Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Dim 28 Avr - 16:28
Le bal de la nouvelle année Poudlard, 31 décembre 1980
Les duos se forment rapidement pour la première danse. L'occasion pour beaucoup de partager un moment doux d'intimité ou de profiter de cette proximité pour se faire remarquer par un sponsor potentiel. La danse est encore le meilleur moyen de délier les langues et certains élèves l'ont bien compris - même si certains aiment mieux utiliser la conversation. C'est la parfaite occasion pour se faire remarquer d'un sponsor ou pour obtenir la promesse d'un stage - comme ils sont obligatoires à partir de la sixième année à Poudlard : ► @Lyra Fawley danse avec @James Potter ► @Rémi Dawson fait la conversation à @Sirius O. Black et @Remus D. Lupin
Il reste encore un peu de temps pour confirmer des alliances et des soutiens. Une seconde danse s'entame - à vous de saisir l'opportunité quand elle s'offre à vous.
► Votre poste doit faire 800 mots maximum et vous en proposerez un résumé à la fin. ► Pensez à tagguer les personnes avec lesquelles vous interagissez. ► Le PNJ pourra poster dans le sujet à tout moment pour amener un peu d'action à la fête : les élèves auront alors l'occasion de prouver de leurs courages, de leurs savoirs et de l'intérêt que les sponsors doivent leur porter.
► La première danse se termine, et laisse place à la seconde danse. De nombreux sponsors et de nombreux élèves restent sans soutien à donner ou à recevoir. La danse ou la conversation restent de bons moyens de confirmer des ententes ou de trouver des stages.
► Vous pouvez ouvrir un sujet privé à tout moment, dans la même catégorie que le sujet commun, en intégrant (intrigue 2) dans votre titre, afin d'approfondir des échanges entre deux personnages.
Sirius O. Black
Ordre du Phénix & Moderniste
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Dim 28 Avr - 16:52
Le bal de la nouvelle année Poudlard, 31 décembre 1980
@James Potter finit sur la piste de danse, ce qui manque pas de faire sourire le Black qui voit bien comme la situation est étrange. Agréable, il ne pouvait nier comme il était agréable d'être revenu à Poudlard, mais il n'était pas certain d'apprécier ce genre de soirée. Ils étaient là pour juger et soutenir les élèves qu'ils décidaient être méritants. Quelque chose dans ce goût-là. Il était venu, surtout, pousser par @Remus D. Lupin et @James Potter. Il ne pouvait pas leur refuser grand chose. Et il ne pouvait pas non plus le regretter. Poudlard était toujours aussi majestueuse, et en somme un Bal n'était pas si désagréable. Quand il était enfant on lui avait appris les danses de mondanité - la valse, notamment, pour laquelle il n'était pas si mauvais. Mais pour l'heure, ils faisaient la conversation à @Rémi Dawson et Sirius trouvait la demoiselle bien sympathique - lui affirmant même que certains élèves continuaient à refuser de se plier aux règles. On ne s’en sort pas trop mal pour l’instant oui. Et oui, il y en a toujours qui essayent de détourner les règles. Il opina, fier devant les couleurs de la jeune élève. Les Gryffondors ne se laisseraient pas faire. Jamais, devant une situation aussi injuste.
Je prends bonne note alors. Veuillez excusez mon impolitesse, mais je ne sais comment vous vous nommez. Vous êtes ? Arquant un sourcil, il se tourna vers son petit ami, amusé de voir qu'il avait suffit de deux ans pour que les noms des Maraudeurs - les si célèbres Maraudeurs - soient oubliés. Sirius Black, pour vous servir. Et mon cher acolyte - Remus Lupin. Les présente-t-il, avant d'aviser la danse qui se termine et une seconde qui s'entame. Si j'ai bien compris cette soirée est faite pour vous permettre de trouver le soutiens de quelques sorciers chevronner. Pas que je soutienne le principe mais si jamais vous voulez une danse - ce sera avec plaisir.
Résumé
► heureux d'être en présence de @Remus D. Lupin Sirius finit par se détendre ► Il semble se rappeler de la raison de sa présence là : le sponsoring à la con du Conseil des Purs - et propose à @Rémi Dawson de danser
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Mer 1 Mai - 2:15
Le bal de la nouvelle année
Pendant quelques secondes, après avoir fait le premier pas, il se mit à douter de sa capacité à retenir les pas de danse alors qu’il fixait sa cavalière dans les yeux. Il avait pourtant passé son mois de Décembre à répéter les danses traditionnelles dans tous ses temps libres et dès qu’Alice avait un moment à lui accorder. Pourquoi doutait-il de lui ? Chacun de ses mouvements était une danse que son esprit connaissait par cœur, gravée dans les recoins de sa mémoire. Pourtant, lorsque son regard se posait sur elle, une vague d'incertitudes envahissait ses membres, les transformant en gelée. Il arborait une posture altière, sa silhouette érigée dans une fierté indomptable. Pourtant, en son sein, brûlait un brasier déchaîné, une euphorie autrefois réprimée, désormais libérée.
