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 Fear not this night || Alice & Orpheus

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Orpheus Yaxley
Orpheus Yaxley
Puriste & Quidditch
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MessageSujet: Fear not this night || Alice & Orpheus   Fear not this night || Alice & Orpheus EmptyLun 27 Nov - 11:17


Fear not this night
@Alice Flint & @Orpheus Yaxley
3 Novembre 1980
La famille Yaxley avait l’art et la manière d’annoncer les cataclysmes. Parmi ceux ayant frappé ma vie, la majorité étaient arrivés de la même manière : par une simple lettre reçue au moment du petit déjeuner, rédigées de la main de ma mère ou de ma soeur.
Ce désastre-ci n’avait pas fait exception.

Des lettres, j’en recevais assez peu. A part Selena qui m’écrivait de temps à autre pour prendre des nouvelles et m’exposer sa “fabuleuse vie”, quand ce n’était pas pour souligner le désastre de mes résultats aux épreuves, à l’instar de celle reçue la veille. Alors ce fut avec une certaine incrédulité que je vis une lettre tomber devant moi alors que je buvais un café noir. Des lettres deux jours d'affilée, y’avait de quoi se poser des questions.
En réalité, je n’étais pas particulièrement surpris en reconnaissant l’écriture élancée de ma mère sur l’enveloppe. Elle aussi avait dû avoir vent de l’échec dont je portais encore quelques stigmates. Réprimant un soupir désabusé, je posais ma tasse pour ouvrir ce fichu courrier et en découvrir le contenu que j’étais certain de deviner.

Et bordel… j’aurais préféré avoir raison.

Dès les premières lignes, je sentis ma mâchoire se crisper. Ma mère m’y annonçait, d’un ton mesquin que je ne lui reconnaissais pas, la rupture de mes fiançailles avec Aurora Slughorn et dans lesquelles elle estimait que j’avais ma part de responsabilités. Pardon ?!  Cette accusation, elle la justifiait par mon brillant et récent échec, bien évidemment, et ne manquait pas l’occasion pour me rappeler à quel point je mettais “toute la famille” en danger. Et quelle famille, lorsqu’on savait que Selena était hors de portée de cette foutue misère par son précédent mariage, Persée avait été radié de nos vies, et Père… était derrière les barreaux depuis presque deux ans. Ouais, cette famille en danger, ce n’était que mon incapable mère et son borné de fils  : moi.
Je fulminais à la lecture de ces quelques lignes. Si j’avais conscience du plongeon vertigineux que signifiait la rupture de ces fiançailles, je ne digérais cependant pas les accusations qui allaient de pair avec ces dernières. Et si pour l’heure l’information ne s’était pas encore ébruitée, j’avais conscience que lorsque l’étincelle serait allumée par je ne savais quelles viles rumeurs, ça serait comme une traînée de poudre. Jusqu’à l’explosion.

Ce furent cependant les lignes suivantes qui m’achevèrent, avec l’effet d’un couperet. Estomaqué par ce que j’y découvris, je dus relire deux fois ces quelques lignes à l’élégante écriture dans l’espoir d’avoir mal saisi… mais non. Mes iris glissèrent même vers la table des Jaunes et Noirs pour repérer une silhouette à la crinière brune, occupée à de futiles discussion. Mais les faits étaient là. L’information était claire, limpide, abjecte. Elle me donna la nausée et je sentis une vague de colère et de révolte monter en moi alors qu’une seule conclusion s’imposait à mon esprit : ma chère mère venait de se débarrasser de moi. On pouvait même dire qu’elle m’avait vendu.
Réprimant un juron, je froissai le papier entre mes mains et me levai pour quitter la Grande Salle,  embarquant mon sac par la même occasion, bien décidé à profiter du temps qu’il me restait avant les cours pour répondre à cette garce qui osait terminer sa lettre par un “avec toute mon affection”.

