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 With or Without You - Orpheus Yaxley

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Maxine Goyle
Maxine Goyle
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MessageSujet: With or Without You - Orpheus Yaxley   With or Without You - Orpheus Yaxley EmptyVen 1 Déc - 9:12


With or without you
08.11.23 - Ft : @Orpheus Yaxley

C’était dur. Tout lui semblait invivable, inutile et agaçant depuis qu’elle avait trouvé la lettre de Dylane. Une lettre ! Même pas des adieux convenables, juste une strangulot de lettre !!! Et ça, ça avait fait pleurer l’impassible. Son masque avait explosé, un peu comme son cœur. Quoi que les gens puissent penser d’elle, Dylane avait été la seule à la voir vraiment, à la comprendre d’un regard, à… Elle aurait été sa jumelle ou son âme-sœur que cela ne l’aurait pas surprise. Un millier de questions avaient déferlé dans son esprit : pourquoi partir ainsi, sans rien dire ? Pourquoi ne pas lui avoir demandé de l’accompagner ? Pourquoi… ? Tant de questions auxquelles elle n’aurait sans doute aucune réponse.

Oh que son père devait être ravi d’un tel départ, qu’il devait jubiler de savoir cette mauvaise graine loin de Max. Qu’il devait se délecter des larmes de sa fille, car même si elle ne montrait à personne qu’elle allait mal, il le savait. Et cela l’enrageait. D’être si prévisible, si accroché à une amitié qui ne semblait n’avoir eu de sens que pour elle. De pleurer pour quelqu’un qui l’avait abandonné. Même lorsqu’elle se faisait larguer, elle ne se sentait pas si mal. Même les mots et l’attitude d’ @Orpheus Yaxley lors de leur séparation en lui avait pas autant fait de mal. Et pourtant, Merlin sait qu’il lui avait fait beaucoup de mal, même si elle n’avait pas été amoureuse de lui. Elle s’était attachée à lui, à ce lien entre eux, cette sensation de se comprendre. De comprendre la situation merdique de l’autre…

La brune secoua la tête, chassant ses pensées sordides alors qu’elle enfilait son uniforme. Ses yeux faisaient sans cesse des aller-retours vers le lit désormais vide de sa meilleure amie, lui serrant un peu plus le cœur. Elle en venait à vouloir regretter de s’être laissée approcher par cette boule de joie, ce soleil miniature. En s’asseyant devant ce qui lui servait de coiffeuse, Maxine constata qu’elle avait les yeux rouges et que ses cheveux faisaient n’importe quoi. Elle s’observa, constatant visuellement que le mal que lui faisant cette perte et se maudit. Elle se maudit, car elle détestait être si faible, si prévisible, si inutile. Car si Dylane ne l’avait pas conviée à la suivre, c’était pour cela hein ? Parce qu’importent ses efforts, elle ne serait jamais utile à quoi que ce soit. Que ce soient ses parents ou sa seule amie, ils avaient fini par tous lui faire comprendre que si elle n’était pas là, cela ne changerait rien à leurs vies. C’était douloureux.

Attrapant sa brosse, elle commença à démêler et regrouper ses cheveux en une queue de cheval haute, exprimant sa rage par le manque de douceur de ses gestes, serrant les dents pour ne pas couiner quand elle y allait trop fort. Une fois satisfaite de sa coiffure, elle passa à son visage, se le rinçant à l’eau froide pour réduire les rougeurs et… Ce fut tout. Maxine n’était pas du genre à se maquiller. C’était toujours Dylan qui insistait pour qu’elle soit plus coquette, plus féminine. Parce que « Cela te va si bien ! ». Se fustigeant du regard dans le miroir, elle inspira profondément pour reprendre cet air impassible, qui revenait de plus en plus depuis le départ de son amie, s’assurant ainsi ne rien laisser paraitre.  Si elle n’affichait rien, personne ne viendrait lui poser de questions. Ou du moins, c’est ce qu’elle espérait du profond de son cœur.

Fin prête, elle attrapa un sac dans lequel elle mettait ses affaires, par pure flemme d’avoir les mains prises toutes la journée et remonta vers la Grande Salle pour prendre son petit déjeuner. Ou essayer. Elle avait la gorge si nouée qu’elle mangeait à peine ses derniers temps. Prenant place à l’endroit le plus éloigné des autres, elle se servit un thé, dans lequel elle glissa plusieurs sucres, hochant la tête aux rares qui la saluaient, sans vraiment s’en préoccuper. Le nez plongé dans sa tasse, faisant tourner la cuillère dedans sans conviction, la brune leva le nez lorsqu’un cri animal se fit entendre. Cherchant des yeux son hibou, Max vit la bestiole arriver et se poser devant elle, engageant un combat de regard avant de laisser dédaigneusement tomber le courrier et repartir. Foutu volatile. Constatant que le piaf avait laissé la lettre un peu trop loin, elle sortie sa baguette et après un petit Accio, la jaune contempla son courrier. strangulot. Elle reconnut immédiatement l’écriture de Jonah, et il n’envoyait du courrier que quand il y avait un problème. Joie. De longues minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne la retourne, y lisant une petite phrase qui étira subtilement le coin de sa bouche.