Leurs doigts entrelacés, sa prise était solide, mais également teintée d'une tendresse qu'il préférait dissimuler aux yeux des autres. Lui, expert dans l'art de faire souffrir de multiples manières ses diverses cibles, cherchait désormais le moyen d'exprimer sa douceur. Un sourire fugace étire ses lèvres en remarquant, dès les premiers pas de la danse, l'incertitude et la maladresse de sa partenaire. Jamais il n'avait imaginé qu'elle maîtrisait si peu les danses classiques et qu'il devrait lui enseigner. Pourtant, une sensation enflamme son ventre à l'idée de la guider ce soir.
Répondre à l’attaque aurait été son premier réflexe, mais pas maintenant. Il est vrai que ses pieds étaient grands, en plus de ses souliers hors de prix qui les allongent encore plus, mais il avait été si longtemps le plus petit et le plus maigrichon de son entourage qu’il prenait une grande fierté maintenant à dépasser les autres d’une tête. Maintenant, ses yeux rivés sur elle comme à son habitude, il poursuit sa guidance, cherchant une approche plus délicate dans leurs déplacements. Bien que la situation l’amusait, il voulait à tout prix qu’elle apprécie cette danse avec lui. Il avait tant miser sur ce moment qu’il ne devait pas laisser une joie futile de la faire tournoyer dans tous les sens venir gâcher ce pourquoi il avait tant travailler. Ce pourquoi il avait tant travailler, c’était pour l’impressionner.
Pour l’impressionner et pour qu’elle jette un regard différent sur lui. Pouvait-elle oublier Steve, le garçon qu’elle avait toujours aperçu derrière son épaule, pour maintenant voir Hayden, l’homme qui se tenait devant elle, dévorant chaque parcelle de son être du regard? L’homme qui effleurait doucement sa hanche, démontrant une tendresse qu'elle seule pouvait lui inspirer. L’homme dont les yeux azur la transperçaient, amourachés depuis une éternité, et qui finalement trouvait le courage de laisser émerger ses sentiments, car, pour une fois dans sa vie, il se sentait digne d'elle.
Confiant dans ses compétences, il tenta de la faire tourner une fois sur elle-même, mais dès qu'il perçut son malaise, il resserra son étreinte pour la stabiliser, son cœur battant la chamade dans sa poitrine. Alors qu'elle s'accrochait à lui pour éviter de tomber, il la maintint fermement contre lui dans une proximité rassurante, vérifiant d'un regard pour s’assurer qu’il ne l’avait pas blessé.
- J’ai seulement commencé à pratiquer il y a un mois. Je croyais que tu savais valser. Dans mes souvenirs, tu dansais si bien.
Encore une fois, il refuse de se laisser entraîner dans leur habituelle joute verbale, où l'ironie et l'humour règnent en maîtres au plus grand des plaisirs de la demoiselle. Hayden se souvient des conseils reçus tout au long du mois et tente de les appliquer, désireux de se montrer sous un nouveau jour à ses yeux. Incapable de se détacher de leur nouvelle proximité, il reprend leur danse en la maintenant bien plus près de lui, ses mouvements plus mesurés, trouvant un rythme plus lent et ramenant leurs mains entrelacées contre son torse.
- Je voulais te faire plaisir.
Cette danse, qu'il aurait souhaité voir se prolonger éternellement, touche à sa fin, mais Hayden ne la relâche pas pour autant. Il y en aura bien une autre qui débutera sous peu. Il ne veut pas quitter ses yeux, ni leur étreinte, qui pour la première fois n’a rien à voir avec celle qu’on partage entre amis. Entend-t-il seulement la musique de la prochaine danse débuter ? A-t-il même entendu celle de la dernière se terminer ? Tout ce qu'il entend, c'est son cœur tambouriner dans sa poitrine et ses pensées résonner dans son esprit. S’il ne trouve pas le courage maintenant, il ne le trouvera jamais et cette occasion qu’il attend si ardemment depuis des semaines lui glissera entre les doigts. Relâchant délicatement la main qui trouvait appuie sur sa hanche depuis déjà plusieurs minutes, il la remonte doucement contre son corps pour venir l’appuyer contre sa joue, enveloppant l’entièreté de celle-ci et venant soulever délicatement son visage alors que le sien s’abaisse doucement, ses yeux fixant ses lèvres qu’il convoite depuis le moment qu’il a poser le regard sur elle.
