Tiraillée entre deux états d'esprit, la jeune Mandragoran ne savait pas trop de quel côté elle préférait pencher. Son rôle de préfète était important pour elle, attestant, comme une récompense, de sa discipline et de la confiance du corps professoral. Tout en prenant — il faut se le dire — un malin plaisir à faire régner la discipline au travers de tous les adolescents chaotiques. Pourtant, quelque chose dans ce rôle-là, dérangeait ce soir : l'heure tardive de la réunion. Les rondes étaient bien souvent menées durant les heures tardives, mais elle devait s'avouer que surveiller et faire de la discipline ne lui demandait pas énormément de travail mental. Elle pouvait parfaitement le réaliser de manière totalement automatique. Une réunion demandait bien plus d'activité cérébrale. Savoir se tenir parfaitement, faire preuve d'une étiquette irréprochable afin de conserver une image intègre auprès de ses pairs, tout en réfléchissant à la programmation. Sans parler de toutes les situations problématiques qui devaient être discutées. Comment pouvait-elle trouver les meilleures idées avec un cerveau surstimulé toute la journée et complètement fatigué ?

Un soupir long et las fait descendre ses épaules, le mal de tête accompagnant la fatigue bien installée. Dans peu de temps, elle pourrait retrouver ses draps et la chaleur de Madame d'Alnoy à ses côtés. Tout cela pourrait être idéalement réalisable si les trouble-fête de son dortoir avaient décidé de rester calme ce soir. Étudier et se reposer devenait problématique en la présence des deux redoublantes bien trop vives. Cette partie de la Tour était délicieusement calme, appartenant aux préfets-en-chef. Leurs propres appartements, leurs propres quartiers. Quel doux rêve... Elle espérait bien que dans deux ans, l'une de ses chambres lui appartienne. Non, elle n'espérait pas, elle ferait tout en son pouvoir pour y parvenir et elle y arriverait. Une fois devant la porte du Serpentard, la jeune fille se redresse, raclant sa gorge pour être certaine que sa voix fatiguée ne produise pas de drôles de sons. Elle cogne deux fois, de manière douce, mais franche.

- Bonsoir, Achlys !

Une fois la porte ouverte sur les quartiers du Malefoy, elle entre, queue de cheval bouclée, ballottant dans le vent de sa démarche. Comme attendu, elle était encore la première à arriver. Il était hors de question qu'un jour quelqu'un dise que Niamh Mandragoran avait été pile à l'heure ou pire, en retard. Son regard scanne la pièce, non sans une grande pointe d'envie et de rêverie. Le croup sur le canapé décide son choix de prendre celui vide. N'aimant pas trop tout ce qui composait l'espèce de canidés, la distance était de mise. Elle prit la place sur le bord le plus éloigné du tableau. Positionnement stratégique : une vision d'ensemble donne une meilleure analyse, après tout.

- J'espère qu'on ne débordera pas de l'heure comme l'autre réunion. Il faut que nous soyons en forme pour demain.

Même si son intention n'était pas d'être directive, le ton de sa voix pouvait le faire croire assez facilement. Elle ne voulait simplement pas terminer morte de fatigue, encore une fois. N'attendant pas la réponse du garçon, elle se penche dans son sac pour en sortir sa plume à papote et le livre qu'elle utilise uniquement dans son rôle de préfète.

Que la messe soit dite : Máni n’aime pas les réunions. Il y a trop de monde, trop de bruits, trop de discussions dans tous les sens… trop de trop qui agite ses sentiments et le place dans un inconfort dont il se passerait bien volontiers. Il aime son rôle, appréciant les responsabilités qu’il doit gérer et toutes les compétences que ça peut lui apporter. Faire les rondes avec ses camarades s’avère également très intéressant – l’heure généralement tardive de ces dernières et le fait d’être avec un seul autre partenaire apporte une vision différente à ces moments. Mais les réunions trimestrielles… où il se voit déjà à être tous dans une pièce, rendant l’espace plus exigu par leur nombre, c’est très loin d’être une perspective enchanteresse. Mais il s’y rend : parce qu’il n’a pas le choix s’il tient à être tenu au courant des dernières dispositions prises par ses collègues – notamment pour ce qui est de leur organisation à venir.

