour repère pendant un temps. Il ne l'avait pas voulu - pourquoi le voudrait-il, alors que les Malefoy avaient toujours été de fort soutien du Ministère. Alors que son père avait été si investit dans le développement des lois et des décrets de la société magique pour l'ensemble de sa carrière ? Il s'en était sorti, pour l'heure, et sans doute ses mois de disparitions avaient-ils aidé. Il faisait profil bas et le ministère avait finit par ne plus roder autour de la maison familiale. Pour sa part, il avait créé les Shadowers , les faiseurs d'ombres, une pègre sorcière qui - pour le moment - était spécialisée dans la vente de drogues. D'une drogue, plus particulièrement, qui depuis un mois maintenant prenait sa place dans le monde magique : La Rose Noire.
Inspirée des plantes qui étaient choyé par la mère de Lucius et d'Achlys, la Rose noire était une drogue entièrement conçue par magie et par le savoir-faire unique de Severus Rogue. La drogue était unique, mettait dans un était si délicieux que chacun y trouvait son compte et touchait au bonheur en quelques secondes. Et au désir de revivre l'expérience, encore et encore. En un mois de temps, les ventes avaient flamboyé - Lucius ne pouvait qu'en être ravie, et c'est pourquoi il tenait à voir Severus encore régulièrement. Ils se trouvaient tous les deux dans le bureau qui avait été celui du père de Lucius autrement, à présent le siens. Ils discutaient du développement de la drogue, des lieux de vente, du besoin de garder un certain standing, et de trouver le moyen de la vendre pas uniquement dans la rue mais aussi dans les mondanités et les fêtes du ministère. Ils parlaient des modifications à y apporter, et de ce que la pègre pouvait vendre d'autres. Ils parlèrent durant des heures, avant que Severus n'ait la nécessité de rentrer chez lui et que Lucius reste, appuyé au bureau en bois massif, regardant autour de lui comme s'il se sentait observé.
Evidemment qu'il l'était. Il tourna la tête vers la cloison où se tenait l'immense bibliothèque emplie de livres de magie, d'histoire, d'alchimie. Et il savait - parce que la manoir était plein de secrets - qu'il était sans doute possible de glisser une oreille indiscrète par là. Père t'aurait fait payer ta curiosité, petit frère. Il est bien impoli d'écouter aux portes. Tenta-t-il finalement, doutant que Narcissa jouerait à cela. Mais durant les vacances de fin d'année, son frère était retourné au Manoir. Leur mère y vivait encore, bien qu'elle préférait utiliser une des dépendances qui se trouvaient autour de l'immense jardin - celle près de la serre pour s'occuper de ses plantes. Achlys avait toujours sa chambre à l'étage, et Lucius ne saurait refuser la présence de son petit frère. Bien qu'il n'était pas l'homme le plus expressif, Achlys était de son sang. Il était un Malefoy. Il était aussi la marque d'un lien indéfectible entre les Malefoy et les lycanthropes de Greyback. Viens donc, plutôt, que tu puisses dire ce que tu as à dire.
maraudeurs era (art'n'stick)
Achlys N. Malefoy
Préfet-en-chef
Messages : 39
Sujet: Re: Frères de sang || Achlys & Lucius Mar 23 Avr - 3:15
Frères de sang
feat Lucius Malefoy
Sûrement que j’aurais dû être dans mon lit récupérant d’une nuit passablement agitée si on pouvait l’exprimer ainsi. C’était ce que Stella faisait tout bonnement, bien plus sage et donc rarement on ne l’a voyait pas à mes côtés. Le manoir familial restait lieu le plus sécuritaire pour moi de surcroît et donc elle n’avait pas à me protéger à chaque fois telle une grande sœur pour son petit frère : parfois, je voyais notre relation, ainsi entre ma croup et moi. Je ne pus pas me vouer, toutefois, à dormir comme si mon désir le plus profond fut d’être normal. La normalité était de dormir 8 h 00 par nuit et non de valdinguer dans une forêt, surveillé par un elfe de maison. Je ne sus pas ce qui m’était arrivé comme d’habitude. Cette fois, j’en avais récupéré une belle égratignure à l’avant-bras gauche. Elle était longue et maintenant cicatrisée, mais c’était profond.
- Achlys, tu devrais faire disparaître ceci mon chéri.