Résumé a écrit:
►Hayden et Cassandre danse ensemble la première valse ►Hayden tente d'embrasser Cassandre.
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Jeu 2 Mai - 19:52
Sweet child O' mine
Bien assuré que son fils ne lui faisait nullement honte sur la piste de danse avec sa fiancée, Thaddeus le quitte du regard pour chercher tout bonnement... son autre fils. Main posée sur la poche interne de son caban bleuté, ses doigts tapotent dans un rythme effréné, percutant sur la précieuse enveloppe rangée. Démarche presque impériale, cadencée à la perfection, tout comme son éducation l'avait forgé, il se dirige dans un coin en particulier. S'il n'avait plus à se préoccuper du regard transit de son aîné légitime, sa curiosité avait été piquée par un tout autre phénomène : Steve avait une cavalière.
S'il pouvait se remémorer avec exactitude la soirée de révélations, entrecoupée de fûts de bières à profusion, ce dernier avait avoué n'avoir aucune expérience relationnelle. Personne. Pas même de l'autre côté du terrain de chasse. Contraste foudroyant avec le géniteur qui butinait de fleurs en fleurs comme une seconde nature. Pourtant, il était en cet instant en train de danser avec nulle autre qu'une jeune femme aux environs de son âge. À en juger par la maladresse de ses pas, la qualité du tissu qu'elle portait ainsi qu'à ses souliers mal ajustés, cette femme n'était clairement pas de la classe pure. Sourcil arqué, sûrement bien trop intrigué, c'est un sourire qui s'étire finalement. S'il pouvait juger la cavalière, le cavalier avait quant à lui fait des progrès mesurables. Maintiens, rythme, il paraissait se saisir des trois temps avec précision. Que cela soit simplement pour impressionner la demoiselle ou non, Thaddeus ne pouvait qu'être ravi de le voir rajouter une ligne à sa liste de compétences.
Surtout avec l'annonce qu'il s'apprêtait à faire.
Tandis que le temps donnait l'impression de ralentir, la cadence de ses pas n'avait pas faibli, car il fixait droit devant sa destination. Il fixait droit devant son nouvel objectif. Sa main glisse sur le côté, l'index tendu et le pouce en préhension, se saisissant du bois d'orme lustré de sa baguette. Tel un chef d'orchestre, sûr de lui, le poignet souple tourne tandis qu'il redresse son avant-bras face à lui. Ne pouvant simplement pas émettre un seul son, sa baguette se met à crépiter sur la pointe, tandis que de fines petites étincelles jaillissaient. Steve ne pouvait plus ignorer les claquements secs et répétés, alors qu'il se tenait droit devant eux.
Moment brisé, quand deux paires d'yeux rencontrent enfin les siens, un sourire cordial s'affiche sur son visage. Son petit feu d'artifices avait bien évidemment attirer l'attention des quelques curieux, satisfaisant le maître du Verseau de son audience.
[Bonjour, à la demoiselle], annote-t-il à l'adresse de Cassandre, par galanterie. [Et bonjour à vous, mon cher fils.]
Son bras reste en l'air, baguette brandie et prête à répliquer, tandis que l'autre s'en vient fouiller dans son veston, duquel il sortit un parchemin finement roulé et tenu par un simple cordage fin. Il fait fît du silence alentour s'étant formé et des murmures qui s'en soulevaient.
[Me voilà ravi de vous voir en si bonne compagnie. Je me permets d'interrompre pour offrir mon cadeau.]
Sans plus attendre, il présente ledit parchemin aux mains de son aîné, qu'il venait de reconnaître publiquement pour la première fois. Non sans avoir attendu l'événement mondain du moment où la société sorcière anglaise s'était réunie pour les festivités de fin d'année.
Le parchemin n'était nul autre qu'un document officiel lui permettant le changement de nom. Ainsi, Steve Winchester allait pouvoir obtenir ce qu'il méritait enfin d'avoir : devenir un Chevalier. La surprise ne venait cependant pas seule, puisqu'il n'y était pas noté Steve. Le nom inscrit n'était nul autre qu'Hayden Chevalier.
[Il était temps de faire les choses officiellement.]
Main désormais libre, il appuie la paume de sa main sur l'épaule du professeur quelques secondes fermement, avant de relâcher prise et de la tapoter sympathiquement. La différence était de taille entre les deux hommes, Thaddeus devait l'avouer, son aîné avait la carrure pour porter ce nom sur ses épaules.