Ils ne s’entendaient pas sur tout, mais au moins, il était le seul à garder ce lien entre eux. A faire en sorte que Maxine ne soit pas totalement seule face à sa famille. Cela la touchait bien plus qu’elle ne le lui avouerait jamais. Après un soupire, elle décida d’ouvrir la lettre et de la lire, sans se douter une seule seconde que son monde allait définitivement s’écrouler.

10¢à ma petite peste
Avec amour,
Ton frère préféré.
Chère tête de Botruc,

Je tenais à te prévenir, afin que tu ne sois pas prise au dépourvu le jour J, mais Père a décidé de prendre cet abruti de Yaxley sous son aile. Aux prochaines vacances, il vivra parmi nous. J’ai essayé de négocier, de discuter, mais apparemment, la décision était déjà prise, je n’ai rien pu faire.

Je suis désolé,Jonah, le meilleur des frères.




Quel était cet enfer qui lui tombait dessus ? Pourquoi ?! POURQUOI ?! Les mains tremblantes d’une rage contenue, elle releva lentement son visage pour chercher Orpheus du regard. Dès qu’elle le vit, la rage en elle explosa comme un volcan. Il ne pouvait pas lui faire ça ! Pas lui. Pas après ce qu’il lui avait déjà fait. Se levant avant même d’avoir conscience qu’elle le faisait, rien ne put empêcher la brune de s’approcher de la table de celui avec qui elle avait partagé une complicité unique quelques mois plus tôt. Coupant net les conversations alors qu’elle posait ses mains sur la table, foudroyant du regard ce garçon qu’elle avait apprécié un peu trop, Maxine le dévisagea.

- Tu vas me suivre, Yaxley. Maintenant.

La préfète faisait de son mieux pour se contenir, pour ne pas exploser ici et maintenant. Car elle ne voulait pas qu’une rumeur stupide se répande. Elle ne voulait pas qu’autrui soit au courant du joyeux bordel qu’était désormais sa vie. Et aussi, car elle refusait d’afficher la situation précaire de son ex aux yeux de tous. Il n’avait pas choisi de naître dans une telle famille, elle serait bien mauvaise de le lui reprocher. Surtout au vu de sa propre famille. Car même si aujourd’hui ils se détestaient presque, il avait toujours gardé ses secrets et elle les siens, comme un accord tacite entre eux malgré le mal qu’ils pouvaient continuer à se faire.

Se redressant, toute fluette et petite qu’elle était, elle lui jeta un dernier regard plein de menace s’il ne l’accompagnait pas ou ne la rejoignait pas sous peu. Elle l’entendit râle, sans doute pour se faire plaindre de ceux dont ils se servaient pour être ses amis, mais elle n’en avait rien à foutre. Ses pas la guidèrent vers un endroit où il n’y avait personne à une heure aussi matinale : la fontaine à souhait. La brune n’en avait jamais fait, mais elle avait accompagné Dylane un nombre incalculable de fois ici. Le fait de se retrouver ici sans elle lui laissa un goût amer dans la bouche, mais elle refusait de se laisser atteindre par ça. Pas alors que son strangulot d’ex approchait et qu’elle avait du fiel à déverser. Tout comme il avait explosé contre elle sans raison, il risquait bien de subir cet orage qui lui ravageait le crâne. Dès qu’il apparut dans le champ de vision de la Goyle, elle serra son poing, froissant la lettre de son frère. En trois pas, elle fut devant lui - levant le nez car en plus, il était plus grand qu’elle – Maxine lui écrasa la lettre de son frère sur le torse.

- Tu m’expliques ce que c’est que ce bordel ?!