L’heure approchant – et son estomac se nouant au fur et à mesure des secondes qui s’écoulent –, le préfet Jaune et Noir se prépare à se rendre à cette réunion après avoir terminé une journée déjà éreintante. C’est pourquoi il se délaisse de ses vêtements formels, laissant cape de sorcier et autre habit réglementaire pour un pantalon plus souple et une chemise plus large. Et pour fignoler son attirail, il enfourne ses pieds ses tongs et quitte son dortoir pour rejoindre la chambre d’Achlys Malefoy, préfet-en-chef. Il traverse les couloirs – quasiment déserts à cette heure-ci – et se retrouve au bout de quelques minutes face à la porte. Toquant trois coups, il attend l’autorisation avant de pousser la poignée et d’entrer dans la pièce. Une bonne partie de ses camarades préfets sont déjà mais il manque encore quelques têtes connues. « Bonsoir. », dit-il poliment en refermant la porte derrière lui. Il adresse un sourire à Aisleen avant de se placer dans l’une des places encore disponibles. Le Poufsouffle se serait bien installé à côté de son amie Rouge et Or mais la Croup couchée près d’elle n’est pas pour le rassurer. Il n’a aucune envie d’attiser la curiosité de la créature et de la voir venir le renifler parce qu’elle sentirait ce qu’il cache au fond de ses entrailles. Au milieu de ses camarades, ce serait extrêmement gênant. Faisant comme si de rien n’était, Máni porte son regard sur le tableau affichant l’ordre de la soirée, attendant la suite des événements – en espérant que cela ne dure pas trop longtemps.

Dodelinant sa tête, elle espère bien qu'@Achlys N. Malefoy tienne sa parole sur le débordement. La toute première réunion — celle d'introduction — avait été interminable et n'ayant jamais assisté à aucune autre, elle ne pouvait se baser simplement sur cette expérience. Les prochains à arriver furent l'équipe Gryffondor chez les sixièmes années, tandis que le regard de Niamh suit le chemin d'@Aisleen Greengrass, s'approchant de la croup. Non, elle n'arrivait vraiment pas à comprendre l'amour que les gens pouvaient porter aux canidés. Entre la mauvaise odeur qu'elle ne supportait pas, la bave collante et leur côté envahissant, elle était plutôt dédaigneuse. Si la croup venait à elle, elle ne la repousserait pas, loin d'en avoir peur. Mais elle serait mal à l'aise si elle venait à coller sa truffe humide ou sa bouche pleine de bave sur elle.

D'autres élèves se joignent à eux, tandis qu'elle balaye les nouveaux arrivants du regard. Elle compte silencieusement les personnes présentes, constatant avec lassitude qu'être préfet ne voulait pas dire exemplaire. Ce qui ne faisait aucun sens dans sa vision des choses. Le divan se remplit avec le Poufsouffle de dernière année, lui assurant que l'animal ne pourrait pas changer de couche. Que Morgane loue cet homme, lui assurant une paix intérieure afin de se concentrer uniquement sur la thématique du jour.

Un soupir silencieux s'échappe des tréfonds de son âme à la tirade du préfet-en-chef. Poudlard pouvait bien faire pâle figure avec une classe comme celle des cinquièmes années. Était-ce la tranche d'âge, qui en était la cause ? Elle avait entendu que la promotion précédente n'avait pas été de tout repos non plus. Ou peut-être était-ce dû à l'absence des plus gros éléments perturbateurs, cette année. Ce qui reviendrait à sortir l'intégralité de sa classe au sein de sa promotion. Parfois, elle repensait à son année à Mahoutokoro avec envie, avant de se rappeler l'enfer de la compétition au sein de cette école et de cette immense solitude qu'elle avait ressentie, en étant étrangère. Solitude qu'elle ressentait ici aussi, à quelque part.