Dernière édition par Thaddeus Chevalier le Jeu 16 Mai - 19:30, édité 2 fois
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Sam 4 Mai - 4:27
Put on your dancing shoes...
Le bal de la nouvelle année
Combien de femmes pouvaient se vanter d’avoir été invitées à valser? À vraiment valser, comme dans les films, celles qu’elle et sa sœur regardaient avec de grands yeux, s’imaginant elles aussi en train de virevolter dans des robes bouffantes qui semblaient aussi légères que de la barbe à papa. Dans ses rêveries, toutefois, elle connaissait les pas et n’avait aucun mal à suivre la cadence. Ses gestes étaient bien plus gracieux, bien plus maîtrisés. La réalité était tout autre. Même si de l’extérieur elle donnait plus l’impression d’être un pantin désarticulé qui bougeait au gré des mouvements de son partenaire, elle en avait de moins en moins conscience. À chaque glissement de pied, à chaque mesure, elle s’enfonçait de plus en plus dans son monde.
« Un mois seulement? », répéta-t-elle, haussant les sourcils, franchement épatée par ses prouesses. « Tu as toujours appris rapidement, mais… » Elle fut interrompue par un ricanement qui lui fit plisser le nez autant que les yeux, rentrant sa tête entre ses épaules, un peu embarrassée. « Tu n’as pas bonne mémoire. J’ai toujours dansé comme un pied. J’ai toujours improvisé et fait n’importe quoi. La différence, c’est que je me suis toujours foutue de ce que les gens pouvaient penser. Tu as peut-être confondu confiance en soi avec talent. »
Alors que la danse se poursuivait, Cassandre se laissait bercer par la musique. Ils étaient vraiment comme dans l’un de ses films préférés : elle était Sissi, et lui était le parfait Franz. Si elle n’avait pas été aussi obnubilée par son cavalier, sans doute aurait-elle alors laisser tomber une remarque sur le fait que le grand gaillard d’habitude si distant et austère avait soudainement consenti à ce que son espace personnel soit ainsi envahi par elle, chose qui l’avait toujours fait râler auparavant. Et si de son côté il était en train de découvrir quelque chose de nouveau, c’était la même chose pour la blonde. Jamais elle n'aurait pensé danser en étant aussi proche d’un homme, encore moins de cet homme. Hayden Winchester, grand prince de la valse? C’était inattendu. Mais volontaire, de son propre aveu, puisque tous ces efforts, ils les avaient faits pour elle. Rien que pour elle.
« C’est réussi… »
Sa voix n’était plus qu’un murmure s’étant échappé de ses lèvres entrouvertes. Lorsque sa main vint se poser sur sa joue, elle inclina la tête, voulant approfondir le contact brûlant de leur peau. Il lui était d’ailleurs impossible de savoir qui des deux étaient le coupable – si c’était elle qui avait le visage bouillant ou si c’était la paume d’Hayden qui irradiait autant de chaleur. La réponse lui importait peu, du moment qu’il ne cessait pas de s’avancer vers elle. Lorsque ses lèvres ne furent qu’à quelques millimètres des siennes et qu’elle pouvait presque goûter son souffle, elle retint le sien et ferma les yeux, prête à accueillir ce qui devait être le premier baiser entre les deux anciens Gryffondor. Toutefois, des crépitements se firent entendre dans son dos, et elle sentit Hayden se raidir. Alarmée par le changement quasi instantané d’énergie, elle rouvrit les yeux et les leva pour scruter le visage du grand blond, s’apercevant qu’il regardait par-dessus son épaule.
Incrédule, Cassandre tourna lentement les talons, fronçant les sourcils en voyant un homme aussi blond que son partenaire se tenir à quelques mètres de là, tout juste derrière elle. Voir un inconnu toute baguette dehors n’avait rien de bien rassurant, et elle posa par réflexe sa main sur l’avant-bras d’Hayden, connaissant ses réflexes un peu trop aiguisés. Il n’était pas question de faire un esclandre en plein bal. Elle suivit l’extrémité lumineuse du bout de bois, comprenant que l’homme n’avait pas l’usage de la parole.
« Bonsoir, Monsieur », répondit-elle poliment, sans l’ombre d’un sourire, méfiante.