Elle caressa du bout des doigts cette envie de lui briser les genoux pour qu’il ne la regarde plus de haut ainsi, chassant de son esprit la dernière fois qu’elle avait été aussi proche de lui. Et c’était nettement plus agréable à l’époque qu’aujourd’hui. N’étant pas vraiment du genre à élever le ton comme une hystérique, Maxine rêvait pourtant de lui hurler dessus, de laisser tout sortir. Tout ce qu’elle ruminait contre lui depuis des mois, déversant sa douleur, sa colère et sa déception. Ils n’avaient jamais été amoureux, mais il y avait eu quelque chose. Un truc entre eux, quelque chose qu’ils comprenaient l’un chez l’autre, mais cette tête de babouin avait tout explosé comme si cela n’avait rien représenté pour lui. Et elle ne savait pas ce qui l’avait le plus blessé dans l’histoire : avoir pu être elle-même en sa présence, ou avoir cru que ces moments avaient pu représenter quoi que ce soit pour lui. Et c’était sans compter son état bancal du moment, qui la laissait à fleur de peau.

- Je me fous bien de comment, mais tu vas me faire le plaisir d’arranger la situation. Il est hors de question que je vive sous le même toit que toi.

Son ton était si froid qu’elle aurait pu geler le soleil. Pourtant, son regard brillait d’un millier d’émotions contenues qu’elle ne formulait pas à voix haute. Et la principale source de ce brasier était la colère.




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Orpheus Yaxley
Orpheus Yaxley
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MessageSujet: Re: With or Without You - Orpheus Yaxley   With or Without You - Orpheus Yaxley EmptyJeu 11 Jan - 11:15


With or Without you
@Maxine Goyle & @Orpheus Yaxley
8 Novembre 1980
Plus les jours passaient, plus j’avais la sensation que ma vie n’était qu’une vaste fumisterie. Ce qu’on attendait de moi n’avait de sens que pour ceux qui étaient moins concernés que moi par mon propre avenir, et plus j’essayais de correspondre à ces attentes, plus je me cassais la gueule. Et parallèlement, j’étais actuellement bien incapable de déterminer la voie dont, moi, je pouvais avoir envie. Parce que tout s’écroulait inlassablement, comme une falaise de pierre friable harassée par la marée, et dont les blocs se détachaient peu à peu. Ainsi, chaque année avait connu son cataclysme, et si celui de l’année 80 avait tardé à survenir, force était de constater qu’il n’était pas en dessous des autres.
Cette maudite lettre faisant office de condamnation, c’était cinq jours plus tôt que je l’avais reçue… et depuis lors, j’avais l’impression d’avoir implosé -une fois de plus.

J’avais juste envie de tout envoyer en l’air. L’école et sa direction insensée. Ma famille et leurs idées de bouse d'hippogriffe. La morale. Le bon sens. Tout.
Et une fois de plus, cette colère contre le monde entier s’était manifestée par des excès de violence, tant verbale que physique -dont ma pommette affichait les stigmates violacées-, envers ceux qui avaient le malheur de me chercher des noises. Et le pire dans tout ça, c’est que la rumeur de la rupture de mes fiançailles avec la Slughorn commençait à enfler, ne faisant que rajouter à cette attention malsaine dont je n’avais absolument pas besoin.

Heureusement, depuis tout ce temps, j’avais quelques potes qui avaient appris à me connaître, et composer avec cette boule de nerfs que je pouvais être par moments. Et ils étaient assez malins pour habilement éviter les sujets épineux. C’était en compagnie de deux d’entre eux, de ma maison, que je discutais durant le petit déjeuner. J’avais pris soin de ne pas leur parler du contenu de cette fichue lettre qu’ils m’avaient vu recevoir quelques jours plus tôt, et si ces derniers n’avaient pas posé de question, ils se doutaient probablement d’une partie du contenu compte tenu de la rumeur qui circulait notamment dans notre maison. C’est qu’la princesse en avait déserté les lieux, après tout. Et on ne pouvait pas dire que les Verts et Argents étaient des élèves stupides. Cependant, , la discussion entre eux allait de bon train au sujet d’une affaire cocasse ayant agité le monde magique le week end dernier, et j’intervenais de temps à autre… Jusqu’à ce qu’une tierce personne ne vienne couper court à tout cela d’une entrée fracassante, deux mains sur une table qui n’était pas sienne.

Fronçant les sourcils, je relevais un regard agacé vers celle qui avait eu la c*nnerie de nous couper, reconnaissant sa voix au moment même où mes iris arrivèrent à hauteur des traits de la préfète des Jaunes et Noirs. Bordel… pourquoi est ce qu’ils s’acharnaient tous à ce point ?!  Mon expression fut aussi incendiaire que la sienne l’espace d’une seconde, avant que je n’arque un sourcil provoquant pour lui signifier clairement mon objection.

« Qu’est ce que t’as fait, encore ? » souffla l’un de mes comparses d’un air goguenard.