Dire que le reste de la journée avait été insupportable était un euphémisme. En cours je n’avais fait qu’acte de présence, l’esprit occupé par ces quelques mots que m’avait adressés Mildred Yaxley et toutes les répercussions qui en découlaient. Ce mariage avec Aurora, même s’il m’avait enchaîné à une place que je trouvais désagréable, avait été une promesse de survie et d’avenir pour ma famille. Et même si les fiançailles m’avaient contraint à beaucoup de concessions, j’avais nettement senti le changement d’attitude des autres sang-purs à mon égard, du fait de l’influence de la famille d’Ora. Sauf que voila… ces bases qu’on avait espéré solides avec la Slughorn, elles s’écroulaient comme un vulgaire château de cartes sans que je n’en comprenne la cause. Les conséquences, elles, elles étaient évidentes : j’allais devenir une cible pour tous ceux qui avaient décrié cette union. J’avais voulu m’élever à leur hauteur -retrouver la gloire d’antan des miens- et je m’étais cassé la gueule… maintenant je devenais une proie aisée. Et cette simple idée me répugnait. Il était hors de question que je me laisse piétiner. Pourtant j’étais bel et bien en chute libre, je le savais…

Mes quelques heures d’assistanat à la bibliothèques, je les avais réduites à néant après une altercation avec un Gryffondor me cherchant des noises à propos d’un livre qui n’existait probablement pas -et que j’étais de fait incapable de trouver. Le coup était parti, et il avait fallu l’intervention de deux autres élèves pour nous séparer avant que je ne quitte les lieux, balançant à la pauvre bibliothécaire que je n’en avais rien à cirer de ses stupides bouquins. Injuste, je l’avais été, parce que je n’en avais pas spécifiquement après elle. A vrai dire, en cet instant, j’en voulais au monde entier.

Le repas du soir, je l’avais allègrement sauté, ne daignant même pas me rendre dans la Grande Salle. L’appétit coupé, pris dans une vertigineuse tornade de ressentiments, je m’étais exilé dehors, sur les bords du lac.
En cette heure, pas si tardive, la nuit avait jeté son long manteau sur le parc depuis un moment et toute âme avait déserté les lieux. Assis sur une large pierre plate et tournant le dos au château, j’observai sans vraiment la voir cette étendue sombre sur laquelle se reflétait les étoiles, comme sur un miroir brisé. Et seul le clapotis des vagues sur la berge venait rompre le silence qui s’était installé. Cette quiétude apparente… elle me faisait du bien autant qu’elle pouvait s’avérer dévastatrice. Si la colère avait fini par, peu à peu, redescendre, elle n’en avait pas moins laissé sa place à d’autres émotions. C’était un profond sentiment d’abandon et d’injustice qui m’habitaient en cet instant, alors que je me sentais trahi par ma propre mère.

La gorge nouée par le ressentiment, je m’efforçai à prendre une bouffée de cette cigarette que j’avais entre mes doigts, jusqu’à en rougir l’extrémité. Je fumais rarement… mais cette fois-ci j’en avais ressenti le besoin, comme pour tenter d’apaiser cette tempête qui faisait rage, alors que je savais pertinemment que le pire restait à venir. Au moins… j’avais l’illusion que ça participait à me calmer un peu, alors que je sentais cette tension dans l’intégralité de mes muscles qui s’ajoutait aux stigmates de l’affrontement avec le troll quelques jours plus tôt. Ma pommette aussi me lançait, parce que cet imbécile de Gryffondor ne m’avait pas loupé. Mais je m’en foutais… c’était comme une vieille rengaine qui reprenait, inlassablement. Je la connaissais bien cette sensation, aussi dévastatrice soit-elle… et si j’avais presque eut l’espoir d’y échapper ces derniers mois, force était de constater que ça ne serait pas le cas.