Et visiblement, son instinct ne s’était pas trompé. Lorsqu’elle lit le mot « fils », se fut complètement estomaquée qu’elle leva de nouveaux ses yeux bleus sur son ami. Depuis leur première année ensemble à Poudlard, il avait toujours été évasif au sujet de sa famille. Elle lui parlait constamment d’Aglaé, de ses parents et de Mamie Edith comme s’il les avait connus toute sa vie, mais jamais – ou alors à de très rares occasions – Cassandre l’avait entendu mentionner sa mère, son père ou l’existence d’une quelconque fratrie. Le bruit du parchemin frottant contre le tissu de la veste de l’inconnu attira l’attention de la blonde, qui suivi la trajectoire du rouleau de sa poche à la paume de l’enseignant. Elle serra son avant-bras, aussi raide que lui, dévisageant l’auteur de la missive. Tout ça ne lui disait rien qui vaille…
► Cassandre continue de danser avec plaisir avec @Hayden Steve Winchester, perdue dans son monde. ► Les deux n'ont jamais été aussi proches, et les planètes semblent s'aligner pour que les deux s'embrassent. ► COUP DE THÉÂTRE, @Thaddeus Chevalier ramène sa fraise et gâche le moment pour venir donner des cadeaux empoisonnés.
- LA SUITE EN PV -
Rémi Dawson
Gryffondor
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Ven 10 Mai - 13:28
Le bal de la nouvelle année Poudlard, 31 décembre 1980
Observant Lyra partir sur la piste de danse en compagnie de James Potter, je reste alors avec les deux autres personnes qui l’accompagnaient. Légèrement gênée et ne sachant pas quoi dire, je regarde un peu autour de moi afin de voir si d’autres visages qui me sont familiers sont arrivés, mais cela ne semble pas être le cas. Un des hommes prend alors la parole pour me demander si Gryffondor se débrouille bien au niveau du classement et si certains élèves continuent d’aller à l’encontre de certaines règles. Je lui réponds alors que c’est toujours le cas et que nous sommes plutôt bien dans le classement pour le moment. Du moment que nous ne sommes pas les derniers du classement, cela me convient très bien.
Prenant bonne note du conseil donné, je finis par leur demander alors leur identité, ne sachant qui se trouvent en face de moi. J’espère néanmoins ne pas paraître impolie en leur demandant qui ils sont. Quand il me décline alors leurs noms, je réfléchis un instant à l’endroit où j’ai déjà entendu parler d’eux. Cela ne m’est pas étranger, mais je n’arrive pas à me souvenir d’où. La première danse se termine et laisse place à la seconde.
- Enchantée de vous rencontrer. Effectivement c’est le but de cette soirée. Et je serais ravie, si vous n’avez pas trop peur de vous faire marcher sur les pieds.
Je lui offre un petit sourire. Je n’ai jamais été très douée en danse, malgré le fait que j’apprécie, mais il m’arrive d’être un peu maladroite parfois.
La nouvelle assommante avait fait son chemin, tandis qu'Hayden quittait la pièce pour reprendre consistance, Thaddeus, lui, revenait à ses accompagnateurs initiaux. En balayant la salle du regard, il remarque le rapprochement de son aîné avec la belle fiancée Sinclair, lui arrachant un sourire satisfait. S'il avait bien évidemment à parler à ce dernier, il le laisserait terminer ses danses. Il n'était pas un monstre sans cœur, après tout !
[Luke, pas de cavalière aujourd'hui ?]
Un sourcil s'arque, surpris. Avec un charme et un nom comme celui des Gaunt, son filleul devrait avoir des prétendantes. Ce n'était néanmoins pas le sujet du jour. Adressant un nouveau sourire au jeune Serdaigle, il pointe à nouveau sa baguette pour écrire.
[Je ne sais pas si ton père te l'as dit, mais je serai ton sponsor. Nul besoin d'aller quêter dans les autres familles. Tu as tout mon soutient.]
Tapotant vivement plusieurs petits coups sur l'épaule du jeune homme, Thaddeus le laisse vaquer à ses occupations, non sans lui avoir dit de s'amuser au préalable.
Dictamens:
Vielle canaille, vient donc délier tes jambes sur la piste de danse ! Je te promets, je te dirai si tu fonces droits sur l'un des piliers, ah !
Il se mit à rire, sans même avoir bougé l'ombre de sa baguette, se tenant face à son ami de longue date. Il tend sa main vers lui, comme il l'aurait fait auprès de la gente féminine pour inviter quelqu'un à danser.
Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Mer 19 Juin - 17:11
Le bal de la nouvelle année Poudlard, 31 décembre 1980
Les minutes s’écoulent et voilà qu’ils se retrouvent désormais en comité bien plus réduit. Pas que cela dérange Percival ; il a appris à être à l’aise dans toutes les situations envisageables. Être en grand ou en petit comité n’a pas d’importance pour lui. Surtout dans les cas où, comme ici, les deux personnes avec qui il souhaite s’entretenir sont encore présentes. « Eireann, Hereward, j’ai bien réfléchi à tout ceci et si vous me le permettez, je souhaite sponsoriser votre fille. Mes moyens ne manquent pas et je connais assez bien Aisleen pour avoir pleinement conscience de son potentiel. », dit-il en s’adressant au couple de sang-pur. Il va de soi que si le Gaunt doit investir de son temps et de son argent dans l’avenir d’un gamin, il préfère en privilégier un qu’il connaît. Les moments qu’il accorde sont bien trop précieux pour qu’il se permette de tenter un coup de poker en pariant sur un jeune dont il ne sait absolument rien. Après quelques minutes à échanger sur les termes, Greengrass et Gaunt se serrent la main pour sceller cet accord. Pour ce qui est de Luke, Percy a déjà vu cela avec Thaddeus – et il sait que son fils ne pouvait espérer meilleur sponsor.
Quelques minutes passent encore avant que d’étranges murmures ne parviennent aux oreilles de Percival. Des phrases qui, prises pêle-mêle et sorties de leur contexte, semblent n’avoir aucun sens. Ce sont des bouts de conversation qu’il parvient à identifier comme : « de quoi il parle, ce professeur est un Chevalier ? » ou « c’est son fils ? Tu le savais, toi ? ». Mais dans l’esprit de Percy, le puzzle se forme très nettement et un sourire discret étire ses lèvres. Évidemment, Thaddeus n’a pas pu s’empêcher de faire des siennes en faisant finalement le choix de reconnaître son véritable fils aîné. Et si cela peut passer pour un geste affectueux d’un père envers son fils, Percy sait. Il connaît assez bien le patriarche Chevalier – en plus du fait qu’il partage littéralement un bout de son esprit avec lui – pour avoir conscience que tout cela est mis en place pour servir un autre dessein, une autre idée qui rôde dans la tête de son ami. Mais il ne s’en mêle pas, n’ayant jamais émis le désir d’interférer dans la relation de Thaddeus et de Steve – Hayden, peu importe – et encore moins depuis que les choses ont commencé à se tendre entre eux.
Et tandis que les événements semblent se tarir et les danses reprendre le cours de leur enchaînement au rythme de la musique, des mots qui ne sont pas les siens viennent s’immiscer dans son esprit. L’ombre d’un sourire étire ses lèvres pendant qu’il rétorque à son tour par télépathie. « Il va de soi que tu me retiendras avant l’impact en grand gentleman que tu es, hm. », il ricane mais étrangement, il lui fait confiance. Malgré toutes les vacheries qu’ils peuvent se lancer constamment sur leur handicap respectif, ils ne feraient rien qui pourrait publiquement apporter la honte sur l’autre. « Si vous voulez bien m’excuser... », dit-il une dernière fois en direction des Greengrass et des Sinclair avant de reporter de nouveau son attention sur Thaddeus qui se trouve de nouveau en face de lui – le parfum revenu chatouiller ses narines ne le trompe pas. « Fais-moi valser, dans ce cas… et montrons aux jeunes comment se déroule une véritable danse. », sourire aux lèvres, il s’amuse réellement de ce petit jeu entre lui et le Français, prononçant volontairement ces derniers mots à haute voix, réponse à une conversation n’ayant un sens que pour les deux sorciers.
Résumé
• Percival annonce aux parents Greengrass qu’il prend en charge le sponsorat de leur fille (@Aisleen Greengrass). • Il écoute la musique jusqu’à ce que les gens s’agitent et que des murmures parviennent à ses oreilles. Thaddeus lance une bombe et le connaissant, il sait que ce n’est pas anodin. • Après quelques minutes, @Thaddeus Chevalier l’invite à échanger quelques pas sur le parquet. Une proposition qu’il ne peut décemment pas refuser. • Suite et fin de tout cela ici !
Máni Holstein
Préfet & Loup-garou
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Sam 22 Juin - 0:17
Le bal de la nouvelle année Poudlard, 31 décembre 1980
Être loin de tous ces adultes n’apaise pas complètement les angoisses de Máni qui a offert une prestation bien en deçà de ce qu’on attendait de sa part – et bien en-dessous de la barre qu’il s’était lui-même placée. Pourtant, Aisleen trouve le moyen d’être réconfortante, de lui assurer sans moquerie qu’il a été parfait. Et si ça lui fait plaisir, ça n’atténue pas son sentiment de honte. Voilà donc le monde des sang-purs, celui que sa partenaire du soir fréquente au quotidien tout en parvenant à rester… elle. Le Danois trouve cela d’autant plus impressionnant qu’il n’a fait qu’effleurer la surface de l’univers de ces gens ; à peine quelques secondes pour qu’il comprenne qu’il serait incapable de survivre dans celui-ci, se faisant dévorer par le premier illustre sorcier venu après seulement quelques secondes. Pourtant, c’est bien là que Leen évolue et les constations résultant de son expérience le pousse à la trouver d’autant plus admirable tandis qu’il ne peut retenir un commentaire sur ce qui vient d’arriver.