Mère s’inquiétait toujours pour moi. En réalité, elle était la seule qui s’inquiétait pour moi. Ça me faisait sourire à chaque fois amenant un baume, une chaleur en mon cœur d’être accepté et désiré en ce monde. J’avais passé les premières heures de la soirée avec elle dans la serre où nous nous étions amusés à rempoter les quatre plants de champifleurs. J’aimais cette plante aux fleurs colorées montrant un optimiste absent de moi. Je souriais ainsi à mère, mais en rien je souhaitais supprimer cette marque. Je souhaitais la voir aussi longtemps que possible pour ne pas oublier le monstre que j’étais et ainsi, rester réactif à toutes mes possibles fautes. Mère me proposa donc d’aller dormir stipulant que je ne tenais pas debout. Sûrement murmurais-je à part moi tout en me laissant enlacer par des bras chauds et aimants. Je n’avais pas renchéri néanmoins pour enfiler mon pull en laine indigo et sortir dans la froidure d’avant Noël. On était le 21 et dans quatre jours, l’hypocrisie ferait à nouveau office de réalité envers moi. J’eus un petit sourire en coin amusé par les faux-semblants des gens aux parfums trop puissants à laisser passer un mal de crâne. Heureusement qu’ils ne connaissaient pas la vérité. À moins que je le voudrais et ainsi, pour une fois, on oserait la franchise.
Alors que j’approchais du manoir, je vis une lumière au niveau du bureau de mon frère. Si tard ? Que mijotait-il encore songeais-je plutôt curieux en place d’être senti mis de côté, jaloux. Je frissonnais de froid, mais je n’entrais pas par la porte principale. J’avais plutôt choisi un passage à la dérobée et de l’extérieur, pouvant être ouvert grâce à quelques mouvements d’une baguette magique. Je m’y engageais. C’était un passage en escaliers à colimaçon mon favoris enfant parce qu’il me permettait à jeter un coup d’œil aux affaires de père sans être vu. J’avais été découvert à plusieurs reprises, mais même les brûlures et les claques contre mon corps n’avaient pas suffi pour me faire oublier ce passage me permettant de passer outre à tous les habitants du manoir. Ce soir, j’entendais des voix et très rapidement je reconnu celle de mon frère à l’évidence, mais aussi celle de Severus Rogue un jeune homme des plus intéressant dans son génie.
Les deux hommes parlaient de fleur, de l’achat et de la vente de substance. Mère m’avait dit que Lucius était resté enfermé au manoir depuis septembre. Je me faufilais au-delà du mur posant la main gauche contre le dos de la bibliothèque. La peur s’insinuait en moi par ce que j’entendais. J’allais rebrousser chemin une fois que Severus était parti, mais j’en racla maladroitement le sol de ma chaussure ce qui alerta mon frère.
- J’en suis conscient rétorquais-je sur un ton aussi indifférent qu’il en était blasé. Que faisais-tu avec Severus ?
J’avais contourné la bibliothèque avant d’apparaître devant mon frère aîné. Je restais de marbre, le plus droit possible empêchant celui-ci d’y déceler une faiblesse. Malheureusement, j’étais fatigué et sûrement elle resta visible. De là ou je me tenais, j’observais à la sauvette ce qui se trouvait sur le bureau en merisier et je pus lire, sur un parchemin, le mot Shadowers. Stoïque, je relevais les yeux vers mon frère ayant un sourire légèrement ironique à cette affirmation. Aussitôt, je l’en pris au bond.
- Moi ? J’ai passé les dernières heures avec mère à rempoter les champifleurs et elle m’a dit que tu ne sortais plus du manoir depuis quelques mois. Pourquoi ?
Peut-être un peu plus fonceur, mais très légèrement sur la question j’attendais maintenant la réponse. Mon dos était droit et mes bras le long de mon corps. Toujours, je passais pour inintéressant outre, apparemment, ma beauté.