C’est vers un mouvement, ténu, que mes iris se glissèrent alors qu’une silhouette se profilait dans mon champ de vision. J’inspirai une nouvelle bouffée de nicotine tout en détaillant les traits de l’élève dans la pénombre. Il ne me fallut que peu temps avant de reconnaître le visage de porcelaine de la Serdaigle. Je la détaillai un instant, songeur, tout en me questionnant sur les raisons de sa présence ici. Elle avait tendance aux sombres pensées, Alice, et c’était sûrement dans l’espoir d’être seule que ses pas l’avaient menés ici. Loupé.
Je laissais encore quelques secondes s’écouler avant de me manifester, d’une simple phrase :

« Tu vas choper froid, Flint. »

Parce qu’elle était comme ça, la Serdaigle. De faible constitution, et à régulièrement finir à l’infirmerie avec une bonne bronchite plutôt qu’en cours, dès lors que les jours se faisaient plus mauvais. Je prenais alors une dernière bouffée de poison, expirant lentement la fumée qui s’élevaient en volutes argentées avant de lui tendre la cigarette.

« Tu veux essayer ? »


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MessageSujet: Re: Fear not this night || Alice & Orpheus   Fear not this night || Alice & Orpheus EmptyMer 29 Nov - 22:47

Orpheus Yaxley a écrit:

Fear not this night
@Alice Flint & @Orpheus Yaxley
3 Novembre 1980
La fin de l’année. Les portes de l’hiver. Bien que cette période soit celle de son anniversaire, Alice la déteste. Les nuits rallongent à mesure que les jours fanent, la nature se départit de tout atour et se dénude comme pour aller au cercueil, les ténèbres rongent la lumière comme elles rongent la joie et le moral. Alice déteste cette période, et, pourtant, elle l’aime aussi. Le retour des longues nuits, des ténèbres, est d’une certaine façon celui des mystères. Comme lors d’une quête d’initiation, alors que la nature meurt pour se renouveler, celui qui cherche les secrets doit percer l’obscurité, creuser la terre gelée afin d’accéder aux savoirs dissimulés. Le froid clarifie l’esprit là où la chaleur l’abrutit et l’embrume, et la clarté des nuits glacées révèle des arcanes que seuls ceux qui les bravent saisissent.
C’est par l’une de ces nuits chéries et détestées que la jeune Serdaigle est sortie après un maigre souper. N’ayant faim ni de viande ni d’aucun met chaleureux mais de froid et de solitude, elle n’a fait qu’un repas rudimentaire, pauvre même. Puis elle s‘est éclipsée sans mot dire, rabattant contre elle les pans de son manteau et couvrant son visage d’un large capuchon, ombre rejoignant les ombres de la nuit.

Il fait froid, là dehors. La demoiselle réprime un frisson alors que le soupir du vent agite son vêtement. Mais cette brise ne porte aucune nouvelle. Elle est vierge de presque tout son, et celle qui la reçoit prend une longue inspiration en fermant les yeux, profitant de la douce quiétude. Ah, qu’il est agréable, le silence des secrets ! Embrassant avec reconnaissance l’étreinte de la froide solitude, Alice, qui n’estime pas mériter la chaleureuse compagnie de ses camarades, descend sans un bruit les marches vers le parc du château. Celui-ci se dessine derrière elle, silhouette gigantesque et obscure dont les fenêtres illuminées sont autant d’yeux surveillant le domaine. La promeneuse les évite, ces lumières et les grandes taches dorées qu’elles portent aux abords immédiats de l’édifice. Quand l’heure est à la nuit et aux secrets, elle a toujours préféré la douce obscurité aux lueurs agressives qu’on allume à tout va pour s’aveugler d’un sentiment de sûreté. Machinalement, aussi sûrement que le cours du ruisseau rejoint celui de la rivière, ses pas la mènent vers le lac. L’Ecureuil cherche toujours la compagnie de l’eau quand elle désire la solitude. L’eau et son murmure l’ont toujours apaisée. Et quand le ciel est clair comme cette nuit, elle aime observer les étoiles se refléter sur la surface limpide du lac. C’est comme si les deux plus grands univers de mystères, les flots et les cieux, communiquaient alors. Le font-ils réellement ? Alice aime à le croire. A tout le moins renvoient-ils un imaginaire similaire à son esprit comme à ses yeux, un imaginaire aussi terrifiant que passionnant.
Parvenue sur la rive, la Serdaigle se déchausse pour laisser ses pieds nus, et dénude sa tête. L’espace d’un instant, elle s’imagine s’avancer dans l’eau et partir découvrir les secrets sous le miroir, avant de renaître comme les chrétiens, plus forte et plus sage. A moins que, par quelque magie stellaire, le miroir aqueux ne soutienne ses pas et que, baignée par la froide lumière des étoiles, elle n’aille se perdre dans les vides glacés qui s’étendent entre chacune ? Quelles terribles vérités inintelligibles par le genre humain contiennent-elles, ces galaxies ?