Quand elle lâche subitement son col, Máni hausse les sourcils sous l’effet de la surprise. A-t-elle remarqué son expression ? Ses doutes sur la signification de ce geste ? C’est plus que probable. « Merci... », dit-il néanmoins, bien conscient d’avoir été misérable. Aisleen pourrait légitimement être fâchée suite à sa performance et encore plus en constatant qu’il enchaîne les ratés, n’ayant lui-même pas songé à apporter un cadeau digne de ce nom pour sa cavalière. « Je t’en ferai quand même un pour me rattraper, c’est la moindre des choses. », promet-il en affichant l’esquisse d’un sourire. Le contact délicat de ses mains vient un peu le réconforter. Il essaye de se détendre, de se rappeler que cette soirée est censée être une fête, non un tribunal même s’il a du mal à s’enlever cette idée de la tête.
Et puis, il n’arrive pas à se défaire de cette gêne, notamment lorsqu’Aisleen l’invite à danser et qu’il se rappelle que dans les convenances, c’est au cavalier de tendre la main vers sa partenaire en posant la fameuse question. Encore une fois, il passe à côté. Encore une fois, la belle Greengrass pardonne ses bourdes sans la moindre hésitation. « Très bien, alors allons-y ? », il n’est pas convaincu qu’être moderne et novateur soit ce qu’attendent les parents de la Rouge et Or mais il est trop tard pour reculer de toute façon, ils ne vont pas rester là à se regarder dans le blanc des yeux. Il n’y a plus qu’à essayer de s’amuser car comme elle le lui rappelle, c’est pour ça qu’ils sont là. Puisant un maximum de courage dans son contact avec la main de son amie, il la suit sur la piste de danse, tentant de faire taire son appréhension à l’approche de celle-ci.
Ne sachant comment il convient de se placer, le Poufsouffle laisse sa camarade prendre position face à lui. Il ne bronche pas quand elle vient attraper sa main droite pour la placer dans le creux de ses reins tout en gardant les doigts de sa main gauche entrelacés dans ceux d’Aisleen. La main libre de la rousse vient en suite se poser sur son épaule. Position prise, il inspire en même temps qu’elle et hoche la tête à ses conseils qu’il tente d’appliquer sans attendre, gardant son regard planté sur la Gryffondor et s’efforçant de ne pas penser à ses pieds qui commencent à bouger lorsque la valse débute. En danseur complètement inexpérimenté, Máni suit le rythme de la meneuse. Il a bien conscience que ce rôle aurait dû lui revenir mais il aurait été un conducteur bien misérable – et encore, c’est un euphémisme. Il fait tout son possible pour garder une posture droite et une allure potable mais il le sent : le bas de son corps produit des mouvements saccadés, manquant ostensiblement de fluidité et étant particulièrement gauches et même disgracieux. Il voudrait croire aux murmures de Leen, se dire qu’effectivement, tout va bien mais il n’est pas idiot. Chaque pas se fait dans l’hésitation et dans la peur de rater le suivant, rendant le tableau chaotique et incontestablement mauvais. Parfois trop rapides, parfois trop lents, aucun geste n’est en accord avec la mélodie. Et il se sent honteux que sa cavalière doivent ainsi constamment corriger sa posture. « Je suis désolé... », dit-il, mâchoire crispée, honteux d’infliger ça à Aisleen tandis qu’il sent ses doigts le serrer un peu plus. Tout ce qu’il souhaite désormais, c’est que ce calvaire se termine, aussi bien pour lui que pour elle.
Résumé
• Il effectue une danse particulièrement catastrophique avec @Aisleen Greengrass et en ressent une honte incommensurable. Il est tellement pris dans son échec qu’il ne fait pas attention aux événements qui se passe autour.