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Lucius Malefoy
Puriste & Shadowers Gang
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Sujet: Re: Frères de sang || Achlys & Lucius Mer 1 Mai - 13:49
Il sortit de l'ombre pour rejoindre le bureau. Lucius le laissa approcher, l'observant avec plus de méfiance que de tendresse dans le regard. Pourtant, il savait que son cadet n'était pas une menace pour lui - la tradition des Malefoy assurait la couronne au fils ainé, offrant le second à la malédiction de Greyback. Achlys était un lycanthrope, et personne sous ce toit ne l'ignorait - il ne recevait ni pitié ni reconnaissance pour cela. C'était ainsi, voila tout. Lucius n'avait pas pensé une seule seconde à questionner cette entente, à revoir les règles du jeu - quant bien même il espérait avoir d'autres enfants après la naissance de Drago. Il doutait qu'il en soit de même pour sa femme - Narcissa avait un coeur bien trop pur pour maudire un de ces enfants, prenant le risque d'un second fils qui lui serait arraché au profit de la meute. Achlys ne semblait pas en souffrir, cela étant, bien que son visage portait encore les stigmates de la nuit passée à hurler à la mort. Que faisais-tu avec Severus ? Revenant au moment présent, Lucius soupira lourdement et contourna le bureau pour rejoindre un des fauteuils qui trônaient dans la pièce avant de s'y effondrer. Il n'aurait pas de raison de mentir à son frère, sans pour autant trop lui en révéler. Il fit un geste lent vers le bureau où se trouvait un paquet à moitié défait laissé par le potionniste de talents, près d'un parchemin où était noté Shadowers . Tu peux jeter un oeil. Dit-il en détournant le regard comme si tout cela l'ennuyait prodigieusement. Intérieur, cela étant, il sentait une excitation nouvelle l'envelopper. Il réalisa qu'il voulait l'avis de son frère sur la drogue qui se trouvait là. Sur l'élégance des pétales noires et de l'aspect sur lequel Severus travaillait pour le rendre parfait. Rien ne devait être laissé au hasard. Qu'en dis-tu ? Ne put-il s'empêcher de demander, essayant de calmer les trémolos de sa voix pour ne pas montrer comme il était impatient d'entendre le retour de son cadet.
Achlys et lui n'étaient pas forcément proches - leurs rôles dans le monde étaient trop bien différents pour cela. Mais Achlys était son frère, c'était un Malefoy et il pouvait avoir sa confiance justement parce qu'il n'était pas une menace pour son avenir ou pour sa couronne. Une couronne que Lucius avait bien failli perdre de lui-même - et c'était peut être le versant à cette place qui était la sienne. Si jamais il faisait tomber le nom des Malefoy il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même. Achlys avait prit son rôle - lui avait failli tout détruire de son côté. Alors depuis des mois il se tenait dans l'ombre, à reforger une place dans le monde magique qui les sauverait de la disgrâce et de la disparition. Moi ? J’ai passé les dernières heures avec mère à rempoter les champifleurs et elle m’a dit que tu ne sortais plus du manoir depuis quelques mois. Pourquoi ? Arquant un sourcil, il redonna son attention à son petit frère. Il se demandait s'il pouvait lui expliquer tout cela, si Achlys allait comprendre, s'il devait savoir. Après tout, il pouvait bien lui en faire part, son cadet pourrait l'entendre et puis ? Tu n'es pas sans savoir que notre famille s'est associée au Lord Noir. Mais Voldemort est tombé et pour éviter notre chute il me fallait du temps. Et de l'aide de personnes de talents comme Severus Rogue. Résuma-t-il plutôt, faisant un signe vers son frère pour l'inviter à s'assoir - s'il était décidé à discuter, autant qu'il se mette à l'aise et qu'ils prennent le temps pour ça. Tu veux un verre, t'as l'air d'en avoir besoin. Rajouta-t-il, possédant toujours les bouteilles d'alcools enflammés de leurs pères. Lucius n'aimait pas tant boire - mais il supposait que tous les hommes de pouvoir avaient une collection de bouteilles près d'eux. Comment s'est passé la pleine lune ?
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Achlys N. Malefoy
Préfet-en-chef
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Sujet: Re: Frères de sang || Achlys & Lucius Lun 6 Mai - 20:16
Frères de sang
feat Lucius Malefoy
Je n’avais jamais été proche de mon frère. Dans ma petite enfance avant et après l’affreuse nuit ayant résulté en cette passion pour la pleine lune – si on me permettait cette expression bien ironique – Lucius fut tout de même un modèle pour moi. Toujours, j’aspirais à être aussi talentueux et élégant que lui en société. En grandissant, cette ambition s’était peu à peu transformée à désirer le surpasser. Malheureusement, ça c’était impossible. Jamais, je ne pourrais être meilleur que mon frère aîné parce que cette malédiction me ramènerait vers le bas. Chaque pleine lune me remémorait ce que j’étais au fond de moi : un monstre non désiré en ce monde et dont la mort ne ferait de mal à personne. Alors, nous n’étions pas proches même si mère l’avait tenté dans sa bienveillance naturelle. Cela ne fonctionnerait pas parce que nous étions l’opposé d’une même médaille la lumière et l’obscurité, le yin et le yang. Je ne saurais dire s’il était blasé de la présence de son petit frère en cette soirée ou tout simplement fatigué allant jusqu’à s’effondrer dans le fauteuil du bureau et d’un geste machinal m’invitant à assouvir cette curiosité.