Cinq mots viennent soudainement gifler Alice, imprimant comme autant de phalanges la marque de la réalité sur son visage. D’un geste vif, le sourcil froncé, elle pivote et remarque la silhouette grise et proche du sol dont elle n’avait pas noté la présence tant son regard était attiré par les étoiles. Hélas, elle n’a plus besoin de ses yeux pour savoir qui est l’importun troublant ses rêves, sa voix l’a déjà annoncé. Devant elle, assis avec toute la nonchalance qu’elle aima le temps d’un automne, Orpheus Yaxley apparait, le visage comme nimbé de fumée. Si celle-ci ne venait pas d’une banale cigarette, elle lui procurerait une aura de mystère se mariant particulièrement avec l’ambiance du lieu et de l’instant. A défaut de cela, elle n’exhale qu’un parfum d’amertume.

« Je ne fume pas, merci. »

La réponse est froide et polie comme la glace qui s’est installée entre les anciens amants. La Serdaigle est sur la défensive. Elle cherchait en ces lieux une solitude mélancolique, pas une compagnie blessante. Trouver la seconde au lieu de la première la perturbe, l’agace, d’une certaine manière.
Toujours debout, la Flint détaille le jeune homme.

« Tu t’es battu. Encore », constate-t-elle avec plus de simplicité quand le reflet de la lune lui révèle la marbrure sur la pommette du Serpentard.

Et après tout, pourquoi pas ? Pourquoi, alors qu’elle cherchait la solitude amère, ne pas voir un signe dans cette compagnie inattendue ? Car ne s’agit-il pas de la compagnie même qui, lui ayant été arrachée de manière si brutale, l’a mise dans l’état qu’elle connait aujourd’hui ? Il n’y a jamais de hasard dans les rencontres. Ce mot ne sert qu’à désigner une volonté supérieure incomprise. Alors, loin de s’enfoncer dans les flots mystérieux, loin de s’effacer dans les confins stellaires, Alice reste sur terre, s’asseyant à côté, bien qu’à une distance correcte, du garçon.

« Je ne m’attendais pas à trouver quiconque ici. Pas par une nuit froide de novembre. »


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MessageSujet: Re: Fear not this night || Alice & Orpheus   Fear not this night || Alice & Orpheus EmptyMar 30 Jan - 17:11


Fear not this night
@Alice Flint & @Orpheus Yaxley
3 Novembre 1980
Sombres étaient les pensées tourmentant les âmes égarées au bord de l’onde glacée.
Si l’un et l’autre nous avions cherché à fuir la présence de nos pairs au profit d’une solitude amère, le hasard -ou le destin, selon les croyances- nous avait pourtant mené au même endroit, Flint et moi, en cette nuit froide d’automne.