Car si notre ancienne relation n’échappait à aucun des deux, mes potes appuyaient surtout sur le statut de préfète de la Goyle, notre mésentente manifeste, et ma propension à défier l’autorité et enfreindre les règles -c’était d’ailleurs l’un des points que nous avions en commun eux et moi.
Mais le regard sombre de Maxine ne souffrait visiblement pas d’une quelconque défiance de ma part et promettait bien des emm*rdes si je n’obtempérai pas. Regard qu’elle appuya avant de tourner les talons.

« ‘tain quelle chieuse celle-là ! » pestai-je sous le regard amusé et compatissant de mes camarades avant de me lever, attrapant d’une main mon sac de cours.

D’un pas nonchalant, je la suivis en gardant une certaine distance, avisant surtout la direction que prenait la fluette Poufsouffle pour prendre sa suite, mains dans les poches. J’étouffais un grognement de plus en constatant qu’elle sortait, n’étant pas particulièrement équipé pour affronter les températures matinales de cette fin d’automne. De toute façon, ce n'était pas comme si je comptais m’éterniser. Au contraire, cette discussion serait vite expédiée, foi de Yaxley.

Dehors, dans cette petite cour au centre de laquelle se trouvait un puit orné de statues, l’air était vivifiant, mais le ciel chargé promettait une journée maussade si ce n’était pluvieuse. S’y tenait une Goyle particulièrement électrique, furibonde, qui ne me laissa guère le temps de la rejoindre car elle avait elle-même avalé la distance en quelques grandes et furieuses enjambées pour me plaquer une main sur le torse en posant une question que j’aurais préféré ne pas entendre.
Je lui lançais à mon tour un regard noir, la toisant tout en devinant ce qu’elle avait plaqué contre moi, outre sa main. Sans doute une lettre reçue un peu tardivement et expliquant la charmante situation dans laquelle on allait se retrouver, elle et moi.

Et elle voulait que je lui explique quoi, franchement ?  Je n’avais moi-même pas réellement le fin mot de cette situation à part les crasses de ma maudite mère.

« Tu ferais bien de poser la question à ton père. » crachais-je en retour.

Puisque, de ce que j’en savais, c’était lui qui était venu trouver Mildred avec cette histoire de tutelle et qu’elle avait eu la connerie d’accepter. Rien qu’à cette pensée, ma mâchoire se contracta derechef. D’un pas, je reculais, m’écartant de Maxine et de cette main comme si son contact avait fini par me brûler. Elle était furibonde, ce que je pouvais aisément comprendre puisque la simple idée de devoir côtoyer cette peste -et pire, chez elle- me donnait l’envie de gerber.
Et sa demande, sur ce ton si glacial, m’arracha un rire tragiquement ironique. Elle en avait de bonnes, elle !  Cependant, je ne serai que trop heureux d’accéder à sa demande, si seulement j’avais une once d’idée de la façon d’échapper aux griffes de sa famille.

« Au moins on est d’accord à ce sujet. » rétorquais-je d’un ton cassant. « T’inquiètes que d’ici Noël cette histoire sera réglée. »

Et quand bien même je comptais me défaire de cette situation merdique, je doutais cependant que les Goyle se montrent aussi permissifs qu’avait jusque là pu l’être ma propre famille. Du peu que je savais d’eux, ils étaient du genre intraitables, et si c’était le père de Maxine qui était, de lui-même, venu faire valoir cette histoire de tutelle, c’est qu’il ne comptait sans doute pas lâcher l’os aisément. Or, aux yeux de la loi, si c’était déjà acté, il devenait mon tuteur légal. Et ça, je savais que ça allait me mettre des bâtons dans les roues.

« Au pire… t’as qu’à aller t’planquer chez ta pote, hm ? »

J’haussai un sourcil un brin provoquant, sans réellement savoir que je venais de lancer une bombe. Sa blondie exubérante qui puait le chien mouillé, je préférai m’en tenir loin. Aussi étais-je loin d’avoir ne serait-ce que remarquer son absence.


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DU 1er NOVEMBRE 1980 AU 31 DECEMBRE 1980
L'équilibre de la magie est en péril. Lors de la Fête de Samain, le 31 Octobre 1980, des évènements étranges sont survenus un peu partout dans le monde magique : des sortilèges ont détruit la Place Divine, le sortilège protégeant le Chemin de Traverse a disparu, laissant les moldus entrer dans le monde magique et un dragon a attaqué Pré-au-Lard.

Pour essayer de comprendre ces évènements, le Ministère de la magie offre la Bourse Greengrass aux sorciers scientifiques désireux de trouver une réponse à ces évènements.

A Poudlard, les élèves ont eut à faire face au premier examen de mi-trimestre : une attaque de créatures, dans le coeur du village de Waterford.

Les élèves méritants ont été récompensés et les redoublants doivent à présent travailler deux fois plus pour rattraper leurs retards.