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année Sam 22 Juin - 4:43
Le bal de la nouvelle année
Maintenant qu’elle et Máni étaient au centre de l’arène, le temps semblait s’être accéléré. Ou alors était-ce eux qui n’étaient pas assez rapides pour suivre le rythme de la valse qui faisait tournoyer les autres danseurs aux alentours. Il l’avait bien averti, mais Aisleen avait sous-estimé à quel point la danse ne faisait pas partie des talents innés de son ami. Un pas sur trois, ses pieds venaient s’emmêler dans son long jupon bouffant ou piétiner le bout de ses orteils. Chaque fois, la rousse tentait au mieux de garder bonne figure, réprimant avec grande difficulté ses grimaces et ses froncements de sourcils. Elle était bien consciente du malaise de son ami et ne voulait pas jeter de l’huile sur le feu. Malgré tout, elle venait repositionner sa main qui avait tendance à glisser vers le haut ou vers le bas, tentait de compenser les lacunes de sa posture un peu bancale, si bien que sa colonne maintenue trop raide, trop longtemps commençait à devenir douloureuse.
« Tout va bien », murmura-t-elle une énième fois, plus pour se rassurer elle que le Poufsouffle qui déployait déjà d’énormes efforts depuis son arrivée dans la Grande Salle.
Néanmoins, à tournoyer ainsi de manière complètement désaccordée, ils avaient autant de grâce qu’un déraillement de train. Oh, comme Aisleen aurait dû suivre ses propres conseils. Elle aurait dû se concentrer uniquement sur son cavalier, lui sourire, continuer de le rassurer et, surtout, aborder chacune de ses maladresses en riant. Le plus important, c’était de s’amuser, non? Il lui avait proposé d’aller au bal pour ça, passer un moment de qualité entre amis dans un cadre enchanteur qui sortait de l’ordinaire, une soirée exceptionnelle dont ils garderaient tous deux d’agréables souvenirs. L’effort de concentration s’était toutefois avéré surhumain.
Il n’avait suffi que d’un tour de piste, que d’un court instant, pour que les yeux verts de la jeune femme ne quittent le visage crispé du Danois pour se poser sur les danseurs à quelques mètres d’eux. La paire constituée de sa meilleure amie et de son fiancé glissait sur le sol avec l’aisance d’une figurine de boîte à musique. Comme si quelqu’un, quelque part, avait tourner la petite clé pour les activer. La perfection et la grâce incarnée, les sourires enchantés, la proximité, l’écart retranché, les… lèvres collées. Et là-bas, en arrière-plan, les murmures échangés par des parents enthousiasmés, alors que d’un regard calculé sa mère lui fit part qu’elle était beaucoup moins emballée.
Ces yeux perçants, Aisleen les avait vus à plusieurs reprises depuis qu’elle était toute petite. C’étaient les yeux désapprobateurs, ceux qui portaient le jugement et la déception au fond des pupilles. Lorsque la rouquine vit sa mère se pencher vers son père, et que celui-ci se tourna vers le couple merveilleux, puis vers elle et son cavalier moins-que-parfait en fronçant légèrement les sourcils, elle eut l’impression de recevoir un coup en plein ventre. Les attentes des Greengrass n’avaient pas été comblées. Pas s’ils comparaient sa prestation avec celle des Sinclair-Chevalier. Elle le savait. Elle le sentait. Totalement déconcentrée, ce fut à son tour de se prendre les pieds dans sa robe, perdant l’équilibre et butant contre le torse solide du Poufsouffle, mettant ainsi fin à leur danse infernale.
Lorsqu’elle se redressa, la joyeuse mélodie jouée par les instruments enchantés sembla se distordre, et bien qu’elle fût immobile, la pièce tout autour semblait tourner autour d’elle. Commençant à avoir du mal à respirer, l’air semblant restant bloqué dans ses voies respiratoires, elle plaqua une de ses mains sur sa poitrine, sentant qu’un haut-le-cœur n’allait pas tarder à s’inviter à son tour à la fête. Elle devait sortir. Maintenant.
« Máni, je… excuse-moi…! »
Et sans accorder un dernier regard, ni à son camarade préfet, ni à ses autres amis, ni au groupe d’adultes plus loin, elle leva le pan de sa robe pour faciliter sa course, se précipitant à toute vitesse vers les grandes portes ouvertes, ignorant complètement la voix de sa mère qui l’appelait. De l’air. Vite.
► Aisleen et @Máni Holstein dansent de manière bien peu gracieuse, mais Aisleen tente du mieux qu'elle peut de faire bonne figure. ► C'est peine perdu, car @Orphea Sinclair et @P. Louis Chevalier sortent le grand jeu. ► Aisleen ressent soudainement toute la pression et la déception de ses parents. Début de crise de panique, elle fuit la Grande Salle au pas de course.
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Sujet: Re: SUJET COMMUN || le bal de la nouvelle année
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