Assis sur la roche bordant le lac, j’expirai quelques volutes albatres tout en portant mes iris sur la silhouette à la peau diaphane. Évidemment, ma présence avait tant surpris la demoiselle qu’elle avait été mal reçue. La réponse fut sèche, mais aussi glaciale que l’eau dans laquelle la belle avait menacé de poser un pied nu. J’étirai alors en retour un simulacre de sourire sans joie ni malice, car c’était bien mon genre de chercher à avoir le dernier mot.

« Je croyais les Serdaigles curieux. »

Qu’elle prenne ça pour une pique ou une provocation m’était totalement égal, pour ma part je portais de nouveau le bâtonnet de nicotine à mes lèvres pour en prendre une bouffée, avant de laisser retomber mon bras en appui sur une de mes jambes repliées. L’extrémité de la cigarette resta encore rougeoyant quelques secondes, infime braise dans la pénombre, unique point de chaleur dans le froid de l’hiver approchant.

Loin de fuir cependant, Alice resta plantée là, impériale, à darder sur ma personne un regard tant accusateur que réprobateur alors qu’elle prononçait encore quelques mots de plus. Mots auxquels j’haussai simplement une épaule, détournant mon attention sur l’eau miroitante. Comme l’aiglonne le soulignait si bien dans son “encore” bien marqué, ça n’avait rien de surprenant, quoique ça faisait un moment que ce n’était pas arrivé à dire vrai. Parce que durant un temps, ce n’était pas seulement ma réputation -qui m’importait peu- qu’il y avait eu à défendre, mais l’image d’un avenir à présent parti en fumée. Et j’eus une pensée amère à toutes ces fois où j’avais pris sur moi pour ignorer cet imbécile de Taylor plutôt que lui refaire le portrait.

Nouveau mouvement, et je me serais attendu à ce que la demoiselle récupère ses souliers pour quitter les lieux… mais non. Dans ma vision périphérique, je la vis s’asseoir à son tour sur la pierre froide, à quelques pas de moi. Alors qu’elle reprenait la parole, je déportais mon regard sur elle pour la considérer un instant, elle et l’aura de mélancolie qui l’enveloppait.

« J’avais pas notion que la plage était privatisée. » commençais-je avec un soupçon d’ironie.

Sauf qu’elle méritait pas ça, la Flint. De cette colère qui me ruinait la vie… peut-être avait-elle même la chance d’être arrivée après la tempête, dans cet instant de calme sordide et dévastateur. Une autre, quelques mois plus tôt, n’avait pas eu cette chance. Et comme le plus parfait des connards j’avais tout foutu en l’air. Il parait que j’étais doué pour ça… tout briser, et partir sans me retourner. Et ça ne serait sans doute pas la Flint qui disait le contraire. Alors quelle ironie de me retrouver en présence de l’une, et de devoir d’ici quelques temps vivre en présence de l’autre. Le destin, j’avais beau ne pas y croire, s’il existait il se foutait bien de ma gueule.

« Tu viens souvent ici ? » demandais-je alors, comme dans une tentative pas réellement assumée de rattraper mes précédents propos.


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DU 1er NOVEMBRE 1980 AU 31 DECEMBRE 1980
L'équilibre de la magie est en péril. Lors de la Fête de Samain, le 31 Octobre 1980, des évènements étranges sont survenus un peu partout dans le monde magique : des sortilèges ont détruit la Place Divine, le sortilège protégeant le Chemin de Traverse a disparu, laissant les moldus entrer dans le monde magique et un dragon a attaqué Pré-au-Lard.

Pour essayer de comprendre ces évènements, le Ministère de la magie offre la Bourse Greengrass aux sorciers scientifiques désireux de trouver une réponse à ces évènements.

A Poudlard, les élèves ont eut à faire face au premier examen de mi-trimestre : une attaque de créatures, dans le coeur du village de Waterford.

Les élèves méritants ont été récompensés et les redoublants doivent à présent travailler deux fois plus pour rattraper leurs retards.