- J'espère que c'est un test que tu nous proposes ici, M. le Préfet-en-chef. L'alcool dans un établissement scolaire est parfaitement interdit, tout comme sa consommation par des mineurs, finit-elle, acerbe, tout en claquant sa langue sur son palais. Mais je suppose que tout le monde ici est déjà au courant de ce fait.

Elle jauge l'assemblée du regard, défiant quiconque d'oser toucher à une bouteille d'alcool. Petite nouvelle au sein de l'équipe des préfets, les autres allaient rapidement comprendre d'où elle détenait son titre. Ce n'était pas en se permettant ce genre d'écart que Poudlard allait redorer son blason rapidement. Si le Conseil des purs avait par eux-mêmes mandaté Achlys pour ce noble rôle, elle ne pouvait pas concevoir que proposer de l'alcool était sa première idée. Cela ne pouvait s'agir que d'un test, rien d'autre, non ?

- Concernant les noms, il n'y a pas à chercher loin. Une grande partie des cinquièmes années. Cette classe est infernale !

Elle ne pouvait décemment pas se prononcer sur les autres promotions. Sa seule classe lui prenait déjà bien trop de son temps, elle n'allait pas non plus faire la police magique au sein des autres classes. Son jugement silencieux fut interrompu par l'arrivée du retardataire, faisant son amendement avec des sucreries sur la table. Si cette technique pouvait marcher avec les Poufsouffles, elle ne se ferait clairement pas acheter.

Installé plus en face d’Aisleen et à côté de Niamh, il hausse légèrement les épaules lorsque la Rouge et Or fait parvenir un « désolée » muet à son intention tandis qu’il essaye de lui faire comprendre que ce n’est pas grave. Puis, un bruit caractéristique de porte verrouillée par un sortilège de collaporta annonce le début imminent de la réunion. Soulagé que celle-ci commence à l’heure, Máni lance un regard pourtant sceptique en direction de son camarade Serpentard qui, s’il donne des propos pertinents dans un premier temps, finit vite par l’étonner en proposant – dans l’école et en libre service – des boissons alcoolisées aussi fortes que du purfeu et de l’hydromel. Leur simple présence n’est-elle pas interdite à Poudlard, au-delà du fait qu’il y ait quelques mineurs dans la pièce ? Il n’a pas le temps de demander vérifications. La jeune préfète de Serdaigle, Niamh Mandragoran, s’insurge sans plus attendre de ce qu’elle constate. Un rappel du règlement et une menace sous-jacente plus tard, elle sonde l’assemblée des préfets et lorsque son regard passe sur Máni, le Jaune et Noir s’enfonce encore plus un peu plus dans sa place. Pas qu’il ait eu l’intention de toucher à l’alcool malgré sa majorité – même en dehors du château, il n’en consomme pas – mais le haussement soudain du ton n’est pas pour apaiser son inconfort à être dans cette pièce.

Sensation qui ne va pas en s’améliorant à l’annonce du premier point d’Achlys. Il demande des noms – plus réellement, il ordonne – sur un ton plus sec qui ne plaît guère au Poufsouffle. Il a beau ne pas aimer faire des esclandres ou laisser volontiers les autres s’exprimer à sa place si ceux-ci ont un avis similaire au sien, il n’apprécie pas pour autant qu’on lui fasse sentir une supériorité de cette manière – pas quand les préfets sont sensés être un groupe uni et soudé. Le rôle d’Achlys ne consiste-t-il pas à les aider, à les aiguiller et non à les écraser ? C’est la vision que Máni a toujours eu des préfets-en-chef mais peut-être s’est-il fourvoyé après tout. Le temps de sa réflexion, Niamh intervient une nouvelle fois, pointant de ses mots la classe des cinquième années. Ne connaissant pas vraiment les élèves de ce niveau, hormis les préfets – et Geoffrey –, Máni ignore à quel point ils peuvent être problématiques. Puis, un bruit vers la porte attire son attention avant que, quelques secondes plus tard, Luke Gaunt ne daigne les honorer de sa présence. Un ami de son année malgré ses couleurs différentes. Les excuses adressées à l’assemblée et les bonbons laissées sur la table en offrande pousse néanmoins le blond à pardonner l’attitude désinvolte du Gaunt. Il ne fait pas ça méchamment, après tout. Luke est simplement… Luke. Et c’est déjà une explication en soi. Tout comme la marque d’oreiller encore dessinée sur sa joue. Une audace qui pousse parfois Máni à avoir une certaine admiration envers son comparse Bleu et Bronze.