Ça n’en était pas réellement, mais peut-être un peu quand même. Peut-être que je ce fut de la curiosité m’ayant amené à grimper cet escalier en colimaçon caché de tous en place d’aller prendre place dans mon lit. À moins que ce fût plutôt la crainte d’un secret trop grand pour lui et pouvant nous engloutir tout entier lui, moi, mère tout comme Narcissa et ce petit être innocent en mon neveu et n’ayant rien demandé à personne. Un pas sûr malgré cette fatigue persistante m’avait ainsi, vu traverser la courte distance jusqu’à ce sac de jute peu attrayant au contenu l’étant, à l’évidence, beaucoup plus. Je me vis ressentir la douceur des pétales de rose d’un touché hypersensible, mais aussi mon odorat développé n’eut pas besoin d’approcher pour laisser un parfum enivrant embaumer l’air.
- Un aphrodisias.
Que je murmurais d’une voix sûre. En des gestes lents et mesurés, je captais à nouveau le regard de mon frère. Neutre. Je n’avais guère eu besoin de plus d’explications sur la nature du produit parce que la conversation écoutée au détour du passage et l’addiction de ce parfum exquis fut assez pour m’en assurer. Je reconnaissais ces fleurs d’une qualité exceptionnelle pour être mes préférées de la serre de mère. J’espérais qu’elle fut ainsi, mis au courant de l’utilisation de ses plantes en allant du respect. Pourtant, en avions-nous réellement besoin ? Est-ce que nous tirions plus profit de leurs avantages songeais-je en analysant la situation ? Mais j’étais fatigué et je ne pouvais pas me permettre de poser à un résultat maintenant. Mes questions n’avaient fait que gratter la surface pour éviter une confrontation évidente. Il m’était arrivé parfois, de ne pas avoir les mêmes idées et de conseiller mon frère autrement de son idée première. Je n’avais jamais aimé la dispute et ainsi, acquiesçait s’il ne changeait pas d’avis lui-même. Qui étais-je pour m’embarquer dans une confrontation ? Peut-être diplomatique, je n’étais que le second-né. Je n’étais personne.
- Merci que j’acquiesçais alors à cette proposition d’un verre de whisky pur-feu allant m’assoir dans le fauteuil faisant face au bureau. Je sais. Le Lord a été tué en août dernier. Bien des choses ont changé alors, mais je pus tout de même accéder au poste de préfet-en-chef à Poudlard.
J’acceptais le verre tendu dans ma direction pour en boire une gorgée. Je n’aimais pas vraiment l’alcool trop rêche à m’en assécher le gosier. Le Whisky pur-feu en particulier, avait cet effet à en être exponentiel. Aussitôt que le liquide me brûla la langue, la tête me tournait. Je n’en fis rien paraître croisant les jambes pour garder le verre dans la main gauche. Lucius changeait de sujet le déplaçant sur moi en place de son projet. Le projet Shadowers pensais-je en un mince sourire ironique ? J’haussais ainsi, les épaules stipulant ma routine nocturne trop habituelle.
- Ça allait comme d’habitude. Encore, je ne me rappelle rien. Heureusement, la présence de Stella et les blessures physiques restent un moyen sûr de m’assurer d’être. Pour en revenir au sujet du Lord, il a été tué si vite. Cela m’a surpris. Je veux dire que je ne m’attendais pas à cela, le croyant plus fort. La première impression d’une personne n’est sûrement jamais la bonne.
Je n’élevais pas la voix et il fut difficile à penser à une quelconque émotion spécifiant ma loyauté ou pas aux Mangemorts. Nous fûmes si crédules de croire en la supériorité de cet homme pour amener la félicité du monde sorcier. Moi et cela depuis mes 12 ans, je ne croyais pas réellement en lui. Être égoïste et mégalomane avec une teinte de narcissisme, je le craignais plutôt. Apparemment, j’eus raison parce qu’il nous apporta la honte uniquement. Mais je n’avais rien dit alors et encore aujourd’hui. Je n’avais pas voix au chapitre.
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