Puis, les dérapages se poursuivent parce qu’un Gryffondor semble incapable de rester en place ou de parler lorsque cela est pertinent – pourtant, dans une assemblée si nombreuse, c’est la moindre des choses à observer. Il invective Niamh dont l’intervention précédente était pourtant justifiée – invoquant sa grand-mère dont tout le monde se fiche pour appuyer des propos inutiles et blessants. Pour couronner le tout, le préfet Rouge et Or de sixième année – et donc mineur puisqu’il n’a pas redoublé à la connaissance du Danois – se permet de taper directement dans un verre de purfeu et d’en boire au nez de la Serdaigle en guise de provocation. Est-il idiot ou simplement stupide ? À quel moment trouve-t-il intelligent de se comporter de la sorte ? À cracher ainsi sur la fonction de préfet, il leur fait honte à tous. Et soudain, de désagréables picotements assaillent l’estomac du Poufsouffle, signe d’un agacement qui commence à naître. Autant dire que la dernière et seule personne à avoir instantanément provoqué ce genre de sentiment en lui s’appelle Castiel Baker. Il aurait été prêt à réagir, si ce n’est de l’intervention judicieuse d’Eurydice qui lui répond avec bien plus d’ingéniosité qu’il n’aurait pu le faire sur le coup. Dommage, cependant, que l’intervention de Tyler ne soit pas du même acabit. D’autant qu’ici, le problème n’est pas tant de se mettre la tête à l’envers que d’avoir de l’alcool au sein d’une école avec des mineurs – le fait est qu’ils ne sont pas que des septième année et que ça aurait été à prendre en considération également. Quoi qu’il en soit, Máni préfère ne pas rebondir à ce sujet, s’efforçant de retrouver autant que possible un calme intérieur pour reprendre les paroles de chacun concernant le premier sujet de la soirée. En y repensant, il est incontestablement d’accord avec l’analyse de Leen et sa crainte que les élèves qui se sentiraient plus qu’observés par les préfets ne décident d’aller encore plus loin pour enfreindre le règlement. Il s’apprête à donner son avis à ce sujet, levant poliment la main, entrouvant la bouche… avant de se retrouver soudainement interrompu par la prise de parole inopinée de Luke. Il le laisse néanmoins terminer, étant de toute évidence d’accord avec les paroles du Serdaigle. « Hum... », commence-t-il, se raclant la gorge, s’assurant cette fois que personne ne vienne lui griller la priorité. « Je suis d’accord avec ce que disent Aisleen et Luke. Cibler ces personnes n’est pas une bonne idée, cela pour toutes les raisons évoquées. », s’il devait lui-même se plier à cela, il devrait citer certains noms pour lesquels des retours peu flatteurs sont arrivés jusqu’à ses oreilles. Des noms… qui ne sont certes pas ceux de premiers de la classe et qu’il n’a guère envie de donner en pâture à ses collègues. « Les regarder, les réprimander lorsqu’ils enfreignent le règlement, oui. Mais sans plus d’acharnement ou de regards constants sur eux. En somme : simplement faire notre travail et rien de plus que nous ne ferions pas pour n’importe quel autre élève. D’ailleurs… j’admets que je ne pensais pas venir ici pour parler ainsi de nos camarades. Qu’en est-il du planning des rondes pour le trimestre à venir ? Des retours à donner sur comment celles-ci se passent avec notre binôme ? Des conseils que nous pouvons partager grâce à nos expériences ? »

Avertissement donné, la Serdaigle se doutait qu’elle n’allait pas tomber dans les bonnes grâces de tout le groupe. Elle ne pouvait simplement pas concevoir qu’on puisse autoriser de l’alcool au sein d’une institution. Encore plus lorsqu’il s’agit des figures d’autorité. Elle s’était attendu à des remarques de désobligeances, comme bien souvent, mais pas à la langue acerbe du Gryffondor d’un an son aîné. Bien que son avis importe peu selon elle, elle ne pouvait s’empêcher de se sentir attaquée. Si être aigrie voulait dire de suivre le règlement et la bienséance, alors soit, elle l’était. Même si la remarque ne lui plaisait guère, la suite de son insulte était tout sauf élaborée. Comparer son ignominie avec sa grand-mère était bas et surtout loin d’être original.

- De qu-

Parole rapidement coupée, comme l’herbe sous le pied, Niamh assène un regard accusateur sur la Serpentard de dernière année. Son expression change derechef, ses paupières écarquillées. Elle venait de la défendre ? Prenant recul dans l’instant, elle se rend compte qu’elle n’avait pas réfléchi à sa réplique. Malgré les remontrances, @Ryder J. MacMillan prit l’audace de la regarder droit dans les yeux en buvant à sa santé, ce qui était évidemment de l’alcool. La jeune Serdaigle le juge du regard, expression dédaigneuse. Parce qu’en plus de ne pas avoir d’idées originales, il voulait faire son intéressant ? Elle soupire, posant sa main dominante sur son front, fermant les yeux un instant. Pour les rouvrir sur l’autre préfet-en-chef, la défendant à son tour. Était-elle enfin entourée d’individus sensés et matures ? Quel choc face à son quotidien avec les cinquièmes années. Il y avait toujours une pomme pourrie dans le tableau, et à cette pensée, son regard roule sur le Gryffondor.

- J’ai presque cru à tes paroles bienveillantes, Tyler. Quelle naïveté ! Est-ce que je parle dans le vent ? Qui vous a donné vos badges, sérieusement ?

Bras quasiment levés en l’air, elle les laisse tomber d’un coup sec, laissant le bruit claquer sur ses cuisses. Son regard alterne entre le Gryffondor et le Poufsouffle. Elle n’en revenait tellement pas de  voir que Tyler s’était, lui aussi, servi au plus grand calme, juste après sa tirade et l’avoir défendue. Avait-il participé au soutien des paroles de la Serpentard, simplement pour bien se faire voir ? Elle n’était pas dupe, au vu des regards qu’il lui lançait. Fichus hommes qui ne pensent qu’avec leurs pantalons. Voyant qu’@Achlys N. Malefoy venait de ranger les bouteilles d’alcool, elle prit un air satisfait, croisant les bras sur son buste. Enfin, une action raisonnable.

La réunion peut reprendre sérieusement, face à quoi Niamh se tient silencieuse et écoute. Elle ne comprenait pas pourquoi il disait s’être fait mal comprendre sur ses intentions : ne pas cibler d’élèves. Pas plus tard que quelques secondes après, il inscrit magiquement le nom des Sparks sur le tableau. Ce n’était pas contradictoire ? Elle  balaye la salle de son regard, afin de voir si elle était la seule à trouver ça étrange, ou non.

- Est-ce qu’on est obligés, de le changer ?

Elle s’entendait bien avec son binôme Serdaigle et ne voulait surtout pas être jumelée avec les deux idiots. S’arracher les cheveux n’était pas dans son planning actuel, après tout. Quant aux rondes, elle irait n’importe o ù, si nécéssaire. Bien qu’elle n’aime pas particulièrement celle donnant aux sous-sols.

Résumé a écrit:

► Elle est surprise du soutiens d’Eurydice à son égard.
► Elle trouve Tyler irrespectueux de boire alors qu’elle venait juste de faire une tirade sur l’interdiction de la boisson à l’école.
► Elle préférerait ne pas changer son binôme de ronde.